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Centre d'Enseignement Multimédia Universitaire (C.E.M.U.) Université de Caen Basse-Normandie - Les producteurs - Canal-U

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Apprêter la nourriture informationnelle Le nombre d’initiatives d’enseignement visant à «éduquer aux médias» fournit un indice quant à l’importance de l’utilisation des médias électroniques pour les jeunes. Qu’apprend t’on dans ces services ? On y apprend à chercher et trouver, à sélectionner et qualifier les sources d’information, à utiliser efficacement Internet et à éviter ses pièges. On essaie surtout d’augmenter l’esprit critique tant à propos des messages, aussi bien ceux que l’on reçoit que ceux que l’on diffuse, que des médias. L’analogie entre l’information et la nourriture existe depuis longtemps. On parle d’infobésité, de menu, de cocktail, etc.; cette analogie est particulièrement riche. Analogie culinaire JP Rangaswami dans «Information is food» fait observer qu’il y a une corrélation biologique forte entre la taille de l’estomac proportionnellement à celle du cerveau: dans le règne animal plus l’estomac est gros, plus le cerveau est petit. Rétablir le contrôle Références JP Rangaswami «Information is food» sur Ted

Un milieu d'apprentissage ? Excluons d’office les « tiers lieux » et autres « Learning centers », lieux d’apprentissage hors-classe ou l’étudiant recherche confort, calme, convivialité et fonctionnalités (courant, wifi, cafétéria) pour travailler seul ou en groupe (cela fera l’objet d’un autre article). Centrons nous donc sur nos classes et sur nos espaces d’apprentissage, ceux gérés par les enseignants… Pour mieux comprendre la notion d’environnement d’apprentissage, décortiquons l’acte pédagogique. Ce dernier possède 4 constituants qui interagissent : le lieu, l’intention, les personnes et les outils. Attardons-nous sur chacun de ces éléments. Si nous parlons d’enseignement en présence, ce lieu est le plus souvent la classe, mais pourrait être autre lors de sorties pédagogiques (salle de cinéma, musée, bibliothèque, entreprise…). Les élèves apprécient la mise en situation et pour l’avoir pratiqué, apprendre sur un lieu « inspirant » est très formateur. 2 - L’intention (faire apprendre) : Les étudiants :

Culture numérique 2012-2013 > 09 : Twitter - Centre d'Enseignement Multimédia Universitaire (C.E.M.U.) Université de Caen Basse-Normandie Bibliographie : les indispensables Outre les articles ou références qui seront mentionnés sur la page de chaque cours, quelquesouvrages constituent les « indispensables » pour entrer de plein pied dans cette approche de laculture numérique. Leur nombre est volontairement limité, et il s'agit d'ouvrage courts etaccessibles. Vu, lu, su : Les architectes de l'information face à l'oligopole du Web , Jean-Michel Salaün,Ed. La Découverte, 2012 (151 p., 16 €) Dans le labyrinthe : Évaluer l'information sur internet, Alexandre Serres,C&F éditions, 2012 (224 p., 22 €) La Neutralité de l'internet : Un enjeu de communication, Valérie Schafer, Hervé Le Crosnier,Francesca Musiani, CNRS editions, coll. L'édition électronique, Marin Dacos, Pierre Mounier,Ed. Lien de référence du le menu vers « culture numérique » Licence Creative Commons, by,sa

Accueil Welcome to our PEER Partner repository hosted by HAL - CCSD, CNRS PEER (Publishing and the Ecology of European Research), supported by the EC eContentplus programme, will investigate the effects of the large-scale, systematic depositing of authors' final peer-reviewed manuscripts (so called Green Open Access or stage-two research output) on reader access, author visibility, and journal viability, as well as on the broader ecology of European research. The project is a collaboration between publishers, repositories and researchers and will last from 2008 to 2012. PEER repositories: eSciDoc.PubMan.PEER, Max Planck Digital Library (MPDL), Max-Planck-Gesellschaft zur Forderung der Wissenschaften e.V. HAL, CNRS & Institut National de Recherche en Informatique et en Automatique (INRIA); Gottingen State and University Library (UGOE); University Library of Debrecen, Hungary; SSOAR - Social Sciences Open Access repository (GESIS - Leibniz Institute for the Social Sciences); BMJ Publishing Group;

