
Quand la génération Y s'engage autant pour les XX que pour les XY. Rencontre avec Emmanuelle Duez, présidente et co-fondatrice du réseau d'étudiant-es Women'Up Ils et elles ont 25 ans et des idées, de l’énergie et de l’enthousiasme à revendre. Ils et elles appartiennent à ce qu’on appelle à tort ou à raison la génération Y. Une génération qu’on dit individualiste quand on la renvoie à sa caricature. Plutôt une génération humaniste, quand on y regarde de plus près car sa caractéristique principale, c’est qu’elle place au centre de ses préoccupations la liberté de choix, autant dans la vie professionnelle que dans la vie privée. Programme Eve : Bonjour, vous êtes la Présidente et co-fondatrice de Women’up, un réseau d’étudiants et étudiantes des grandes écoles qui veut agir en faveur de la mixité en entreprise et de l’accès des femmes aux responsabilités. Emmanuelle Duez : Women’Up est une association née il y a près de trois ans, à la suite d’une mission qu’Adeline Braescu-Kerlan, co-fondatrice, et moi-même avons effectuée dans le cadre de la chaire “leadership et diversité” de l’ESSEC. Women'Up, créateur de lien, révélateur de talents
La Génération Y s’invite au Women's Forum Le Women's Forum pour sa huitième édition qui s’est déroulée à Deauville, reste un Davos au féminin pour les femmes du top management et des intervenants de haute volée. Mais cette année, un vent de fraicheur et d’innovation a soufflé sur les conférences et les ateliers de cet immense hub pour femmes d’affaires, remettant au cœur des préoccupations les enjeux et les aspirations de la Generation des « Yers ». Leur leitmotiv ? S’épanouir, et ne surtout pas tout sacrifier au boulot. Cette année, un tiers des conférences concernait les moins de 30 ans. « Il faut croire en ses rêves, ne pas avoir peur d’être ambitieuse », explique Emmanuelle Duez, présidente de Women’up, une association de promotion de la diversité en entreprise. « Il faut savoir créer des solidarités intergénérationelles et savoir compter sur la transmission des seniors et des baby-boomers qui ont envie de partager leur expérience. « On a besoin de challenge permanent. »
Bientôt des profs roumains dans les collèges et lycées français? Après les plombiers polonais et les infirmières espagnoles, voici peut-être venu le temps des professeurs roumains ? Sur le papier en tout cas, les ressortissants de ce pays de 22 millions d'habitants m vont pouvoir passer, comme les autres citoyens des Etats membres de l’Union Européenne, la plupart des concours organisés par l’Education Nationale. Le gouvernement vient effet d'établir une liste de 291 métiers désormais ouverts aux Roumains ainsi qu'aux Bulgares. Le gouvernement le reconnaît d’ailleurs sans détour. 43.000 postes à pourvoir en 2013 Les besoins de l’Education nationale sont réels. Pour tenir l’objectif fixé par François Hollande, Vincent Peillon a prévu de créer 43.000 postes en 2013. 1 Roumain sur 5 est réputé francophone Or les Roumains sont, de tous les citoyens de l’Union Européenne, potentiellement, les plus à même de réussir les concours.
« La génération Y change les codes du travail » L'arrivée dans le milieu de l'entreprise des jeunes salariés de moins de 30 ans influe sur la façon dont l'équilibre entre vie personnelle et professionnelle s'articule. Mais cela modifie également en profondeur les modes de management. Entretien avec Emmanuelle Duez, Présidente et cofondatrice de l'association Women'Up. Terrafemina : Vous avez organisé en décembre dernier un colloque sur la génération Y. Qu'avez-vous appris des représentants Y qui s’y sont exprimés ? Emmanuelle Duez : Nous avons tout d’abord tenté de définir ce qu’était la génération Y. TF : Vous avez abordé la question de la diversité avec les Y. E.D : Il est certain que cette génération va impacter durablement la question de la diversité. Lire la suite de l'article sur terrafemina.com Génération Y : le poil à gratter des entreprisesReconnaissance au travail : mon travail est-il valorisé ?
Elizabeth Perle: The 'Y Revolution' in Business Apparently, 80% of Gen Y-ers across the world are dissatisfied (or only somewhat satisfied) with the current balance between public and private in the corporate world. Are you surprised? This statistic comes from a recent study conducted by Mazars, an international consulting firm, and WoMen'Up, an association focused on gender diversity, involving 1011 young people from 64 nationalities. They presented the results of this research, which examined the perspectives of young people on gender equality and business, at the 2012 Women's Economic Forum Global Meeting. (Full disclosure: I am a speaker at the event this week.) "We believe that what we call Generation Y is more than just an isolated generational effect, it is a culture, a fundamental movement that will intensify with the arrival of the new generation, 'Z'," said Emmanuelle Duez, co-founder of WoMan'Up. Here are three points I found particularly interesting from the study. 1. 2. Do you think that companies should adapt for Gen Y?
