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Greenwashing « Communication Corporate & Développement Durable

Greenwashing « Communication Corporate & Développement Durable
Le « Greenwashing » est un terme anglophone qui peut être traduit par « verdissement d’image ». Il fait référence à l’éco-blanchiment auquel se livrent les entreprises, en communiquant, de façon mensongère, sur la performance environnementale de leur marque ou de leurs produits. "Le terme Greenwashing est utilisé par les groupes de pression environnementaux pour désigner les efforts de communication des entreprises sur leurs avancées en termes de développement durable, avancées qui ne s’accompagnent pas de véritables actions pour l’environnement. Source : Publicitaires Eco-Socio-Innovants Le greenwashing est la dernière tendance des entreprises qui surfent sur la vague écolo. Le greenwashing est donc le phénomène qui profite des aspirations écologiques des consommateurs pour en faire, avec un certain cynisme un pur levier de marketing, bien loin d’une politique sincère de développement durable. Pour plus d’informations : Related:  marketing durable

Ne confondons pas « greenwashing » et communication La communication relative à l’engagement d’organisations pour le développement durable est souvent mise en cause et systématiquement mise en doute. On entend souvent le terme de « greenwashing » pour qualifier l’engagement d’une entreprise, souvent à juste titre, mais aussi parfois pour démontrer sa vigilance et sous-tendre la supériorité de sa vision et de son propre engagement. Si cette vigilance est louable d’un côté, puisqu’elle évite la multiplication des dérives, elle ne doit pas enfermer la communication des organisations dans un rapport duel entre ce qui est du « greenwashing » et ce qui n’en est pas et résumer la communication à la seule valorisation honnête ou non d’un engagement. En effet, la communication n’est pas qu’un simple moyen de valoriser son engagement, elle fait partie intégrante du dispositif de l’engagement d’une organisation pour faire savoir, sensibiliser le public au changement et l’encourager – ainsi que tous les autres acteurs – à agir.

Eco-communication - Définition du greenwashing L'ADEME et l'ARPP (Autorité de Régulation des Professionnels de la Publicité, ancien BVP) collaborent depuis 2006 afin d'évaluer le respect de la loi et de la déontologie professionnelle concernant l'utilisation de l'argument écologique et de l'argument développement durable. Ces études ont permis à l'ARPP de mettre en œuvre divers projets (sensibilisation, effort d'autodiscipline, intégration d'ONG environnementales...) pour améliorer progressivement la pertinence du discours publicitaire en matière de protection de l’environnement. En savoir plus sur l'ARPP Dans ce 6ème Rapport d’études « Publicité & Environnement » - Bilan 2012 publié fin novembre 2013, 92% des publicités sur les 11 297 étudiées en 2012, sont conformes aux recommandations déontologiques en matière de développement durable de l’ARPP. Ce taux de conformité est le meilleur atteint en 6 ans. > Lire le communiqué de presse > Lire le communiqué de presse - La publicité fait-elle un bon usage des arguments environnementaux ?

Quand McDo devient écolo ou l'art du «greenwashing» Le changement de logo de McDonald's (capture d'écran Dailymotion - decideurstv - cc) Du même auteur J'ai (re)commencé à parler de décroissance, et je prépare un (très) long billet pour tenter d'expliquer où en sont les organisations politiques qui s'en réclament, quelles sont leurs idées, et comment elles comptent les mettre en œuvre. En attendant, la précampagne présidentielle est déjà lancée, et cette semaine a vu la déclaration hypermédiatisée de la candidature de Nicolas Bertrand Hulot, déjà quasiment assuré de représenter les Verts, et qui va devoir s'employer à faire oublier son lourd passé d'hélicologiste sponsorisé par les multinationales, et notamment par l'industrie nucléaire. C'est pas gagné.

Écoblanchiment, greenwashing, la publicité qui abuse de l'écologie L'écoblanchiment, ou greenwashing en anglais, est l'utilisation abusive ou mensongère de l'argument écologique ou du développement durable dans la publicité, pour une marque, un produit ou une entreprise. Ces dernières années, la protection de l'environnement et le développement durable représentent les préoccupations prioritaires des français : de nombreuses entreprises et annonceurs ont décidé de surfer sur cette vague verte pour en faire un axe de communication. Les publicitaires ont bien compris l'engouement des consommateurs pour les produits qui respectent l'environnement et certains se sont précipités sur cette opportunité sans scrupules. Ils ont mis en avant dans leur communication des vertus écologiques de produits inexistantes, de faux labels environnementaux, ou ont ouvertement induit en erreur et trompé les consommateurs sur la véritable plus-value environnementale de l'entreprise, la marque ou le produit.

