
Santé & sécurité au travail - Les films Napo Napo est une série de films d’animation réalisés par infographie. Les films présentent des personnages qui évoluent dans le monde du travail et qui sont confrontés à des problèmes de sécurité. Napo, le personnage principal, et ses partenaires s’expriment dans un langage qui se passe de mots. Leurs histoires ont une valeur éducative. La gravité des accidents liés au risque électrique reste élevée. En présentant différentes situations de travail, «Napo dans… Chocs électriques» aborde les risques majeurs liés à l’électricité en passant par l’organisation du travail, la coactivité, la maintenance... Ce film permet de lancer des discussions, des réflexions entre les principaux acteurs de l’entreprise. View episodes Les problèmes de stress au travail occasionnent un pourcentage important de journées de travail perdues, un nombre croissant de salariés estiment également que leur santé en est affectée. Les glissades et trébuchements sont très fréquents et beaucoup moins anodins qu’on ne le pense.
Risques psychosociaux (RPS). Ce qu’il faut retenir Sous l’effet des mutations du monde du travail telles que la complexité grandissante des tâches, la réduction des temps de repos, l’individualisation du travail ou encore les exigences accrues de la clientèle, la prise en compte des risques psychosociaux est devenue incontournable. Les risques psychosociaux (RPS) correspondent à des situations de travail où sont présents, combinés ou non : du stress : déséquilibre entre la perception qu’une personne a des contraintes de son environnement de travail et la perception qu’elle a de ses propres ressources pour y faire face ; des violences internes commises au sein de l’entreprise par des salariés : harcèlement moral ou sexuel, conflits exacerbés entre des personnes ou entre des équipes ; des violences externes commises sur des salariés par des personnes externes à l’entreprise (insultes, menaces, agressions…). Ce sont des risques qui peuvent être induits par l’activité elle-même ou générés par l’organisation et les relations de travail.
Formation et information La formation et l’information sont une obligation de l’employeur en matière de prévention des risques professionnels. Elles concernent tous les salariés, y compris les nouveaux embauchés, les intérimaires, les sous-traitants, ceux qui viennent de changer de poste, ceux qui interviennent de façon occasionnelle dans les activités d’entretien ou de maintenance. Elles ont pour corollaire le devoir du salarié de suivre ces formations et de respecter les consignes qui lui sont transmises. En matière de prévention des risques professionnels, l’employeur est obligé d’informer ses salariés. De leur côté, les salariés peuvent alerter leur hiérarchie en cas de problème lié à la santé et à la sécurité du travail. Renforcer les compétences par des formations Au-delà de ce devoir d’information, l’employeur a l’obligation d’assurer la formation à la sécurité des salariés, à l’embauche ou à l’occasion de toute modification du poste de travail. Diffusion et affichage au cœur de l’entreprise
17 mai 2021 Travailler plus de 55 heures par semaine augmente le risque de décès, selon une étude Travailler plus pour… mourir plus jeune ? C’est ce que semble conclure une étude publiée lundi 16 mai par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et l’Organisation internationale du travail (OIT). Travailler plus de 55 heures par semaine augmenterait ainsi le risque des décès dus aux maladies cardiaques et aux accidents vasculaires cérébraux. Cette première analyse mondiale des pertes de vies humaines et des atteintes à la santé associées aux longues heures de travail est publiée alors que la pandémie de Covid-19 accélère les évolutions susceptibles de renforcer la tendance à travailler pendant de plus longues heures. L’étude, publiée dans la revue Environment international, ne porte toutefois pas sur la pandémie, mais sur les années précédentes. Les auteurs ont synthétisé les données issues de dizaines d’études portant sur des centaines de milliers de participants. Premier facteur de risque de maladie professionnelle La pandémie pourrait accentuer la tendance Le Monde avec AFP
Ergonomie : la posture parfaite dans un bureau idéal Réglages de l'écran, hauteur du siège, positions des mains... Découvrez comment éviter les dégâts du travail de bureau sur votre corps. Passez votre souris sur les points rouges pour faire apparaître le texte. © zosiamax - Fotolia.com Prenez-vous, chaque matin, les secondes nécessaires pour vous installer confortablement ? Car oui, le travail de bureau vous tue. réglez votre siège, votre écran, vos accoudoirs... adoptez une position correcte : bien assis, la colonne vertébrale droite, les pieds au sol, les mains à plat, les épaules détendues... bougez au cours de votre journée : même bien assis, votre corps a besoin de se déplacer.
