
Réseaux sociaux : un atout pour votre entreprise Facebook, Viadeo, Myspace... Les réseaux sociaux attirent de plus en plus de personnes sur Internet. Les entreprises doivent apprendre à s'en servir pour s'adresser à de nouvelles cibles. Ce nouveau canal de communication permet de renforcer la présence de votre société sur Internet, d'accroître votre nombre de clients et de recruter différemment vos futurs collaborateurs. Qu'est-ce que les réseaux sociaux ? Les réseaux sociaux sur Internet sont des regroupements virtuels de personnes physiques ou de personnes morales (associations, entreprises, institutions) permettant à leurs membres de discuter et d'échanger sur des sites dédiés. les particuliers pour partager des informations, des liens, des centres d'intérêt, rechercher des personnes, publier des photos, des vidéos,etc. les professionnels pour générer du business, faire connaître leur entreprise, leurs services, faire de la veille économique, suivre les tendances actuelles, effectuer des recrutements,etc. Facebook Twitter Viadeo MySpace
Rumeurs en entreprise: comment désamorcer la crise? Et si les discussions autour de la machine à café ou pendant la pause déjeuner étaient plus dangeureuses qu'elles n'y paraissent? Car ces moments de détente entre collègues où l'on passe en revue la vie au bureau, les dernières décisions du groupe sont le nid de nombreuses rumeurs qui circulent et déstabilisent l'entreprise. Entre un congé maladie qui devient licenciement, une future collaboration qui se transforme en crainte de fusion, un déménagement qui devient délocalisation, il n'y a qu'un pas. Contrairement aux idées reçues, l'affluence des rumeurs au sein des entreprises n'est pas liée à un intérêt particulier pour les ragots mais plutôt à une mauvaise communication. Pire: un manager sur deux se disait également informé de cette façon. Désamorcer la rumeur La loi du silence, solution préférée de la plupart des entreprises, n'est à appliquer qu'en dernier recours, lorsque l'information est loin d'être crédible.
Communication de crise 2.0 : quels leviers pour les marques ? Rapidité de diffusion de l'information, engagement de l'audience, emballement médiatique... Quelles mécaniques peut-on observer dans les controverses en ligne ? Comment les marques doivent-elles réagir au sein de ce nouvel environnement ? Eléments de réponse par le Social Media Club et ses membres. Un combat asymétrique Emmanuel Bloch, Doctorant à l’IFP, Directeur de la Communication Externe chez Thales et auteur de "Communication de crise et médias sociaux", propose de mettre en parallèle l’utilisation des nouvelles technologies de l’information par les mouvements de contestation et les stratégies de combat dites « asymétriques » déployées sur les théâtres d’opération militaire ces dernières années, notamment en Afghanistan. Un ennemi difficilement identifiable Les mouvements de contestation en ligne peuvent fédérer des dizaines de milliers de personnes, spontanément, suite à un appel lancé par des ONG comme Greenpeace ou Avaaz. A chaque camp son tempo... …son objectif... … et ses règles.
Étude: Les marques sous-estiment-elles le pouvoir des médias sociaux ? D’après une étude de Yesmail Interactive, agence de marketing nord-américaine, les marques sous-estimeraient les médias sociaux dans le cadre de leur stratégie marketing. L’étude montre que les médias sociaux jouent un rôle d’influence dans les décisions d’achat. L’agence de marketing en ligne Yesmail a sondé 500 consommateurs pour analyser leurs habitudes de consommation en ligne et/ou en magasin. Les réseaux sociaux : inutiles en e-commerce ? Le mois dernier une étude de Forrester Research révélait que les réseaux sociaux étaient peu efficaces dans la vente en ligne. L’influence des médias sociaux sur les décisions d’achat en magasin appelle à une intégration plus étroite entre les médias sociaux et les promotions en magasin. Les chiffres : Les promotions via les médias sociaux mènent 34% des acheteurs vers l’achat de produits, mais seulement 8% des campagnes publicitaires de Facebook se sont portées sur des promotions et bons plans tels que les rabais et la livraison gratuite.
ÉTUDE : Quelles conséquences la COVID-19 a-t-elle sur les marketeurs et communicants ? Depuis la mi-mars, toutes les entreprises ont dû faire face à un événement majeur et mondial : la pandémie de la COVID-19. Cette crise sanitaire a modifié les habitudes des entreprises et engendré des changements dans les métiers, notamment ceux de la communication et du marketing. Communication de crise, canaux et techniques utilisés, résultats obtenus ou encore adaptation des stratégies, comment les marketeurs et communicants ont-ils fait face à cette crise ? Pour comprendre en détail les problématiques et les expériences des marketeurs et communicants, Cision a mené une étude en mai 2020. 552 personnes ont été interrogées avec pour objectif de comprendre comment ils ont traversé la crise liée à la COVID-19 et l’impact de cette dernière sur leurs pratiques ainsi que sur leurs futures actions et plus largement sur l’avenir de leur métier. Quels impacts sur les campagnes en cours ? Quelle stratégie pour l’avenir ?