La pub Areva, com' maladroite ou "greenwashing" calculé ? Les riverains choqués par la dernière campagne de pub d’Areva ne sont pas les seuls. Cinq plaintes ont été déposées devant le jury de déontologie publicitaire. Quelles chances ont-elles d’aboutir à l’interdiction du spot lancé le 5 janvier ? Le clip célébrant les dix ans du groupe avait été validé par l’Autorité de régulation professionnelle de la publicité (ARPP). Les plaignants dénoncent un « greenwashing » (ou écoblanchiment, tentative de donner une image écologique d’une entreprise), voire une « désinformation » du public. Pour Stéphane Martin, directeur de l’ARPP : « Cette campagne a été validée car jugée conforme aux recommandations développement durable faites aux annonceurs. Chez Areva, on « aurait été étonnés par l’absence de plainte. « La publicité d’Areva suggère que le nucléaire est écolo » L’un des plaignants, Arnaud Gossement, spécialiste en droit de l’environnement, explique ses motivations : Frise chronologique de l’énergie extraite du making of de la pub d’Areva

Qu'est-ce que le Développement Durable ? « C’est la préservation de l’environnement, l’écologie » « C’est un mode de développement économique » « C’est utiliser le moins d’énergies fossiles possible » « C’est un leurre » … Si on pose la question autour de soi, on obtient autant de réponses que de personnes interrogées. Bien souvent, la réponse n’est pas fausse mais incomplète. Voici une petite présentation du développement durable pour permettre une première approche de ce vaste concept et de se faire sa propre idée. Il devient évident ces dernières années que notre monde change, et on ne peut plus occulter les problèmes qui ont émergé de notre mode de développement actuel. Afin de réagir à tous ces problèmes, un nouveau mode de développement à été définit, il sera « durable ». Le développement durable repose sur 4 piliers : environnementalsocialéconomiquedémocratique Les enjeux environnementaux Les enjeux sociaux Aujourd’hui, 20 % de la population concentre 86 % des richesses produites annuellement (source : UNDP).

Marketing vert : la traque au greenwashing 2.0 Quel est le rapport entre un escalier de métro transformé en piano et une marque de voiture ? Pour Novactif, l'équation est des plus simples : Crowdsourcing + Street marketing + buzz = The fun theory. Convaincus ? Les internautes suédois, invités à poster des initiatives écolos et citoyennes en cascade sur le site, ont marché à fond. La réussite de The Fun Theory n'était pourtant pas évidente, tant l'internaute est devenu suspicieux face aux engagements écolos des grandes marques qui leur promettent de sauver la planète. Quand j'entends le mot vert, je sors mon revolver Selon le magazine Time, en novembre 2008, la société de marketing environnemental Terrachoice avait réalisé une étude prouvant que sur 1018 publicités "vertes", un seul (!) En France, le Grenelle de l'environnement est très vigilant sur cette pratique mensongère des marques, et un Observatoire indépendant de la publicité a été lancé par un collectif d'ONG écolos pour surveiller cette pratique. Par Emmanuel Haddad

Innover grâce au développement durable : l’exemple de Toyota Dans le cadre de ses Rencontres Green Ocean, le cabinet Ernst & Young a organisé début mars une conférence intitulée « Déployer l’innovation, du prototype à la référence du marché ». L’objectif était de montrer comment l’intégration du développement durable dans une démarche d’innovation pouvait amener à de véritables innovations de rupture, en créant de la valeur à la fois pour le client et pour l’entreprise. La première partie de la conférence a permis de montrer les étapes par lesquelles passent de nombreuses entreprises dans leur quête de développement durable. Le principal exemple évoqué pour illustrer cette dynamique a été celui de Toyota, qui a engendré avec ses voitures hybrides une véritable révolution au sein du monde automobile. Pour développer de véritables innovations, telles que la voiture hybride, et faire en sorte qu’elles soient viables sur le marché, Toyota a identifié plusieurs facteurs clés de succès : - disposer d’un budget R&D dédié et stable

Pourquoi les entreprises ont-elles besoin de valeurs ? - JDN M?dia Quelles valeurs sont aujourd'hui le plus fréquemment mises en avant par les entreprises ? La qualité, l'innovation, la proximité, la tradition, l'intégrité... ? Une étude livre des éléments de réponse. S'il est bien un sujet qui s'invite régulièrement lorsque l'on parle de la culture d'une entreprise c'est bien le sujet des valeurs. Le tout nouvel Index International des Valeurs Corporate que nous avons réalisé chez Wellcom, établit une photographie des valeurs retenues par près de quatre mille entreprises dans onze pays, en Europe, en Inde et aux Etats-Unis. Les résultats de cette étude permettent d'identifier une liste de valeurs pilotes, elles-mêmes regroupées en huit familles de valeurs. Donner du sens, parce qu'au delà de sa mission première (produire des biens ou fournir des services) une entreprise, pour réussir et se développer, a besoin d'être appréciée par ses différentes parties prenantes.

