« Le but du journalisme n'est ni de déplaire ni Lost Generation Poem (with people) 1 Le Centre de formation des journalistes saisi par l'argent-roi, C’est une curiosité du journalisme : ses membres appartiennent à une profession dite « ouverte », qui n’exige aucun diplôme pour son exercice. Et, de fait, seuls 12 % des titulaires d’une carte de presse sortent d’un des neuf établissements agréés : les IUT de Bordeaux et de Tours, le Centre universitaire d’enseignement du journalisme (CUEJ) de Strasbourg, l’Ecole de journalisme et de communication de Marseille (EJCM), l’Ecole supérieure de journalisme de Lille, l’Ecole de journalisme de Toulouse et - à Paris - le Centre de formation des journalistes (CFJ), le Celsa et l’Institut pratique du journalisme. Cette faible proportion apparente masque un important clivage : d’un côté, une presse régionale et une presse spécialisée qui recrutent, massivement, parmi les non-diplômés. Toutes les écoles ne mènent pourtant pas à Rome. Fondé en 1946 par de jeunes résistants, dans le quartier des Halles, « le CFJ structure durablement le journalisme français ». Vous êtes abonné(e) ?
Culture : HBO, la loi des séries LES MAÎTRES DE LA CULTURE (5) - La chaîne payante américaine a révolutionné la fiction télé. Au point que certains de ses programmes, comme Les Soprano, Six Feet Under et Rome, servent de modèles aux cinéastes d'aujourd'hui. C'est la série dont toute l'Amérique branchée parle depuis le début de l'été. Son titre: Newsroom. Son réalisateur: Aaron Sorkin, à qui l'on doit déjà The West Wing (À la Maison-Blanche), sur la vie quotidienne d'un président des États-Unis et de son équipe de collaborateurs. Dans Newsroom, Aaron Sorkin s'attaque au monde médiatique. Newsroom est diffusée sur HBO (Home Box Office), une chaîne à péage américaine, dont l'audience dépasse largement le nombre de ses abonnés: 28 millions. Derrière cette incroyable machine créative se cachent deux hommes: Richard Plepler et Michael Lombardo. C'est au dixième étage d'un immeuble new-yorkais, dans le grand bureau cosy de Richard Plepler que sont examinés tous les projets de HBO. On dirait un vieux couple.
les français et l'info... J'étais au "Grand Journal" de Canal Plus : mon t-shirt Palestine, trop gênant Nadir Dendoune au Grand Journal de Canal Plus le 24 septembre 2012 (Capture Le Plus) C’est l’histoire d’une chaîne subversive. Tellement subversive qu’elle fut la première à avoir diffusé des films pornos. Une chaîne, briseuse de tabous, où tout est permis, où les animateurs débarquent sur les plateaux télé en jeans et en t-shirts, parfois même en tongs. "Tenez, mettez cette veste" Nous sommes lundi et je suis invité au "Grand Journal" de Canal Plus, une première et sans doute la dernière fois que j’y mets les pieds... Dès le début, je sens la tension. L’émission commence. Jean-Michel Apathie ne comprend pas. C’est en regardant le replay de l’émission que je me rends compte que pendant toute mon intervention, les cadreurs, donc le réalisateur, n’ont proposé que des plans serrés sur moi, donc sans possibilité d'apercevoir le t-shirt en entier, ce qui ne fut pas le cas pour les autres invités, qui ont aussi été filmés en plan large. Que se passe-t-il chez Canal Plus ?
Des journalistes sensibilisés par des commandos Durant une semaine, le centre national d'entrainement commando (CNEC) a accueilli une trentaine de stagiaires issus de la presse télé, radio et écrite. L’objectif du stage : sensibiliser les journalistes aux dangers rencontrés lors des reportages réalisés en zones de conflits armés et leur apprendre à bien réagir. Les ateliers proposés obligent les stagiaires à repousser leurs limites et à gérer leur stress. Ils ont ainsi pris part à de nombreux exercices d’initiation tels que : descente en rappel d’un mur, marche topographique, passage de « check point » ou parcours en zone urbaine en étant « embedded », c'est-à-dire intégré au sein d’une section. Depuis 1993, deux sessions annuelles d’une vingtaine de personnes sont ouvertes par la direction de la communication du ministère de la défense (DICoD), en novembre et février.
Envoyez promener votre vision du monde Courrier International, c’est 22 ans d’existence, un tirage à plus de 250 000 exemplaires et des adaptations en Belgique, au Portugal ou encore au Japon. À l’occasion du lancement de sa nouvelle formule le 4 octobre prochain, le magazine du groupe Le Monde dévoile ces quelques visuels inaugurant la nouvelle signature de l’hebdo. Fini le “Apprenez à anticiper”, que le titre mettait en avant depuis 2010. Désormais, la formule sera “Envoyez promener votre vision du monde”, en référence aux choix éditoriaux du magazine, qui traduit chaque semaine des articles de presse du monde entier. Pour illustrer ce double regard – français et étranger – sur l’actualité, BETC a choisi des événements récents faisant l’objet d’interprétations différentes selon le pays où l’on se trouve. Puremedias relève d’ailleurs à juste titre que le concept rappelle la campagne lancée la semaine passée par Reporters Sans Frontières.
« Le métier de TF1, c’est d’aider Coca-Cola, par Le ministère de l’Intérieur veut interdire la prise d’images des forces de l’ordre Reporters sans frontières s’inquiète des récentes déclarations du ministère de l’Intérieur qui souhaite étudier, dans le cadre de la réforme de la loi sur la sécurité publique, la possibilité d’interdire les prises de vues, la captation, la reproduction et le traitement d’images, de sons et de données concernant les forces de l’ordre dans l’exercice de leurs fonctions si cela risque de mettre leur vie en danger ou de compromettre les opérations en cours. Le ministère de l’Intérieur se défend de toute atteinte à la liberté de l’information. Le directeur général de la police, Ignacio Cosido a déclaré que les modifications apportées à la loi viseraient davantage les vidéos diffusées par des internautes que par des journalistes. « Nous rappelons également aux autorités espagnole que le droit de récolter et de diffuser de l’information est garantit à tous les citoyens par l’article 19 de la Déclaration universelle des droits de l’homme.
Nicolas Bedos revient à la télé dans On n'est pas couché (et c'est brillant) Pondu par Fab le 22 septembre 2013 Nicolas Bedos est de retour à la télé et il officiera de temps à autre dans On n’est pas couché le samedi soir. Première chronique sous forme de déclaration d’amour à Natacha Polony (entre autres). Si vous lisez madmoiZelle depuis quelques temps, vous devez savoir que je ne suis pas insensible à l’humour et aux mots de Nicolas Bedos (Sophie-Pierre Pernaut, de son côté, me précise qu’elle – je cite – « lui ferait des trucs sur sa chemise en jean »). Après avoir déserté la télé à la fin de l’émission de Franz-Olivier Giesbert, il avait dit çà et là que ça le démangeait de reprendre son shoot hebdomadaire d’adrénaline et de communion avec le public, en mode Michel Drucker. Hier, il faisait son grand retour chez Laurent Ruquier, dans une chronique piquante et qu’il refera de temps à autre, si on en croit ses dernières interviews. Ça vous a plu ? Ne ratez aucun article de madmoiZelle.com ! Cet article a été pondu par Fab - Tous ses articles
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