
Mirakl : les marketplaces, socle de l'e-commerce de demain ? Fins connaisseurs du e-commerce et fondateurs de Mirakl, société spécialisée dans le conseil et l’accompagnement stratégique en e-commerce et marketplaces, Philippe Corrot et Adrien Nussembaum viennent de publier un livre blanc de sur le thème : « Marketplace : l’e-commerce de demain ». A la clé, une étude intéressante et fouillée qui, après avoir replacé les places de marchés dans le contexte du développement du commerce électronique, aborde le fonctionnement et les bénéfices des places de marché numériques et délivre les enjeux liés au lancement d’une telle plateforme. Alors dans quelle mesure les marketplaces constitueraient-ils le « socle du e-commerce de demain » ? L’étude aborde dans le détail le sujet qui recouvre beaucoup de concepts, des places de marché aux galeries marchandes, du CtoC au B2B en passant par le B2B2C. Mieux : pour certains d’entre eux, la marketplace représente au bas mot 40% de leur chiffre d’affaires (et souvent près de 100% de leur rentabilité) !
La vente en ligne va-t-elle faire revenir les clients dans les magasins - ms 20/05/13 Atlantico : Consomme-t-on davantage dans un magasin que sur un site internet ? Le besoin de satisfaction est-il plus fort lorsqu'on parcourt des rayons ? Quelles différences de comportements observe-t-on chez les consommateurs dans ces deux cas de figure ? Catherine Lejealle : Avec l’arrivée de canaux de vente et de communication digitaux, la plupart de nos achats se font en cross-canal ; c’est à dire que pour un même achat, le processus d’achat est fragmenté entre canaux physiques et digitaux. La recherche d’information se fait via les forums et les pages Facebook des marques tandis que l’achat réel se fait en magasin . Pourquoi cette incitation à aller en magasin et à pratiquer du "Reach online and purchase offline" (ROPO) ? Comment interpréter ces innovations ? En se limitant à la vente en ligne, les "brick and mortar" perdent l’avantage de déployer un univers sensoriel et un territoire bien à eux qu’ils ont souvent mis des années et des millions à bâtir. Que réserve l’avenir ?
Ecommerce & Webmarketing : L’actualité de la semaine, du 09 au 13 juillet Ce qu’il faut savoir pour bien commencer la semaine : La sélection webmarketing et e-Commerce par l’équipe de Cibleweb e-Publicité « Les internautes cliquant sur les bannières achèteraient 3 fois plus fréquemment Les publicités Display ont souvent une mauvaise réputation notamment à cause de leur taux de clic faible. Lire la suite eMail marketing » Jamais un outil marketing n’a été si mal utilisé que l’email Les responsables marketing de nos entreprises sont-ils à court de recettes pour tirer parti de l’emailing, qu’on dit has-been et quasi enterré par les réseaux sociaux ou les promesses du marketing comportemental ? Lire la suite e-Commerce » E-commerce : le consommateur aime toujours tester avant d’acheter Moyennant une commission, les membres de YBUY testent, chez eux, pendant un mois, des gadgets de qualité. Lire la suite e-Tourisme » Les utilisateurs de Mac dépensent plus que leurs homologues sur PC Lire la suite e-Commerce et avis locaux « 80% des avis locaux seraient positifs Lire la suite
E-commerce : les taux de conversion secteur par secteur Voici le dernier baromètre des performances e-commerce de Kantar Media Compete et Google. Il passe au crible taux de conversion, de rebond et d'abandon de 9 segments de marché. Le taux de transformation des sites marchands français s'est amélioré de 13% entre 2012 et 2013, puis encore de 7% au 1er trimestre 2014. Des résultats issus de la 3ème édition du baromètre sectoriel de la performance de conversion des sites e-commerce français, que publient Kantar Media Compete et Google. Distribution : les acteurs multicanaux portés par le click-and-collect Le secteur de la distribution affiche pour sa part un taux de conversion en progression moyenne de 10%. Sur le segment du prêt-à-porter, le taux de conversion par visite s'est amélioré de 17% entre 2012 et 2013 pour atteindre 3% l'an dernier. Côté high-tech, segment e-commerce le plus ancien, les taux de conversion par visite (3,8%, stable) et par visiteur (8,1%, en hausse de +10%) sont cette année encore les plus élevées de ce baromètre.
