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Mesure ta pollution

Mesure ta pollution
Pour moins de 200 euros, l'association Respire et Labo citoyen tentent de mettre au point un capteur citoyen de surveillance de la qualité de l'air, dont les plans et données sont mises à disposition en licence ouverte. Un complément aux mesures officielles et un vrai outil politique. Citoyens capteurs - Photo CC bync Pierre Metivier À peine arrivé à la table matinale de ce café parisien, Gabriel Dulac sort son tournevis pour offrir au regard le contenu du capteur citoyen de qualité de l’air. À l’intérieur de cette espèce de boîtier gris EDF, gros comme une boîte à sucre, le strict minimum vital : un mini ordinateur, deux capteurs, une batterie et une clef 3G pour transmettre les données. L’idée de mesures à l’échelle citoyenne n’est pas inédite. Expertise Lancé sur le champ de la mesure de qualité de l’air, Labo citoyen et Respire ont également pu s’inspirer d’autres initiatives ayant défriché le terrain des capteurs à bas coût et de la mise à disposition de données, comme AirQualityEgg. Related:  Qualité de l'air

Success! EPA Finalizes Tougher Air Quality Standards Late last week, the Environmental Protection Agency (EPA) announced new air quality standards for fine particulate matter, or soot. This decision represents a meaningful victory for the thousands of Care2 members and concerned Americans who are tired of breathing poisoned air just so the fossil fuel industry can enjoy billions in profits. The updated standards set the limit for safe concentrations of harmful fine particle pollution (PM2.5), including soot, in the air at an annual level of 12 micrograms (one-millionth of a gram) per cubic meter, and a daily level of 35 micrograms per cubic meter. Studies have shown that the number of hospitalizations for asthma increases when levels of particulate matter in the air rise. Coal-fired power plants, factories and diesel vehicles are major sources of particulate pollution. According to the NRDC, around 81 million people live in areas that fail to meet national air quality standards for particulate. Related Reading:

Et si c’était la faim de l’Open Data Le faux débat sur la fin de l'Open Data en France cache des questions politiques bien plus importantes que la survie d'une cellule de promotion des données publiques. Comme par exemple la question de la volonté réelle de rendre ces données à leur premier propriétaire : le citoyen lui-même. Tribune de LiberTIC. Nous assistons depuis quelques semaines à la fleuraison de nombreux articles venant orner avec anticipation la tombe de l’Open Data français. Certaines questions n’ont pourtant pas lieu d’être tandis que d’autres signes, parfois passés inaperçus, semblent plus préoccupants pour l’avenir. L’horreur de la gratuité Le 17 octobre dernier, un article des Echos paraissait sous le titre : L’État pourrait renoncer à la gratuité des données publiques. La publication par Owni le jour même de l’écriture de ce billet nous épargne un fastidieux travail d’analyse des théories de développement des rumeurs avec les étapes de réduction et accentuation des propos. Le risque de tartufferie

Le social business est aussi affaire de positionnement Les grandes entreprises s'investissent dans des initiatives de RSE non pas à de simples fins de mécénat. Mais parce qu'elles en tirent des bénéfices tels que la mobilisation interne ou le développement de leurs performances. Entretien avec Olivier De Guerre, président de la société d'investissement solidaire PhiTrust. L'Atelier : Quels types d'entreprises font appel à vos services pour investir dans ces initiatives sociales ? Olivier De Guerre : Il y a d'abord les acteurs-entrepreneurs sociaux qui ne sont pas des entreprises comme des associations. Quels sont les avantages pour l'entreprise ? D'abord, la mobilisation et la motivation des parties prenantes. La notion de rentabilité est-elle bien acceptée lorsqu'il s'agit d'investissement solidaire ? Historiquement, on dit souvent que le social business n'est pas rentable.

La pollution de l'air tue plus de 2 millions de personnes par an en Asie C'est le prix d'un développement économique effréné. En Asie, la pollution atmosphérique est devenue un véritable fléau, qui a causé la mort de 2,1 millions de personnes en 2010, selon une vaste étude sur la "charge mondiale des maladies" publiée vendredi 14 décembre dans l'hebdomadaire médical britannique The Lancet. Parmi les 67 facteurs de risque étudiés, la pollution de l'air extérieur se situe au quatrième rang de la mortalité en Asie de l'Est (Chine principalement), où elle a contribué à 1,2 million de décès en 2010, et en sixième place en Asie du Sud (Inde, Pakistan, Bangladesh ou Sri Lanka), où elle en a provoqué 712 000. Ce sont aussi, pour utiliser un indicateur de l'Organisation mondiale de la santé, 52 millions d'"années de vie corrigées de l'incapacité" (disability-adjusted life years en anglais) qui ont été perdues en Asie – soit la somme des années de vie potentielles perdues en raison d'une mortalité prématurée et des années productives perdues en raison d'incapacités.

