Psychologie shème
Dans divers domaines d’activité, il est établi que les conduites (perceptives motrices, ou cognitives) ne se répètent jamais strictement à l’identique. Toutefois, ces conduites sont sous-tendues parfois une organisation commune stable qui, quant à elle, est reproductible dans une variété contextes perçus par le sujet comme similaires. Cette organisation invariante de la conduite est le schème. L’écriture est un bon exemple d’application d’un schème. Employé à l’origine à la fin du XV siècle par le philosophe E. Pour G. >un but et des sous-buts ; >des règles d’action, de prise d’information et de contrôle ; >des inférences ; >des invariants opératoires (voir Invariant opératoire). En guise d’exemple, prenons le cas du schème de comptage. recherches similaires: Rejoignez le forum de discussion sur Psychologie shème
theorie des champs conceptuels
Nous avons vu que Piaget met un accent sur le processus d’adaptation, de déséquilibration et rééquilibration et que Vygotski défend que le social, le langage et la symbolisation sont les processus centraux du développement cognitif. D’après les influences des théories piagétienne et de Vygotski, Gérard Vergnaud développe la théorie des champs conceptuels dans laquelle il défend que les schèmes sont au centre du développement cognitif. La théorie des Champs Conceptuels est une ‘« …théorie cognitive, qui vise à fournir un cadre cohérent et quelques principes de base pour l’étude du développement et de l’apprentissage des compétences complexes, notamment de celles qui relèvent des sciences et des techniques » (Vergnaud, 1996, p. 197). ’ Vergnaud a défini le développement cognitif comme un développement d’un grand répertoire de schèmes, en affectant différentes aspects de l’activité humaine, cela en raison des expériences. Un schème est formé de quatre composantes : c) Arguments – les objets.
Université d'automne : « Analyse de pratiques et professionnalité des enseignants » - La conceptualisation, clef de voûte des rapports entre pratique et théorie
Gérard VERGNAUD, directeur de recherche - Cnrs Ma thèse a été menée sous la direction de Piaget. J'ai longtemps coordonné au CNRS un groupement de recherche sur la didactique des mathématiques et de la physique, avant de m'orienter vers les problèmes de compétences des adultes disposant d'une formation initiale faible. J'ai alors créé un club CRIN (recherche industrie) sur le développement des compétences des adultes, ce qui m'a conduit à travailler avec des entreprises. Forme prédicative et forme opératoire de la connaissance Définitions Les relations entre théorie et pratique peuvent être placées sous deux angles contradictoires : il est parfois reproché aux pratiques de trop s'éloigner de ce que prescrit la théorie. Exemples L'industrie fournit quelques exemples de cet écart.Dans un atelier de maintenance des pompes à eau d'une entreprise de production de béton, un technicien est particulièrement compétent pour réparer un certain type de panne. Pour une théorie de la pratique Le schème
La « médecine des preuves » (EBM) - Médecine intégrée
La « médecine des preuves » « Si la bonne santé était contagieuse, les médecins en feraient une maladie » Sacha Guitry. Jusqu’au milieu du 20ème siècle, la vérité médicale était celle qui sortait de la bouche des “maîtres”. C’est une démarche explicite de recherche, d’évaluation et d’utilisation des meilleures preuves récentes disponibles pour résoudre un problème clinique précis. formulation du problème médical posé de façon claire et précise, recherche dans la littérature et sélection des articles les plus pertinents se rapportant à la question posée, évaluation de la validité et de l’applicabilité des conclusions pratiques des articles, intégration des conclusions retenues pour répondre à la question principale. L’EBM à trouvé, dès les années 1990, de multiples applications dans la rationalisation de la prise en charge médicalisée : quel type de patient pouvait bénéficier d’un traitement ? Mais, même chez les classiques, les critiques n’ont pas manqué. …………………………………………………….. « EBM.
sans titre
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Dans ce post nous allons aborder l’apprentissage par les pairs, nommé aussi pairagogie, co-apprentissage, co-didaxie ou peer instruction: pourquoi et comment le mettre en place à l’université ? Lors de ma dernière mission de consultance, dans une université au Niger, j’ai commencé la séance par une expérience qui avait pour objectif de faire prendre conscience aux chefs de département de la puissance de l’apprentissage par les pairs. L’énigme ci-dessous était projetée sur le diaporama et les participants avaient à leur disposition quatre cartons de couleur (un vert, un jaune, un bleu et un rouge) pour y répondre. Allez, je suis d’humeur joueuse, je vous laisse trouver vous-même la réponse On n’est pas le lendemain de lundi ni le jour avant jeudi, demain n’est pas dimanche, hier n’était pas dimanche, après demain n’est pas samedi et avant-hier n’était pas mercredi, nous sommes: 1. Mardi 2. Voici quelques exemples d’activités pédagogiques qui favorisent l’apprentissage par les pairs. )?