Signification des couleurs en E-marketing et en Ergonomie Web . Sur la demande de plusieurs clients et stagiaires, les consultants-rédacteurs de Trinity Advise se sont mobilisés pour vous proposer un dossier complet sur les codes couleurs web et la signification des couleurs pour Internet. Vecteurs de cohérence graphique, les couleurs dictent de nombreux comportements à l’inconscient de l’internaute. Elle génèrent des réactions et des émotions que nous ne savons pas concrètement évaluer et chiffrer en e-marketing, sauf avec les nouveaux outils de test d’ergonomie web (eye tracking, mouse tracking, neuromarketing). 1. 2. 3. 4. Annotations et explications complémentaires [x] En savoir plus ————————————————– . En complément d’études d’Eye Tracking (cf. notre dossier complet sur l’eyetracking en ergonomie, ici), deux, trois ou quatre maquettes au plus, sont présentées au responsable internet, qui décide au feeling du meilleur template et jette son dévolu sur ce qui sera le futur web-design. Significations : Représentations : Domaines : Sites exemples :
Les réseaux influencent les comportements d'achat - ETUDE - l L’agence DigitasLBi (Publicis Groupe) a publié les résultats de son étude 2014 sur les tendances mondiales du commerce connecté à travers 12 pays. Il en ressort que le "Showrooming" (pratique selon laquelle les consommateurs visitent un magasin pour examiner et tester un produit en personne avant de l'acheter en ligne ou ailleurs, souvent à un prix moins cher), tendance identifiée en 2013, prend de l’ampleur : 49% des consommateurs français déclarent qu'une différence de prix de -5% les feraient quitter le magasin où ils se trouvent. De plus, 42% des français déclarent que les réseaux sociaux influencent leur comportement d’achat. 82% des utilisateurs de réseaux sociaux chinois déclarent que les médias sociaux influencent leur comportement; l'Espagne, l'Italie et les Etats-Unis montrent une moyenne de 55%, alors que pour la France elle est de 42%. 31% des utilisateurs de réseaux sociaux français admettent que Facebook influence leur décision d’achat, 6% pour Twitter, 2% pour Pinterest.
Comparateurs de prix et places de marché : d’autres leviers à exploiter avec Iziflux pour votre référencement marchand Une présence sur les acteurs du e-commerce est aujourd’hui primordiale lorsque l’on possède une boutique en ligne. 1.Pourquoi travailler sur des supports comme les comparateurs de prix et les places de marché ? Voici quelques chiffres qui vous mettront sur la voie : 76% des français ont une bonne image des comparateurs de prix sur internet92% des français reconnaissent utiliser un comparateur de prix régulièrementPour la plupart des individus, les comparateurs de prix sont simples d’utilisation, à jour et dignes de confiance.49% des français ont déjà utilisé un comparateur afin de comparer les prix de produits alimentaires.66% des français seraient intéressés par la mise à disposition d’accès wifi gratuits en magasin pour pouvoir utiliser les comparateurs de prix et plus d’un français sur deux trouverait utile de comparer les prix directement en magasin via un téléphone mobile. (source IFDP BMP Paribas 2011) 3.Infos clefs sur les comparateurs de prix et les places de marché Résultats ?
Les réseaux sociaux drainent 7,7% de visites sur les sites e-commerce Les acheteurs sont de plus en plus nombreux à utiliser les réseaux sociaux. Conséquence: le trafic augmente sur les sites web des retailers. Une nouvelle étude d’Experian montre que Facebook ou Pinterest sont parmi les plus efficaces pour découvrir les produits. L’étude montre que les visites ont ainsi augmenté de 7,7% sur les sites web des détaillants grâce au canal social média. L’année dernière, les visites atteignaient 6,6% du trafic vers les marques. L’étude, réalisée sur plus de 34 000 détaillants américains, explique cette progression au vu de la fréquentation des réseaux sociaux. Les annonceurs sont de plus en plus nombreux à pointer vers les réseaux sociaux pour augmenter l’engagement du consommateur, indique le rapport . La même étude montre que le site d’Amazon.com et celui de Wal- Mart obtiennent le plus de trafic via leurs comptes Pinterest , Facebook et YouTube.