Moi, fumeur et acheteur de cannabis, bien placé pour vous en parler | Rue89 Politique Vincent Peillon a relancé le débat tabou de la dépénalisation. Dépendance, point de vente : René C. témoigne de l’hypocrisie et de l’inefficacité de la répression. Une personne fume un joint, à Lyon (JEFF PACHOUD/AFP) Comme quelques millions d’autres compatriotes, je suis un fumeur de cannabis. J’y suis même un peu dépendant, malgré les conséquences néfastes que ça pourrait avoir sur moi (par ordre d’importance : avoir des ennuis judiciaires, avoir des ennuis de santé, avoir des ennuis financiers). Making of Dimanche, Vincent Peillon s’est prononcé en faveur d’un débat sur la dépénalisation du cannabis comme moyen de lutter contre les trafics – le ministre de l’Education s’est fait rappeler à l’ordre par Jean-Marc Ayrault et a essuyé les critiques de l’opposition. Une plante qui s’est banalisée semble toujours taboue pour une partie de ceux qui nous dirigent, observait René C. Emilie Brouze Je ne suis ni devenu héroïnomane, ni devenu fou. « Est-ce que j’ai bien fermé la porte ? Chiffre Dico
Génération Y : les trentenaires peuvent-ils encore changer le monde Les trentenaires sont bien moins insouciants qu'on pourrait le penser. (Flickr/Celesteh/cc) Ces derniers jours on parle beaucoup du traité budgétaire européen. Sans doute, les désillusions vont être nombreuses dans les semaines à venir. Changer les entreprises, plutôt que les salariés La génération Y, communément appelée ainsi pour décrire les personnes nées dans le début des années 80 jusqu’au milieu des années 90 (avec un ordi dans la main), est symptomatique d’un monde en mutation et véhicule de nouvelles valeurs. Le grand changement réside surtout dans le refus d’une dimension sacrificielle, le travail ne doit plus être vécu comme une corvée ou de loyaux services rendus avec licenciements à la clef. Si la génération Y est souvent perçue comme inadaptée dans le monde de l’entreprise, force est de constater que c’est la structure de l’entreprise elle-même qu’il faut changer. Les 7 propositions qui choquent le plus des jeunes, dans le monde de l'entreprise selon l'étude - p.21 (DR).
Pénurie d'éthylotest : pas de PV avant mars 2013 - Société Manuel Valls a décidé de reporter de quatre mois la verbalisation pour défaut d'éthylotest. Les conducteurs risquaient, à partir du 1er novembre, une amende de 11 euros s'ils n'en détenaient pas à bord du véhicule. Problème : la pénurie d'éthylotests dans le commerce en France oblige le ministre de l'Intérieur à repousser les sanctions. Afin d'enrayer les accidents liés à l'alcool au volant, une loi avait été votée. Tout véhicule à moteur doit être équipé d'un éthylotest, chimique ou électronique, pour permettre au conducteur de contrôler leur taux d'alcoolémie avant de prendre le volant. En cas d'infraction, une amende de 11 euros. Pas de PV avant mars 2013 "Compte tenu des difficultés d'approvisionnement recensées dans certaines régions", le ministre de l'Intérieur a décidé de reporter "le contrôle de l'obligation de détention d'un éthylotest". Ce qui est rare est cher, le prix des éthylotests a flambé ces derniers mois, passant parfois de un à cinq euros.
Emploi : La génération Y s'approprie l'égalité hommes-femmes Les jeunes de 18 à 30 ans estiment à 77 % que la question de la parité est un véritable challenge pour les entreprises. La génération Y (1) revendique le droit au bonheur…. et à la parité hommes-femmes en entreprise. «A l'inverse de leurs parents, qui mettaient en avant la recherche de l'indépendance financière comme premier objectif de vie, les jeunes de la génération Y revendiquent à plus de 55 % l'équilibre vie privée-vie professionnelle et la possibilité de vivre pleinement leur vie», explique Muriel de Saint-Sauveur, directrice de la diversité du groupe Mazars. Ils sont aussi fortement concernés par l'émergence de l'égalité entre homme et femmes sur le lieu de travail et estiment à 77 % qu'il s'agit d'un challenge important pour l'entreprise. Le groupe d'audit et de conseil vient de réaliser une enquête auprès de 1011 jeunes de 64 nationalités différentes, en partenariat avec l'association WoMen'Up, spécialisée dans la mixité en entreprises sous l'angle de la génération Y.