
MUSEE de l'EROTISME Exposition "L'Ombilic du Rêve" à Paris Le Centre Wallonie-Bruxelles à Paris accueille l'exposition "L'Ombilic du Rêve". Du 25 septembre 2014 au 4 janvier 2015, le public pourra voir des œuvres de Félicien Rops, Max Klinger, Alfred Kubin, Armand Simon. "– chaque rêve comporte au moins une partie qui ne peut être creusée jusqu’à son fondement, comme un nombril, un ombilic qui le met en relation avec l’inconnu." Placée sous l’égide de "L’Ombilic du rêve", l’exposition se veut une invitation à sonder les limites de notre conscience, à travers l’imaginaire graphique d'une centaine de dessins et de gravures de 4 artistes d’exception, Félicien Rops (1833-1898), Max Klinger (1857-1920), Alfred Kubin (1877-1959) et Armand Simon (1906-1981), dont les œuvres respectives révèlent des liens évidents et des préoccupations communes. L’exposition sera aussi présentée en Wallonie au Musée royal de Mariemont, du 27 février au 31 mai 2015, dans le cadre de Mons 2015, Capitale européenne de la Culture. Tarifs : 5 €, 3 € (réduit).
Francis Picabia Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Francis Picabia Œuvres réputées Picabia dans sa Maison rose au Tremblay-sur-Mauldre. Francis-Marie Martinez de Picabia, né le 22 janvier 1879 à Paris (2e arrondissement)[1] et mort le 30 novembre 1953 dans la même ville, est un peintre, graphiste et écrivain proche des mouvements Dada et surréaliste. Biographie[modifier | modifier le code] Francis Picabia est le petit-fils de Juan Martinez Picabia, né à Cuba, puis émigré à New York et Madrid et, côté maternel, d'Alphonse Davanne (1824-1912), chimiste et photographe, et président de la SFP. Sa mère meurt alors qu'il a sept ans. En 1894, voulant éprouver la vocation tôt manifestée de son fils, " Pancho " Picabia envoie au Salon des artistes français la toile de Francis intitulée Vue des Martigues. Il étudie ensuite à l'École du Louvre puis à l'École des beaux-arts et à l'École nationale supérieure des arts décoratifs. Dada[modifier | modifier le code] La guerre et après[modifier | modifier le code]
Manuscrit de Voynich Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Voynich. Une des pages du manuscrit avec ses dessins et ses textes énigmatiques Malgré les nombreuses tentatives des cryptographes, la nature exacte de ce document reste inconnue : s'agit-il d'un herbier, d'un traité d'alchimie ou d'un canular ? Le livre tire son nom de son inventeur, Wilfrid M. Selon une étude publiée en 2011 par l'équipe de Greg Hodgins de l'Université d'Arizona, le parchemin support du texte a été fabriqué entre 1404 et 1438[1]. Description[modifier | modifier le code] Le codex est constitué de 234 pages de 15 cm de large et 23 cm de haut. Illustrations[modifier | modifier le code] Les illustrations dans le manuscrit donnent peu d'indications sur son contenu exact mais permettent d'identifier une demi-douzaine de sections consacrées à des sujets différents avec un style qui varie. Folio f34r : La section consacrée à l'herboristerie avec des illustrations de plantes.