Stress au travail. Effets sur la santé L’alarme : l’organisme se prépare au combat ou à la fuite Dès sa confrontation à une situation évaluée comme stressante, l'organisme réagit immédiatement en libérant des catécholamines (hormones produites par la glande médullo-surrénale, dont l’adrénaline). Celles-ci augmentent la fréquence cardiaque, la tension artérielle, les niveaux de vigilance, la température corporelle… Ces modifications ont pour but de préparer l'organisme à réagir en amenant par exemple de l’oxygène aux organes qui vont être sollicités. Si la situation persiste, l’organisme entre en phase de résistance Peu de temps après la première phase, de nouvelles hormones, les glucocorticoïdes, sont sécrétées (par la glande corticosurrénale). Évaluation cognitive et stratégies d’adaptation individuelle Le syndrome général d’adaptation peut être modulé selon l’intensité et la durée des facteurs stressants en cause et selon nos expériences passées. l’enjeu que représente pour lui la situation : est-ce une perte ?
Guide des EPI : les équipements de protection individuelle par métier Protéger son audition et travailler dans le bruit Comment choisir ses protections auditives, prévenir les accidents auditifs et supporter le travail dans un environnement bruyant ? Le but des PICB (protecteur individuel contre le bruit) est de faire redescendre le niveau sonore perçu des travailleurs sous les 80 dB. Chaque EPI contient des protections auditives pour éviter les accidents au niveau de l’oreille et offrir des conditions de travail acceptables sur chantier et en atelier où l’utilisation des machines et les travaux produisent un haut niveau sonore. Les protections auditives sont déclinés sous 3 formes : Nb : pour une source sonore supérieure à 105 dB, il est recommandé de porter une double protection auditive (bouchons d’oreilles et casque anti-bruit) pour un gain de 10 dB environ et lorsque l’exposition au bruit est supérieure à 8h00 avec des intensités supérieures à 95 dB. Tous les PICB sont adaptés à un niveau de 110 dB.
Protection individuelle. La protection individuelle - Démarches de prévention Place de la protection individuelle dans la démarche de prévention Dans une situation de travail exposant les travailleurs à des nuisances, l’employeur doit au préalable identifier et évaluer ces risques. Cette évaluation des risques va lui permettre de définir les mesures de prévention prioritaires afin de préserver la santé et la sécurité de ses salariés. Ces mesures auront pour objectif principal d’éliminer ou de réduire les risques. Par exemple, des appareils de protection respiratoire sont utilisés pour des interventions pour lesquelles il est impossible de mettre en place un dispositif suffisant de captage ou d’assainissement de l’air (interventions dans des espaces confinés...) ou pour des interventions à caractère exceptionnel et de courte durée (transvasement d’un produit chimique dangereux ...). Il existe des dispositions particulières concernant les EPI dans de nombreux textes ou recommandations de la CNAMTS. Performances des EPI Choix des EPI : une démarche concertée
Législation sur la trousse de secours dans les véhicules de société Les véhicules d’entreprise représentent une part importante du parc automobile français et équipent aussi bien les firmes du secteur public que celles du secteur privé. Ces sociétés sont même considérées comme le moteur de la croissance du marché automobile en France. Selon l'observatoire du véhicule d'entreprise (OVE), l’année 2016 a été une année record et l’année 2017 s’annonce très prometteuse. La voiture de société aussi appelée voiture de service s’emploie uniquement pour des trajets professionnels et se distingue donc du véhicule de fonction que le salarié peut utiliser dans le cadre de trajets privés. En abordant le sujet de la législation de la trousse de secours dans les voitures d’entreprise, il est indispensable de se replonger dans le Code du Travail. Le regard de la loi Aucune loi ne stipule l’obligation de se munir d’un kit de secours dans une voiture de service. Selon la loi, l’employeur est responsable de l’équipement en trousse de secours des voitures d’entreprise.
