
Taxonomie de Bloom Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La roue de la taxonomie de Bloom. La taxonomie de Bloom est un modèle pédagogique proposant une classification des niveaux d'acquisition des connaissances[1]. Benjamin Bloom, bien qu'il n'en soit pas le seul créateur (34 universitaires américains participent aux conférences de 1949 à 1953), est souvent reconnu comme le « père » de cet outil[2],[3]. Description[modifier | modifier le code] La taxonomie organise l'information de façon hiérarchique, de la simple restitution de faits jusqu'à la manipulation complexe des concepts, qui est souvent mise en œuvre par les facultés cognitives dites supérieures[4]. Composition[modifier | modifier le code] La taxonomie des objectifs éducationnels selon Bloom. Elle peut être résumée en six niveaux, chaque niveau supérieur englobant les niveaux précédents. Révision[modifier | modifier le code] Ainsi en 2001 une taxonomie révisée de Bloom a été proposée par plusieurs auteurs dont Lorin W. Taxonomie de van Hiele
la pédagogie par objectifs | Didac2b la pédagogie par objectifs Les applications du type Opale suggèrent de présenter les objectifs en début de séquence. Obnubilés par la dernière innovation web 2.0, par une interpolation de mouvement dans un logiciel qui fait du flash « sans connaissance de l’Actionscript » ou par une pop-up qui ne veut pas s’ouvrir chez un stagiaire, nous avions un peu oublié ce que sont ces objectifs. Rafraichissement : Les objectifs pédagogiques ont été popularisés par Mager et Bloom au début des années 60. sous forme de comportement observable décrits par des verbes d’action (la performance) ;avec des critères précis (le niveau de performance) ;et une indication des conditions de réalisation. Dans la formation, une séquence est la période pendant laquelle on traite d’un objectif. Pour rédiger un objectif, on utilise des verbes d’action qui décrivent des comportements observables. La taxonomie de Bloom peut nous y aider : La taxonomie de Bloom la pyramide de Bloom WordPress: J'aime chargement…
Pédagogie Freinet Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les pays avec des Mouvements de l'École moderne, les associations de la Pédagogie Freinet. La pédagogie Freinet est une pédagogie originale, mise au point par Célestin Freinet, fondée sur l'expression libre des enfants ; texte libre, dessin libre, correspondance inter-scolaire, imprimerie et journal étudiant, etc., qui se perpétue de nos jours. C’est dans les camps de concentration de Vichy, que Freinet trouva le temps et l’occasion de repenser en profondeur son œuvre pédagogique. Célestin Freinet pensait avant tout en termes d'organisation du travail et de coopération. Freinet parle de « technique Freinet », pas de méthode ou de pédagogie, car les techniques évoluent. La pédagogie Freinet veut bouleverser profondément l’école au bénéfice de tous les enfants et de tous les adolescents. Les techniques Freinet[modifier | modifier le code] Les techniques Freinet ont de grandes valeurs :[pas clair]: L'idée vient de Barthélemy Profit.
Taxonomie de Bloom Plus récemment, d'autres auteurs (Wang, Haertel et Walberg, 1993) ont souligné l'effet de variables complémentaires telles que les processus métacognitifs ou le climat de la classe. Les élèves sont aidés quand et là où ils rencontrent des difficultés: la pédagogie de maîtrise insiste beaucoup sur l'importance des remédiations qui vont de pair avec l'évaluation permanente des acquis des élèves. A ce propos, Bloom parle d'évaluation formative pour désigner une forme d'évaluation intégrée au processus d'apprentissage et dont le but est le diagnostic immédiat des difficultés pour pouvoir y apporter une réponse rapide sous la forme de remédiations ajustées aux besoins de chacun. La régulation permanente des apprentissages à travers la passation régulière de tests et l'apport judicieux d'activités de remédiation permet, selon Bloom, d'envisager un enseignement collectif dont l'efficacité ne serait pas loin d'égaler les effets du tutorat individuel.
Formuler une problématique Qu'est-ce qu'une problématique dans le cadre d'une étude ou d'un rapport ? Un processus : problématiser un sujet c'est le questionner pour déterminer la façon la plus appropriée de l'étudier. Un produit : la problématique est la synthèse de ce questionnement qui est présentée en introduction du rapport ou de la note. Elle annonce le sujet de la commande, argumente les choix faits et annonce comment elle sera traitée, en termes de méthodes d'enquête comme d'options prises. Attention ! La problématique ne doit pas être la justification de la commande. Exemple Si la question posée est l'intégration des élèves handicapés, il ne vous est généralement pas demandé de justifier pourquoi il faut intégrer les élèves handicapés, ou pourquoi cette question est importante dans la politique nationale ou académique. En méthodologie de recherche, le "travail de la demande" est la construction de la problématique.
