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RYOJI IKEDA : THE TRANSFINITE

RYOJI IKEDA : THE TRANSFINITE

Galerie Rodolphe Janssen | WALEAD BESHTY | Images Walead Beshty, White Curl (YMC/Four Magnet: Los Angeles, California, February 27th 2013, Fuji Color Crystal Archive Super Type C, Em. No. 166-016, 05313), 2014, Color Photographic Paper, 259.1 x 127 cm, 102 x 50 in Walead Beshty - Diapositives, September/October 2011 Walead Beshty, Transparency (Negative) (Kodak Porta 400NC Em. No. 3161: April 22 - 24, 2010 LAX/SFO SFO/lLAX), 2011 Epson K3 Ultrachrome archival ink jet print on Museo Silver Rag paper Walead Beshty, Transparency (Positive) (Fujichrome RDPIII Provia 100F Em. Walead Beshty, Copper Surrogate (Table: designed by Willy Van der Meeren, 1958; Galerie Rodolphe Janssen, Brussels, Belgium, August 10th - September 2nd, 2011), 2011 Polished copper table top and powder-coat steel 101 x 67.3 x 2.5 cm Walead Beshty - Industrial Pictures, November/December 2008 Walead Beshty, TBD: Black & White Fold 2, 2008 Black & white photograph 50,8 x 40,6 cm

Revue Perestroika The Silent City: Digitally Assembled Futuristic Megalopolises by Yang Yongliang Sleepless Wonderland, Lightbox, 2012 Sleepless Wonderland, Lightbox, 2012 (detail) Snake and Grenade, Lightbox, 2012 Snake and Grenade, Lightbox, 2012 (detail) Wolf and Landmines, Lightbox, 2012 Full Moon, Lightbox, 2012 Revue d'art et de littérature, musique - Patrick CINTAS L’absence de la série est un cercle vicieux. On sait que le vers français a ignoré ce mot de façon quasi unanime jusqu’à André Breton. L’unique exception repérée jusqu’ici est une chanson de la fin du XVIIIEe siècle écrite par un certain Picard, chanson inventée pour égayer une comédie intitulée La maison de loterie. JACQUILLARDRien de plus facile à comprendre :Une maison qu’on ne peut vendreA moins de la voir au rabais,On en fait une loterie. Des grands poètes qui jalonnent le XIXe siècle français, aucun ne daigne employer le mot « série » dans un vers. Cette absence d’un mot déjà courant dans le vocabulaire poétique sur une période de plus d’un siècle ne manque pas d’interroger. Il est des textes – prose ou vers, peu importe – où le mot « série » n’est pas employé. Mais l’apparition d’un mot dans un texte relève également d’une logique probabiliste. C’est principalement un petit fascicule dédié à la déclamation théâtrale qui m’a amené à cette conclusion. P. Ibid, p.70

[Sponsor] Sigurd Larsen and Michael Johansson’s Real Life Tetris The latest video from The Avant/Garde Diaries features the Danish designer Sigurd Larsen and Swedish artist Michael Johansson discussing Legos, spatial logic, and how one man’s trash is another’s treasure. “As an architect working with spaces, I’ve been very inspired how Michael Johansson works with three-dimensional objects and almost turns them two-dimensional,” Larsen says. The two had never met before, but found an instant connection while snooping around an old junk market in Berlin. Watch the video to learn more about their shared interest in design and their manipulation of everyday objects.

Que veut Chestov ? - En attendant Nadeau Que crie-t-il, avec tant d’insistance ? Que rejette-t-il, avec tant de force ? En lisant Chestov, qu’est-ce qui nous arrive ? Il empoigne et secoue. Léon Chestov, Sur la balance de Job : Pérégrinations à travers les âmes. © Le bruit du temps Il ne s’agit pas, pour Chestov, de « soumettre la vie au savoir », mais tout au contraire de vérifier chaque jour notre savoir par la vie. Ce qu’il a vu, c’est comme s’il y avait de quoi réveiller non un simple dormeur mais le mort que porte chacun. Sa fougue. Il élève la voix, cette première voix de protestation : celle de Job. Ses coups sont autant de kōan. Pour Chestov, la pensée ne relève pas d’une organisation positive, la pensée n’est pas de l’ordre du savoir, et elle n’a pas à demander la sanction des différents savoirs, elle n’a pas à se ranger parmi eux. Aucun vase de forme grammaticale ne peut la recevoir. Se déprendre. La folle du logis ne serait-elle pas la raison ? Chestov aujourd’hui est si bien reconnu. Hélas ! Christian Mouze