Nestlé et Danone unis pour lancer un PET 100%... D’ici à 2020, le rayon des eaux devrait vivre une révolution. Une révolution invisible mais capitale en matière de développement durable. « Nous mettrons alors sur le marché des bouteilles sans une goutte de pétrole, car elles seront à 75% – et 95% en 2022 –, en PET issu de ressources durables et renouvelables », annoncent ensemble Frédéric Jouin, responsable R & D des matériaux plastiques du groupe Danone, et Klaus Hartwig, responsable R & D de Nestlé Waters. Danone et Nestlé, unis pour un même challenge ? Oui, car si ces acteurs sont concurrents, notamment sur le commerce de l’eau en bouteille, ils ont décidé de faire cause commune pour une « rupture technologique menée au bénéfice de la planète, car elle améliorera notre empreinte carbone ». Pour cela, ces deux géants financent les travaux d’Origin Materials, une start-up californienne à la pointe en matière de création de PET (polyéthylène téréphthalate) d’origine non pétrolifère, qui emploie 40 chercheurs. Sylvie Leboulenger

Le gaspillage alimentaire (enfin) pris au... Les images de produits encore comestibles passés à la Javel dans les poubelles de quelques supermarchés ont finalement eu un rôle positif, en faisant avancer très vite les débats autour du gaspillage alimentaire. Ce gâchis a du mal à être justifié alors que tout le monde ne mange pas à sa faim, en France et ailleurs. Et aujourd’hui, lutter contre le gaspillage ne se résume plus à donner les invendus aux banques alimentaires et associations. Si ce débouché est le plus important, il reste soumis à de lourds impératifs logistiques, et surtout, il voit apparaître l’émergence de nouvelles solutions pour réduire le gaspillage plus en amont. Tout au long de la chaîne de production, une portion non négligeable de l’alimentation est perdue : légumes pas assez « beaux » pour être commercialisés, casse en rayon, DLC (date limite de consommation) trop courtes… Ces invendus représentent, au final, une montagne de denrées alimentaires qui ne finissent pas dans les assiettes. Diagnostics et formations

La consommation responsable progresse lentement mais sûrement La consommation responsable a le vent en poupe, plusieurs études le montrent. La plus récente indique que plus de la moitié des Français souhaitent consommer autrement. Rédigé par Jean-Marie, le 1 Jun 2016, à 15 h 15 min Depuis 2005, consoGlobe.com suit et décrypte les évolutions du comportement des consommateurs. Lentement mais sûrement, au gré des variations du pouvoir d’achat et de l’actualité sanitaire ou environnementale, les Français passent à la consommation responsable. La crise en 2008-2009 a freiné la hausse de l’achat responsable pour des raisons de baisse du pouvoir d’achat. Les Français et la consommation responsable Tous les ans pour la Semaine du Développement durable, Ethicity, le cabinet de conseil en développement durable de Greenflex(5) publie une étude sur les Français et la consommation responsable : un bon baromètre pour mesurer son évolution. 50 % des Français veulent consommer autrement Les préoccupations des Français : le bien-être et la santé Rédigé par Jean-Marie

L'éco-conception, c'est quoi ? L'éco-conception, c'est quoi ? Cliquez pour approfondir Cliquez pour approfondir Cliquez pour approfondir Cliquez pour approfondir l’éco-conception c’est quoi ?

Le greenwashing est un phénomène qui profite des aspirations écologiques des consommateurs pour en faire, avec un certain cynisme un pur levier de marketing, bien loin d’une politique sincère de développement durable. En donnant une image « verte » à des entreprises, des services et des produits qui ne le sont pas, ce "blanchiment écologique" des activités industrielles et commerciales minimise et banalise la nécessité impérative de changer nos comportements de consommation. En outre, ce "verdissement d’image" participe directement à la désinformation des consommateurs, contrecarre les efforts importants de sensibilisation faits en ce sens par les associations, par les pouvoirs publics (ADEME pour la France), et discrédite la démarche de progrès déjà initiée par quelques entreprises courageuses. by mailyscrespel Mar 17

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