Le guide complet de la taxonomie de Bloom La taxonomie de Bloom rappelle une évidence : apprendre, ce n’est pas répéter, c’est comprendre et utiliser. Mémoriser une règle sans savoir l’appliquer ne suffit pas. L’essentiel n’est pas d’accumuler des savoirs, mais de s’en servir. Cette classification organise les apprentissages en six niveaux progressifs, du simple au complexe. Son but ? Ce guide vous donnera les outils concrets pour utiliser Bloom efficacement : définitions claires, verbes d’action, exemples pratiques et plan d’application immédiat. Qu’est-ce que la taxonomie de Bloom ? La taxonomie de Bloom est une classification des apprentissages créée en 1956 par Benjamin Bloom, puis révisée en 2001 par Anderson et Krathwohl. L’objectif principal est de faire passer les élèves de la simple récitation à la réflexion authentique et à l’innovation. Pourquoi cette classification change tout ? Le problème actuel est frappant : environ 80% des questions posées en classe se limitent aux deux premiers niveaux. Applications immédiates
4 manières originales de structurer le plan et mieux visualiser le contenu de votre présentation Dans l’article de lundi, je partageais avec vous 3 outils et techniques pour vous aider à générer des idées et éviter le syndrome de la page blanche au moment de réaliser votre prochaine présentation. Pourtant, une fois vos idées sur le papier, il n’est parfois pas évident de les visualiser et de les structurer en un tout cohérent pour faciliter la transmission de votre message. Je vous propose aujourd’hui de découvrir 4 outils qui vont vous aider à y voir plus clair : MindMapping, Storytelling, Modèle SPRI, Storyboarding : Découvrez 4 façons simples et efficaces de structurer le plan et mieux visualiser le contenu de votre prochaine présentation. Le MindMapping Le MindMapping est une technique utile pour structurer et visualiser vos idées. Chaque branche peut donner lieu à une nouvelle sous-branche, créant ainsi une ramification de plus en plus étendue (voir exemple ci-dessous). (Source: Pour créer votre map, 2 solutions s’offrent à vous : Le périple du Héros Le modèle SPRI
La « flipped taxonomie » Marcel LEBRUN Nous avons, dans la vidéo précédente, parler de la cohérence des objectifs, des méthodes, de l’évaluation … des outils. Les objectifs sont souvent décrits par un verbe (un savoir-faire, un savoir-agir, un savoir-être …) qui s’applique sur un nominatif (un contenu, un savoir, un savoir-faire …) : l’étudiant sera capable de « Verbe » à propos d’un « nominatif », par exemple, l’étudiant capable de citer les composantes de l’alignement constructiviste (épisode 2), l’étudiant sera capable d’appliquer la loi de Newton … Le « sera capable » associé au « verbe » est désigné par la notion de capacité. Cette capacité constitue encore un état potentiel … il sera capable, oui mais quand ? Comment ? Dans quel contexte ? La compétence veut dépasser cet état potentiel, mettre l’objectif, l’intention en état de fonctionner. Parlons un peu des « verbes », les opérations cognitives. L’importance du « verbe » est manifeste dans nos exemples inspirés d’un article de la Wikipédia. L’avez-vous remarqué ?
Bloom's Digital Taxonomy Verbs [Infographic] When using Bloom’s Digital Taxonomy (a revised take on Bloom’s devised by educator Andrew Churches), it helps to have a list of verbs to know what actions define each stage of the taxonomy. This is useful for lesson planning, rubric making, and any other teacher-oriented task requiring planning and assessment strategies. The Bloom’s Digital Taxonomy verbs in this handy infographic apply specifically to each stage of the taxonomy. According to Churches on his wiki Edorigami, “Bloom’s Revised Taxonomy describes many traditional classroom practices, behaviours and actions, but does not account for the new processes and actions associated with Web 2.0 technologies …” This means the verbs listed below are applicable to facilitating technology use in the modern classrooms. A Quick Reference Tool for Bloom’s Taxonomy Verbs We hope you find this infographic of Bloom’s Digital Taxonomy verbs useful in your classroom practices. Poster Files For You
SOLO Taxonomy | John Biggs click to view a bigger version As learning progresses it becomes more complex. SOLO, which stands for the Structure of the Observed Learning Outcome, is a means of classifying learning outcomes in terms of their complexity, enabling us to assess students’ work in terms of its quality not of how many bits of this and of that they have got right. At first we pick up only one or few aspects of the task (unistructural), then several aspects but they are unrelated (multistructural), then we learn how to integrate them into a whole (relational), and finally, we are able to generalised that whole to as yet untaught applications (extended abstract). SOLO can be used not only in assessment, but in designing the curriculum in terms of the learning outcomes intended, which is helpful in implementing constructive alignment.
Les objectifs pédagogiques : guide pratique (3/3) Les objectifs pédagogiques : guide pratique (3/3) Un objectif pédagogique doit être exprimé avec précision et clarté, mais ce n’est pas suffisant : Pour être complet, un objectif pédagogique devrait comporter (« devrait », car dans la pratique, les objectifs pédagogiques comportent rarement tous ces éléments) : Un comportement observable (c’est-à-dire vérifiable de manière formelle) : le comportement est indiqué par le verbe dont l’apprenant est le sujet, par exemple :« être capable de remplacer un disque dur SATA défectueux par un disque en bon état ayant les même caractéristiques techniques »Des conditions d’exécution, précisant comment est effectuée l’action, par exemple :« en utilisant la documentation constructeur n° XY-385″Des critères de performances, qui précisent les limites d’acceptation de l’action effectuée, par exemple :« en moins de 30 minutes, et avec un taux d’erreur de moins de 5% » Quelques exemples d’objectifs pédagogiques précis et complets :
Taxonomie de Bloom Appellation en anglais Bloom’s taxonomy - The taxonomy of educational objectives Résumé introductif La taxonomie de Bloom (1956) est un modèle de conception pédagogique qui consiste à regrouper des objectifs d'apprentissage, du plus simple au plus complexe, en 6 catégories ou types d'activités du domaine cognitif: la connaissance, la compréhension, l'application, l'analyse, la synthèse et l’évaluation. Stratégies apparentées Type de stratégie Cette stratégie est du type modèle, car elle vise en premier lieu le découpage et l’ordonnancement du contenu d’enseignement sous forme de progression pédagogique. Plus précisément, la taxonomie de Bloom est un modèle plutôt centré sur l'apprentissage. Types de connaissances Selon l’objectif d’apprentissage qui est formulé à l’aide de la taxonomie de Bloom et de la microstratégie utilisée pour l’atteindre, des connaissances de types conceptuelles, factuelles, métacognitives et procédurales peuvent être visées. Description « 1. 2. 3. 4. 5. 6. Bibliographie