Tout ce que vous devez savoir sur Google Shopping et autres outils Google Froogle, Google Product Search et maintenant Google Shopping. Comment ne pas être perdu avec les services de Google?Si vous avez suivi les actualités, Google abandonne la soumission gratuite des listes de produits dans Google Product Search.Google fait maintenant payer l’affichage et la gestion/soumission des flux produits. Ainsi, si vous télécharger un flux produit par Google Merchant Center (aussi appelé Google base), vous devrez payer.De la même façon, il faut vous soucier de la non gratuité des services Google si vous utilisez le Product Listing Ads (PLAs) dans Google Adwords en addition d’un flux dans Google Merchant Center. Dans cet article, nous allons préciser quelle est la nature et quelles sont les fonctions des différents services de Google. C’est l’interface où vous pouvez télécharger vos flux produits, voir vos statistiques de vente, et gérer votre activité de façon à optimiser vos flux dans le sens où Google l’entend. Product Listing Ads (PLAs) Product Extensions Ads
Shopping : 72% des Français préfèrent les magasins physiques à Internet Selon les résultats d’un sondage Ipsos, publié lundi 29 avril, une grande majorité des Français préfère réaliser ses courses en magasins physiques plutôt qu’en ligne. Relayée par l’AFP, l’étude précise que : « quelle que soit la catégorie de produits, 95% des sondés déclarent acheter souvent ou systématiquement en magasin. » Une habitude particulièrement prononcée au niveau de l’alimentation (89%) et des vêtements (60%). Même les produits culturels, très plébiscités en ligne (28%), seraient encore majoritairement achetés en magasins physiques (40%). Parmi les avantages cités pour l’achat physique : la très forte dimension humaine. Ces résultats viennent donc rejoindre ceux d’une étude menée par eBay en octobre dernier. Or, la notion de plaisir apparaît comme essentielle dans le cadre d’achats compulsifs. Dans le cadre de cette problématique, de nombreux acteurs du commerce tendent à bouleverser les habitudes d’achats des consommateurs afin de mettre l’accent sur l’expérience utilisateur.
E-commerce et magasins physiques : quelles synergies pour mieux recruter et fidéliser les consommateurs ? Les modifications du comportement des consommateurs devenant hyper connectés, cross canaux et à la recherche d’immédiateté, associées à l’essor, sous différentes formes, du commerce digital, transforment en profondeur le rôle que doit jouer le point de vente physique aujourd’hui. Comment un réseau peut-il désormais s’y adapter pour vendre, se différentier et fidéliser toujours plus de clients grâce à la proximité et la relation humaine qu’il offre quotidiennement en magasin ? L’appel du digital face à l’efficacité du canal traditionnel De plus en plus d’enseignes se tournent actuellement vers le commerce digital en ouvrant des boutiques sur Internet ou encore en créant de nouvelles applications de vente sur Smartphone. « Digital-to-Store » où comment rediriger un trafic qualifié en magasin Un vendeur mieux informé prodiguant des conseils personnalisés grâce au digital Des programmes de fidélité dématérialisés et adaptés aux usages des Smartphones.
Les 4 règles de la séduction e-commerce En retail, le jeu de la séduction ne se résume pas à un bon feeling. Tout se joue en réalité sur la connexion initiale et la capacité des e-marchands à tenir leurs promesses à chaque interaction. En plus d’une offre produit de grande qualité, il est nécessaire de proposer un parcours d’achat clair, un processus de paiement simple, une livraison dans les temps attendus, un excellent service client et des politiques de retour de marchandises impeccables. La clé du succès réside dans la capacité à trouver LE client qui cherche exactement ce que vend un e-marchand, au prix où il le vend et au moment où le produit est disponible. 1/ Eviter de se survendre Les retailers consacrent beaucoup de temps à la personnalisation et à s’assurer que chaque message délivré soit cohérent avec leur marque. Par exemple, en jouant sur des suggestions ciblées, une boutique en ligne affiche plusieurs looks récemment consultés par un client. 2/ Ne pas se faire trop désirer 4/ Jouer la carte de l’honnêteté