Pourquoi une marque ne doit pas céder dans les médias sociaux : le cas d’école Starbucks Citoyens ! On se revoit encore les brillants commentateurs du Social Media crier victoire quand Gap a tenté de changer son logo. La victoire de l’homme du PMU du riche (à savoir Twitter) contre la marque qui n’aurait rien compris aux attentes des consommateurs. Un peu comme quand on se croit faire la guerre en Iran depuis son petit PC bien au chaud en France. N’empêche que GAP a au pire réussi à apparaitre comme une marque molle : à force de céder aux sirènes des suivis, on se retrouve dans la place du suiveur.N’empêche que GAP a peut être joué avec le feu afin de générer de l’attention pour monter en puissance avant une date clé pour la marque en 2013 : générer un quart de son business via le e-commerce. Bis repetita ces derniers jours avec Starbucks qui se met à changer son logo. Annonce le 5 janvier du nouveau positionnement de la marque et donc du changement de logo induit sur le blog corporate de la marque. En conclusion, je cite cet internaute sur la fan page de Starbucks :
Quels médias sociaux choisir pour sa stratégie B to B ? Les réseaux sociaux ne sont pas uniquement destinés à des entreprises travaillant en B to C. En effet, certains réseaux sociaux sont même tout particulièrement adaptés pour les entreprises ciblant les entreprises. Voici la sélection des médias sociaux les plus adaptés et les actions concrètes à mettre en place pour obtenir des résultats probants ! LinkedIn : Le pionnier LinkedIn est un excellent réseau social pour les entreprises travaillant en B to B. Tout d’abord, construisez votre réseau de relations en vous créant un compte personnel. En deuxième étape, construisez votre page entreprise. Afin d’obtenir des abonnés, deux possibilités s’offrent à vous : Tout d’abord, mettre un bouton LinkedIn sur votre site Internet (cf image). La troisième étape lorsque votre base d’abonnés est développée : vous pouvez publier sur votre page entreprise et décider, par un ciblage précis, qui pourra voir le poste dans les personnes qui vous suivent. Viadeo : Le challenger Twitter : La valeur sûre
Pourquoi les enseignants craignent de s’exprimer dans les médias Cet article est paru dans « Le Monde de l’éducation ». Si vous êtes abonné au Monde, vous pouvez vous inscrire à cette lettre hebdomadaire en suivant ce lien. « Mon directeur vient de me dire que je n’aurais jamais dû parler à une journaliste » ; « Vous m’assurez que mon nom n’apparaîtra pas ? » ; « Je suis soumis au devoir de réserve » ; « Je crois que je dois d’abord demander l’autorisation au rectorat ». Les raisons de se taire ne manquent pas : peur de risquer des sanctions administratives ou de se faire taper sur les doigts par sa hiérarchie, de s’attirer les foudres des collègues, de voir ses propos caricaturés, etc. Lire aussi Retour à l’école : « Finalement, la vie scolaire reprend ses droits » « Les enseignants pourraient en dire beaucoup plus que ce qu’ils ne se permettent, sans rien avoir à craindre », assure l’historien de l’éducation Claude Lelièvre. Les manquements à cette obligation de réserve relèvent de la jurisprudence élaborée depuis cet arrêt.
Communication de crise : Ça passe ou ça casse Les entreprises le découvrent parfois à leurs dépends. Les "crises" d'aujourd'hui sont bien différentes de celles d'hier, l'opinion et les médias n'ayant plus la même lecture des événements. Catastrophes, irrégularités comptables, accidents d'exploitation, maladresses commerciales : face à une "crise", les courants actuels mettent généralement en avant les dysfonctionnements internes de l'entreprise et relèguent au second plan le caractère imprévu de l'événement. Une sorte de retour de manivelle pour des entreprises qui recherchent la médiatisation, et prônent la transparence et l'éthique. "La communication de crise s'est développée dans les années 80 en réponse à une ouverture des entreprises sur l'extérieur via la diffusion d'informations, estime Patrick Lagadec, spécialiste des situations de crise et directeur de recherche à l'Ecole Polytechnique. Cette ouverture a réinventé les notions de légitimité et de responsabilité pour les entreprises."