L’opengov, nouvelle frontière de la Palestine Depuis 2005, l'Autorité palestinienne tente de numériser son administration. Owni s'est entretenu avec Dr Safa Nasser Eldin, la ministre des Télécoms, qui intègre progressivement Open Data et services publics décentralisés aux pratiques du gouvernement de Gaza et de Cisjordanie. Malgré un réseau marqué par le conflit avec Israël. Depuis 2005, l’Autorité palestinienne travaille à la numérisation de son administration. Aidé par les organisations internationales et certains gouvernements, le ministère des Télécommunications chapeaute un des dispositifs de gouvernement numérique (e-gov) et d’Open Data les plus ambitieux du monde arabe. Invitée pour la réunion de la commission Moyen-Orient—Afrique du Nord de l’OCDE, la ministre des Télécommunications, Dr Safa Nasser Eldin, a accordé une interview à Owni pour détailler la genèse et les développements d’un projet qui, dans les coursives techniques de Ramallah, a survécu aux secousses politiques et guerrières de Gaza et de la Cisjordanie.

La voiture individuelle: une idée bonne pour la casse! » OWNI, News, Augmented Préoccupations écolos, saturation urbaine et crise et c'est la fin du règne de la voiture individuelle au profit du véhicule serviciel et du partage. L'occasion de se pencher sur les projets les plus prometteurs. Ce dossier en trois volets explore la mutation du marché automobile. Que comprendre des signes que ne cesse de produire la demande ? Qu’entendre derrière ces initiatives brouillonnes de l’offre ? #1 La flambée des ventes en Chine, Inde… masque les reculs des marchés en Europe, Etats-Unis et un ralentissement de la croissance chez les premiers… Les mêmes causes produisant les mêmes effets, des signes de saturations se multiplient déjà en Chine. #2 Les incitations fiscales des états agissent comme “effets d’aubaine” et reculent le constat d’une dégradation de la demande. #3 Le glissement du marché vers des modèles de taille réduite et des modèles low cost masque une baisse en valeur du marché et une dégradation de l’auto comme produit phare des consommations. Photo FlickR dogbomb ;

Qualité de l'air : Bruxelles lance une nouvelle consultation publique La Commission européenne lance jusqu'au 4 mars 2013 une nouvelle consultation publique sur "la meilleure manière" d'améliorer la qualité de l'air en Europe. En dépit des "progrès" réalisés au cours des dernières décennies "grâce aux dispositions législatives visant à réduire la pollution atmosphérique par des polluants nocifs tels que le dioxyde de soufre, le plomb, les oxydes d'azote, le monoxyde de carbone et le benzène, certains polluants demeurent une source de problèmes" sanitaires et environnementaux, souligne la Commission. Avec des seuils régulièrement dépassés pour "le smog d'été, l'ozone au niveau du sol, potentiellement dangereux, ainsi que les particules fines", l'exposition à la pollution atmosphérique entraîne encore "350.000 décès prématurés dans l'UE chaque année".

Loïc Bodin: L'Open data ou la démocratie augmentée L'open data serait-il l'avenir de la démocratie, son renouveau voire même son aboutissement ? En dehors d'un petit cercle d'initiés experts du numérique en général ou de l'open data en particulier, la question peut sembler curieuse si ce n'est absurde. L'open data, alors qu'il concerne directement la société et l'ensemble de ses composantes, est une expression barbare pour la plupart des citoyens français. Ce paradoxe est lié à plusieurs freins, qui, une fois levés, permettront à chacun de s'engager pleinement dans la vie de la cité. Jargon Tout d'abord, dans l'open data comme dans le digital, le jargon (1) est un frein largement sous-estimé par nombre de personnes ou d'organisations qui se plaignent régulièrement du "retard français" en matière de numérique. Les données, carburant de la démocratie Le numérique entraîne un changement en profondeur de l'exercice démocratique. Transfert de pouvoir Il faut bien réaliser le changement qui est à l'œuvre. Un rôle nouveau pour le citoyen ?

