
Connecting the Collaborative Economy La montée de la consommation collaborative « La consommation collaborative correspond au fait de prêter, louer, donner, échanger des objets via les technologies et les communautés de pairs », explique le site éponyme lancé par Rachel Botsman et Roo Rogers, les auteurs de What’s mine is yours, the rise of collaborative consumption (Ce qui est à moi est à toi, la montée de la consommation collaborative). Ceux-ci affirment d’ailleurs que cette pratique est en passe de devenir un « mouvement ». Un mouvement qui va des places de marchés mondiales comme eBay ou Craiglist à des secteurs de niches comme le prêt entre particuliers (Zopa) ou les plates-formes de partage de voitures (Zipcar). « La consommation collaborative modifie les façons de faire des affaires et réinvente non seulement ce que nous consommons, mais également comment nous consommons », affirment ses défenseurs. Vidéo : la vidéo promotionnelle du livre de Rachel Botsman et Roo Rogers. Les fans du partage ont déjà leur magazine : Shareable.net.
Consommation collaborative Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La consommation collaborative désigne un modèle économique où l'usage prédomine sur la propriété : l'usage d'un bien, service, privilège, peut être augmenté par le partage, l'échange, le troc, la vente ou la location de celui-ci. Cette optimisation de l'usage est une réaction à la sous-utilisation classique supposée des : biens ;services ;privilèges ; principalement permise par l'échange d'information via Internet et à l'essor, dans un cadre légal, sécurisé, dans la transparence, de cette tendance depuis les années 2000 est donc fortement lié à l'essor des échanges en ligne ; des immenses places de marché, publiques, telles qu'eBay, aux secteurs émergeant de : La consommation collaborative bouscule les anciens modèles économiques en changeant non pas ce que les gens consomment mais la manière dont ils le consomment[1]. Origines[modifier | modifier le code] Le terme avait été introduit par Ray Algar dans la revue Leisure Report d'avril 2007.
La régulation de l’économie collaborative en question En septembre, rapporte Ron Lieber pour le New York Times, Nigel Warren a loué la chambre qu’il occupe dans son appartement à New York sur Airbnb pour 100 $ la nuit. Mais à son retour quel ne fut pas sa surprise d’être convoqué par son propriétaire et les agents de la ville de New York pour avoir enfreint plusieurs interdictions et se retrouver condamné pour plus de 40 000 $ d’amendes ! En effet, les lois locales ou votre contrat de location peuvent interdire la sous-location voir la location de courte durée. A New York, par exemple, vous ne pouvez pas louer d’appartements ou de chambres pour moins de 30 jours, sauf si vous vivez dans les locaux en même temps. L’économie collaborative dans la tourmente Bien sûr, Nigel Warren s’est retourné contre Airbnb accusant le site de ne pas suffisamment alerter les utilisateurs des risques qu’ils encourent en mettant leurs appartements en location, selon les différentes juridictions locales existantes. Wu rappelle ce que nous avons déjà évoqué.
Partage, P2P… bienvenue dans l’économie collaborative! Boostés par les outils web et la crise, la consommation collaborative émerge comme une véritable alternative à une société propriétaire. De la voiture partagée au booksurfing, Antonin Léonard dissèque les nouvelles tendances. Un jour, nous regarderons le XXe siècle et nous nous demanderons pourquoi nous possédions autant de choses affirmait récemment Bryan Walsh dans TIME Magazine qui consacrait la Consommation Collaborative comme l’une des dix idées amenées à changer le monde. L’économie du partage se propage : du transport aux voyages en passant par l’alimentation, le financement de projets et la distribution, tous les secteurs ou presque voient cette nouvelle économie émerger. Pourquoi acheter et posséder alors que l’on peut partager semblent dire des millions d’individus. Tandis qu’Airbnb annonçait il y a quelques mois avoir dépassé le million de nuits réservées sur son site, en France, c’est covoiturage.fr qui a récemment franchi la barre du million de membres inscrits. Sterneck ;
My First Company - Investissez dans les start-up de demain Kit médias MyFirstCompany, première plate-forme internet de crowdfunding dédiée à l’entrepreneuriat, démarre en Belgique MyFirstCompany est la première plate-forme de crowdfunding qui permet au grand public d’investir dans des entreprises naissantes. MyFirstCompany offre de la visibilité aux entrepreneurs ainsi qu’un processus simple et transparent aux investisseurs informels (Famille, amis et autres connaissances). « Le crowdfunding - ou financement participatif - est un nouveau modèle né récemment aux Etats- Unis qui vise à soutenir des projets privés en faisant appel au financement collectif principalement grâce à internet et aux réseaux sociaux. Vous avez une idée, un projet à financer ? MyFirstCompany vous offre une visibilité exceptionnelle et vous permet d’avoir accès à un public très large. Vous voulez soutenir des projets et investir dans les startups de demain ? Vu dans les médias
Evolution de la consommation collaborative au rythme des réseaux Panorama des plateformes de consommation collaborative qui, si elles multiplient, ne partagent pas toutes la même vision ni les mêmes modèles économiques. La consommation collaborative correspond au fait de prêter, louer, donner, échanger des objets via les technologies et les communautés de pairs”, explique le site éponyme lancé par Rachel Botsman et Roo Rogers, les auteurs de What’s mine is yours, the rise of collaborative consumption (Ce qui est à moi est à toi, la montée de la consommation collaborative). Ceux-ci affirment d’ailleurs que cette pratique est en passe de devenir un “mouvement”. Un mouvement qui va des places de marchés mondiales comme eBay ou Craiglist à des secteurs de niches comme le prêt entre particuliers (Zopa) ou les plates-formes de partage de voitures (Zipcar). “La consommation collaborative modifie les façons de faire des affaires et réinvente non seulement ce que nous consommons, mais également comment nous consommons”, affirment ses défenseurs.
The Sharing Economy It’s 8:30 a.m. in Silicon Valley, and Neal Gorenflo is already busy sharing. Inside his Mountain View town house, just a few short blocks from the Caltrain station where commuters pour out each morning on their way to Google, Gorenflo hands over his 15-month-old son, Jake, to a nanny he shares with his neighbor. At a local coffee shop, he logs on to a peer-to-peer banking site called Lending Club to make a series of small loans to someone planning a wedding, another starting a pet business, and a guy named Pat who wants to move. After biking down to the station, he drags his ancient Peugeot onto the train to San Francisco, where he hops into a Prius he’s reserved for a few hours from City CarShare, a not-for-profit version of Zipcar. After driving out to Berkeley for a tour of a cohousing community, he finally lands at a shared office space in SoMa, from which he works once a week. Gorenflo does, of course, still own stuff. AirBnB, on the other hand, had to create demand. He laughs.