La 'Fruivolution' d'Oasis « Nous avons une vraie place en digital, déclare Amélie Louvet, marketing manager d'Oasis. Et cette place, nous l'avons acquise grâce à notre hyperréactivité, nos créations très quali, l'adaptation aux cibles, l'entertainement et la proximité avec les fans. » Exemples de créations : “à chaud” : “The Poirtist” (après le succès de The Artist) ou “FunHate” (après la campagne Benetton) sur Twitter, “La Vérité si je mangue 3”, ou “Purée, on s'pèle le jus, non ?” (au moment des grands froids) sur Facebook. Une étude de KR Media sur la fan page d'Oasis Pour en savoir plus sur les effets de sa présence sur les réseaux sociaux, Orangina Schweppes a fait réaliser par KR Media une étude2 sur la fan page Oasis. Un lancement qui privilégie les fans Forte de tous ces résultats, Oasis évolue : “on murit !” Autre opération : une nouvelle application mobile (le 4 avril) et enfin, le 11 avril, de l'affichage ciblé dans les gares (pour les départs en vacances).
L’art délicat de la communication de crise De très nombreuses crises de natures diverses (sociales, sanitaires, écologiques, financières, de réputation, communicationnelles, digitales, sécuritaires), éclatent au grand jour quasi quotidiennement, perturbant les organisations, qu’ils s’agissent d’entreprises, de gouvernements, d’églises, de clubs professionnels sportifs… En la matière, la recherche distingue clairement deux approches ; l’école processuelle où la crise résulte de dysfonctionnements antérieurs non traités et l’école événementielle dans laquelle elle est difficilement prévisible. Ces événements peuvent marquer durablement les esprits du fait de leur importante médiatisation démultipliée aujourd’hui par la caisse de résonance des médias sociaux. Les conséquences de ces crises sont également variées, d’un affaiblissement de l’image de marque et de la réputation de l’entreprise à une chute des ventes pouvant aller jusqu’au boycott en passant par des incidences négatives en interne comme la démotivation des employés.
Communiquer en période sensible: pourquoi, comment ? La crise économique a fortement « irrité » l’environnement dans lequel les entreprises évoluent. Avec l’avènement d’internet, la société de l’information voit encore s’accélérer la dissémination des informations. Dans ce contexte, la mise en place d’une communication efficace et sereine constitue aujourd’hui une gageure pour l’entreprise. Les médias sociaux amplifient le flux communicationnel, en le distordant, avec comme corollaire une perte de maîtrise du contenu et de la qualité du message de la part de l’entreprise émettrice. On le constate quotidiennement dans les médias: une situation critique peut très rapidement dégénérer une situation de crise. Nous sommes entrés dans l’ère des crises informationnelles récurrentes. Comment anticiper les risques éventuels ? Prendre en compte les aléas extérieurs La communication « sensible » n’est pas la communication de « crise » De notre point de vue, il y a une différence claire entre la communication « sensible » et celle « de crise ». [1] C.
Au-delà du nombre de fans, quel degré d'engagement des communautés de marque sur Facebook ? Le classement des 20 fan pages en langue française les plus visitées (source Socialbakers) enregistre une nouvelle entrée fracassante : Milka prend la 3e position et détrône M&M’s France qui quitte le top 3. Ces mouvements se font au détriment de Peugeot, qui avait effectué un retour dans le classement en début d’année. Tableau 1 - Nombre de fans au mois de février 2012 En février 2012, le taux d’accroissement moyen des communautés est fort, 9,31 % contre 5 % en janvier, porté par Chupa Chups, qui continue à recruter (+ 349 000 fans), Disneyland Paris (+ 177 000) et M&M’s France (+ 159 000). La page Schtroumpf Haribo commence à payer son manque de conversation avec ses fans. Tableau 2 - Nombre de fans gagnés en février 2012 par rapport à janvier En février, le niveau de conversation avec les fans est très (trop) faible, malgré le gain continuel de fans. Tableau 3 - Nombre de commentaires pour 10 000 fans en février 2012 par rapport à janvier
Les Français fidèles aux médias traditionnels pour les informations de crises Pour en savoir plus sur une actualité dite "chaude", une majorité des hexagonaux se tourneraient d'abord vers les chaînes TV avant le web et les médias sociaux. Quels médias les Français favorisent-ils pour suivre les actualités, et tout particulièrement les situations de crises rencontrées par certaines entreprises ? Si l'on en croit OpinionWay, les médias traditionnels. L'institut de sondage et d'études marketing a effectué une enquête auprès de 1012 Français, qui révèle que dans 96% des cas, les individus ont privilégié ces canaux d'informations contre 54% pour les médias web, afin de connaître les raisons de ces situations de crise. Et pour 50%, ce sont vers les chaînes télévisées généralistes qu'ils se sont tournés en premier lieu. Les réseaux sociaux à la traîne ? Viennent ensuite les chaînes de diffusion d'informations continues pour 20% des individus et la presse papier pour 8%. Même en dehors des périodes de crises