« Se rapprocher d'un social business n'a pas que la visibilité pour finalité » Être partenaire d'une association œuvrant dans le social business peut avoir d'autres enjeux que la communication : certaines y cherchent une source d'innovation, d'autres un moyen de mieux diffuser leurs valeurs. Entretien avec Samia Ghozlane, vice-président de l’association CyberElles, réseau professionnel féminin des technologies de l’information et de la communication. CyberElles organise le concours Power Starter qui récompense les femmes e-entrepreneuses issues des quartiers. L’Atelier : Selon vous, pourquoi les entreprises veulent être partenaires d’un concours tel que Power Starter ? Samia Ghozlane : Les motivations sont diverses et la visibilité n’est pas forcément ce que cherchent les entreprises partenaires. Comment les compagnies peuvent-elles s’associer à une entreprise sociale telle que la vôtre ? Aujourd’hui, il y a plusieurs possibilités comme la participation au jury ou la dotation. Justement, l’interne tient-il une place importante dans cette relation de partenariat ?

Pour 2013, FNE vous offre un bon bol d’air 42 000 morts prématurées par an du fait de l’exposition aux particules, soit 10 fois plus que les accidents de la route, et entre 20 et 30 milliards d’euros de coût sanitaire selon une étude récente du Ministère de l’Ecologie… Ce sont les chiffres de la pollution atmosphérique aujourd’hui en France. La France, qui ne respecte pas les seuils de rejets fixés par les textes européens est en contentieux avec la Commission Européenne[1]. En 2013, ce non respect des exigences européennes risque de coûter entre 10 et 15 millions d’euros d’amende à notre pays et 300 000 euros d’astreinte par jour de retard. La France doit réagir pour améliorer son air ! Jouons un air Européen… Janez Potočnik, le commissaire européen à l’environnement, a officiellement fait de 2013 l’ « Année de l’air » au regard des préoccupations croissantes de l’UE en la matière, cependant que les Etats membres peinent déjà à mettre en œuvre les règles existantes ! ZAPA et PPA pour un nouvel air

«Nicolas Sarkozy ne pouvait pas comprendre la “France des modes de vie†» Sociologue spécialiste de l’espace, des temps sociaux (travail, loisirs) et du tourisme, Jean Viard est directeur de recherches CNRS au Cevipof (Centre de recherches politiques de Sciences Po). Il est l’auteur de Nouveau portrait de la France. La société des modes de vie (éditions de l'Aube). Une analyse au croisement de la démographie, de la politique et de l’économie qui donne des clés pour appréhender les nouveaux visages de la société française. «La France souffre d'abord de sa difficulté à mettre en récit ses propres mutations», écrit Jean Viard, qui décrit une société dans laquelle «les choix de modes de vie priment de plus en plus sur les choix professionnels». La carte de France a évolué, la logique centre-périphérie laissant place à une «ville-nuage» tissée tout autant par le réseau de transports que par l’omniprésence des nouvelles technologies de communication. Dans cette élection, qui a le mieux compris les aspirations de la société française? C’est difficile de répondre!

La production d'agrocarburants menace la qualité de l'air en Europe Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Audrey Garric C'est une nouvelle tache sur la réputation déjà ternie des agrocarburants. Maintes fois accusés d'aggraver l'insécurité alimentaire et la volatilité des prix, d'accélérer la déforestation tropicale et même d'augmenter les gaz à effet de serre, les carburants d'origine végétale sont maintenant incriminés pour la pollution de l'air et les problèmes de santé humaine qu'ils entraîneraient. L'Union européenne, en cherchant à atteindre 10 % d'énergies renouvelables dans le secteur des transports d'ici à 2020 afin de lutter contre le changement climatique, pourrait dans le même temps aggraver la pollution à l'ozone et causer près de 1 400 décès prématurés par an sur la période, assure une étude parue dans la revue scientifique Nature Climate Change, dimanche 6 janvier. "Il y a beaucoup de cultures destinées aux agrocarburants, dont les méthodes de cultures et les systèmes de production et de transformation post-récolte diffèrent.

La collaboration en surcharge - Harvard Business...

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