Libre accès à l'information scientifique et technique Panorama des médias sociaux 2016 You can find the english version of this article here: Social Media Landscape 2016. Publié pour la première fois en 2008, mon panorama des médias sociaux est devenu au fil des ans mon marronnier : je le ressors au mois de mai comme certains nous refourguent les prix de l’immobilier ou le salaire des cadres. Croyez-le ou non, mais il ne se passe pas une semaine sans que l’on me contacte pour me demander l’autorisation d’exploiter l’une ou l’autre des versions du panorama. Si ce schéma a autant de succès, c’est que le sujet n’est pas simple à comprendre et qu’il occupe aujourd’hui une place prépondérante dans notre quotidien. Le dernier sondage que j’ai vu passer faisait état d’une moyenne de 30 minutes passé tous les jours sur Facebook. Si à la base, les médias sociaux étaient des espaces de conversation et de partage, ce sont devenus des canaux d’information, de communication et d’interaction de tout premier ordre. Facebook a gagné (en apparence) L’avènement des plateformes

Infobésité ? Au régime, tout de suite ! D'où viennent ces sentiments d'étourdissement et d'épuisement cérébral que nous sommes nombreux à ressentir en fin de journée ? Sans doute d'un trop-plein d'information. Nous sommes victimes de l'infobésité ! Une alimentation trop riche en informations Comme le rappelait médiaculture en décembre 2012, les Français passent plus de 4 heures par jour en moyenne devant la télé. Comment ne pas crouler sous la fatigue alors que nous sommes assaillis par une telle masse d'informations ? Peut-être direz-vous, mais c'est comme ça, on doit s'adapter ou périr : pas question de manquer tous les nouvelles informations qui sont déposées sur la Toile ! À la diète! Alors, comment faire pour se désintoxiquer de ce régime informationnel qui devient peu à peu toxique? Pour commencer, comme le rappelle l'article de médiaculture, on essaiera d'aller chercher l'information à la source, plutôt que sur les réseaux sociaux qui répètent les mêmes nouvelles ad libitum. Crédit image: Ilike, shutterstock

Les solutions alternatives contre l'infobésité L'infobésité est le terme québécois qui désigne la surcharge d'information (information overload en anglais). Elle décrit la situation d'abondance d'information, mais aussi d'incapacité d’assimilation et de réemploi de l’information, pour l’individu et pour l’organisation, ce qui pourrait avoir des conséquences sur la productivité et l’efficacité. Dans un article paru sur le blog Culture & TIC déjà en 2005, Olivier Thiebaut parlait de l'infobésité comme étant le mal de la société de l'information et le décrivait comme suit : « Qui ne s’est jamais perdu dans la profusion de ses favoris Internet ? N’a jamais téléchargé en cas de besoin, des études, rapports et autres livres blancs finalement jamais lus ? Recherché sur son disque dur un contenu "mis de côté" sans se souvenir où ni sous quelle forme (mél, document Word, PDF, page html, fichier multimédia) ? Ce sujet suscite beaucoup d'intérêt sur la Toile au point qu'il met aux prises deux tendances. Les solutions technologiques

Les algorithmes nous volent notre hasard et nous nous laissons faire. Une conversation avec Philippe Vion-Dury - Sur internet, nous sommes tous sous l’emprise d’algorithmes divers, c’est un lieu commun. Et c’est justement pour ça qu’il faut l’étudier en détail. Philippe Vion-Dury, journaliste, s’y attelle dans son récent ouvrage La nouvelle servitude volontaire, enquête sur le projet politique de la Silicon Valley (éd. FYP). Ce qui constitue l’idéal même de la révolution française tient en quelques mots : privilégier ce qu’on choisit et décide soi-même. Les services tels que Facebook, Spotify, Netflix et les autres ont une particularité : ils calculent et anticipent nos besoins pour maximiser le temps que nous passons chez eux. D’une certaine façon, on peut dire qu’ils sacrifient le hasard pour accoucher d’un monde de probabilités beaucoup plus facilement monétisable. « Certains défendent que l’on peut faire de « bons » algorithmes qui pourraient créer du hasard… Or simuler le hasard c’est très compliqué, n’importe quel mathématicien le sait. « Le premier filtre est en nous. Et poursuit :

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