Ergonomie 1. Bien s'asseoir au fond du siège et appuyer le dos sur le dossier. La meilleure position du corps et la plus naturelle est la position debout. Lors du travail en position assise, la pression au niveau des disques intervertébraux augmente. 2. 3. Entreprises : vous avez des obligations d’affichage de certaines informations pour vos salariés ! | economie.gouv.fr En tant qu’employeur vous avez des obligations en termes d’affichage et de communication de certaines informations à vos salariés. En cas de non-respect (constaté par l'inspection du travail) de vos obligations, vous vous exposez à des sanctions. Notamment à une amende pour défaut d'affichage, et en cas de récidive à une condamnation d'un an de prison et 37 500 € d'amende pour délit d'obstacle (article L8114-1 du Code du travail). Le site service-public vous donne les règles applicables dans ce domaine : Nouveautés 2019 Depuis le 1er janvier 2019, l'employeur doit, par tout moyen (affichage, intranet, courriel par exemple), informer les salariés, les personnes en formation, les stagiaires et les candidats à une embauche, à un stage ou à une formation de : Affichages ou diffusions obligatoires dans toutes les entreprises Les informations signalées par un astérisque* ne doivent pas ou plus être obligatoirement communiquées aux salariés par le biais dans affichage dans les locaux.
Appliquer les règles d’hygiène et de sécurité - Fiducial Obligation de l’employeur Tout employeur est soumis à une obligation générale de sécurité à l'égard de ses salariés, il doit donc mettre en oeuvre une politique d'évaluation et de prévention des risques. Document unique d'évaluation des risques L’employeur est tenu d’élaborer et de tenir à jour un document unique d’évaluation des risques recensant et classant l’ensemble des risques pour la santé et la sécurité du personnel. L’identification des risques va consister à examiner chaque unité de travail pour ensuite dresser un bilan des dangers existants. Le document unique d'évaluation des risques professionnels doit être mis à jour annuellement et tenu à la disposition des salariés et des acteurs de la sécurité au travail (médecin du travail, inspection du travail…). Exposition à certains risques professionnels Un dispositif particulier de prévention des effets de l’exposition à certains facteurs de risques professionnels a été mise en oeuvre. La désignation d’un « Monsieur Sécurité »
Quelle est la température minimale sur le lieu de travail et quelles sont les mesures nécessaires ? | Attentia Les locaux fermés parcourus par du personnel au travail sont soumis à des températures de l’air minimales qui dépendent du type d'effort physique nécessité par le poste de travail en question. Aucune température minimale ne s’applique à un travail dans des locaux ouverts ou à l’air libre. Suffisamment d’appareils de chauffage y sont toutefois nécessaires entre le 1er novembre et le 31 mars. Lorsque la température chute sous la barre des 5°C ou lorsque les circonstances l’exigent, ces appareils doivent également être utilisés. Comment la température est-elle mesurée ? Les températures doivent être mesurées au moyen d’un thermomètre ‘sec'. Quelles sont les températures minimales applicables ? Les températures suivantes nécessitent l’adoption de mesures : 18°C pour une charge de travail très légère 16°C pour une charge de travail légère 14°C pour une charge de travail moyenne12°C pour une charge de travail lourde 10°C pour une charge de travail très lourde Des mesures éventuelles sont :