Swing to Infinity Inside Thilo Frank’s Mirrored Room Measuring just 4 x 4 x 8 meters this small, windowless room might normally be considered a claustrophobic nightmare if it were’t lined from floor to ceiling with dozens of mirrors creating a reflective universe that seems to stretch into infinity. Titled “The Phoenix is closer than it appears,” the room was constructed by artist Thilo Frank at the Museum of Modern Art in Aalborg, Denmark. The Matrix-like space also features a swing that allows visitors an opportunity to view hundreds of cloned reflections swinging at all possible angles. I can think of quite a few illicit substances that should probably not be consumed before entering this room. (via designboom, myedol)

Survivante d’Auschwitz, elle jette un froid dans le studio de France Inter Marceline Loridan-Ivens est l’une des dernières survivantes d’Auschwitz encore en vie. Elle a témoigné sur France Inter, hier, sans mâcher ses mots. Moins de 200 survivants d’Auschwitz sont encore en vie aujourd’hui pour témoigner du cauchemar qu’ils ont vécu. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elle n’a pas un regard positif sur les leçons qu’on aurait pu tirer de cette période de l’Histoire. C’est d’ailleurs pour cette raison que la survivante de la seconde guerre mondiale n’a pas voulu avoir d’enfant. «Les Français seraient-ils en rue si les victimes avaient été juives?» Patrick Cohen, animateur de la matinale de France Inter, reste ensuite sans voix sur l’interrogation de Marceline Loridan-Ivens. L’animateur embraye ensuite sur le passé de son invitée, au caractère décidément bien trempé. Aujourd’hui, la survivante tente de témoigner pour faire bouger les choses. Un sacré petit bout de femme, cette Marceline Loridan-Ivens.

Voice Array and Last Breath by Rafeal Lozano-Hemmer Rafeal Lozano-Hemmer is largely known for his large scale installations that invite audience participation. An extension of this participation is also how he takes elements of physical interaction and gives them digital or technological corollaries. His latest show at Bitforms Gallery is no different. Although, ironically, rather than taking something inherently physical, it takes the more ephemeral qualities of the human body and extends their lifespan. Last Breath and Voice Array take the voice and breath, respectively, and ‘show’ them, vis a vis a physical installation. Similarly, Voice Array takes the human voice and translates it into a horizontal series of flashing lights. To that point, as part of the opening, the gallery had invited legendary beatboxer and member of the Roots, Rahzel to perform into the Voice Array. Both installations take something that humans do that doesn’t necessarily have a perceivable shape and imposes one upon it so as to make it controllable.

Syrie. La France accepte d’écarter les Kurdes des pourparlers Que les négociations de paix intersyriennes se tiennent ou non vendredi à Genève, le climat est de toute façon plutôt orageux. Prévues pour démarrer lundi, celles-ci avaient été retardées de quelques jours. On parlait alors de la fin de semaine. Et ce n’est pas le fait du gouvernement syrien, qui a répondu favorablement et a déjà désigné deux diplomates de haut rang et d’expérience pour venir en Suisse. Les véritables raisons de tergiversations diplomatiques Des déclarations qui cachent mal les ­véritables raisons de ces tergiversations. Ne pas prendre en compte les revendications des Kurdes Cette présence du PYD n’est pas du goût de la Turquie, qui a d’ores et déjà fait savoir que dans une telle éventualité elle ne participerait à aucune discussion. Cerise sur le gâteau : le chef de la délégation du HCN est issu de Djaïch al-Islam (l’Armée de l’islam), membre de Djaïch al-Fatah (Armée de la conquête) avec Ahrar al-Cham et le Front al-Nosra (al-Qaida en Syrie).

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