Collège de 'Pataphysique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Collège de 'Pataphysique est une « société de recherches savantes et inutiles » qui promeut la 'Pataphysique. L’organisation et la promotion de ces recherches nécessitent une administration rigoureuse, qui s’inspire de diverses institutions du passé (Curie romaine, République de Venise, etc.). Organisation[modifier | modifier le code] « Un Curateur inamovible »[1] « sis dans l’éthernité », à savoir le Docteur Faustroll[2], préside à l’essence et à l’existence du Collège. Il est assisté d’un Vice-Curateur élu qui dirige le Collège tant au spirituel qu’au temporel, veillant à ce que le Collège « n’ait aucune utilité » et à ce que la ’Pataphysique garde une excellence faustrollienne. Un corps de « Provéditeurs »[3] administre les biens « imaginaires et réels » du Collège ; il organise ses publications et manifestations ; il crée les chaires d’enseignement. Les Régents occupent les « chaires » du Collège. Hiérarchie[modifier | modifier le code]
Ouvroir d'x potentiel Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un ouvroir d'x potentiel (Ouxpo) est un regroupement de groupes de recherche sur les créations possibles basées sur la contrainte volontaire. L'Ouxpo regroupe l'Oulipo, l'Oubapo, l'Outrapo, etc. Le terme « ouvroir », recouvrant anciennement des œuvres de charité, a été réutilisé pour le rapprochement entre « ouvroir » et « œuvre », sur proposition d'Albert-Marie Schmidt, de l'Oulipo, et adopté dès sa deuxième réunion en remplacement de Sélitex (pour « séminaire de littérature expérimentale »). Le terme « potentiel » est utilisé dans le sens de ce qui est possible, réalisable si l'on suit certaines règles. Historique[modifier | modifier le code] Dans le giron du Collège de ’Pataphysique s'est créé en 1960 l'Oulipo (maintenant davantage connu que le Collège lui-même car l'Oulipo, ayant une certaine indépendance de l'administration collégiale, n'a pas été touché par l'occultation du Collège de ’Pataphysique). Voir Liste des Ouxpo
Ouvroir de littérature potentielle Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'Ouvroir de littérature potentielle, généralement désigné par son acronyme OuLiPo (ou Oulipo), est un groupe international de littéraires et de mathématiciens se définissant comme des « rats qui construisent eux-mêmes le labyrinthe dont ils se proposent de sortir[1]. » L'OuLiPo se définit d'abord par ce qu'il n'est pas[2] : Ce n'est pas un mouvement littéraire.Ce n'est pas un séminaire scientifique.Ce n'est pas de la littérature aléatoire. Premier d'une longue série d'ouvroirs rassemblés sous le terme Ouxpo — prononcé « Ou-X-Po », le X étant généralement remplacé par une syllabe articulable tel que OuMuPo (musique) ou OuBaPo (bande-dessinée) —, l'Oulipo est une association fondée en 1960 par le mathématicien François Le Lionnais, avec comme cofondateur l'écrivain et poète Raymond Queneau. L'Oulipo anime parfois, sans les organiser, des ateliers d'écriture[3]. Historique[modifier | modifier le code] Présentation[modifier | modifier le code] l’âge
Ouvroir de bande dessinée potentielle Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'Ouvroir de bande dessinée potentielle (OuBaPo) a été fondé en novembre 1992 au sein de l'Ou-X-Po et à travers la maison d'édition L'Association[1]. Ce comité crée des bandes dessinées sous contrainte artistique volontaire à la manière de l'Ouvroir de littérature potentielle (OuLiPo) créé par Raymond Queneau. Histoire[modifier | modifier le code] Constitué en 1992, le groupe de l'OuBaPo est formé lors de la première séance de travail début 1993 de François Ayroles, Anne Baraou, Gilles Ciment, Jochen Gerner, Thierry Groensteen, Patrice Killoffer, Étienne Lécroart, Jean-Christophe Menu et Lewis Trondheim. Thierry Groensteen dit s'en mettre en congé en septembre 1999, en désaccord à la fois avec la politique d'alors, plus tournée vers les performances publiques dans des festivals que les publications, et avec l'inféodation du mouvement à l'Association. Contraintes en bande dessinée[modifier | modifier le code]
Joséphin Peladan Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Sâr Mérodack Joséphin Peladan, pseudonyme de Joséphin Peladan[1], né à Lyon le 29 mars 1858 et mort à Neuilly-sur-Seine le 27 juin 1918, est un écrivain et occultiste français. C'est à son frère Adrien (1844-1885), l'un des premiers homéopathes français, que Joséphin Peladan doit son entrée dans une branche toulousaine de la Rose-Croix. À cet Ordre appartenait aussi le Vicomte de Lapasse [2], alchimiste toulousain présenté comme un élève du Prince Balbiani de Palerme, prétendu disciple de Cagliostro. Biographie[modifier | modifier le code] Issu d'une famille de cultivateurs et de commerçants, Joseph-Aimé Peladan, qui se donnera plus tard le prénom de Joséphin, est le fils de Louis-Adrien Peladan, journaliste à La France littéraire, fondateur de La Semaine religieuse, mystique exalté et confus, et de Joséphine Vaquier. Il entre comme employé au crédit Faillelle à Paris. Peladan et Barbey d'Aurevilly[modifier | modifier le code]
Other World Kingdom Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. OWK possède sa propre monnaie, ses passeports, une police, un tribunal, un drapeau et un hymne. Aucun pays ne reconnaît cette micronation. Histoire[modifier | modifier le code] OWK est fondé officiellement le 1er juin 1996. Le terrain et les bâtiments sont proposés à la vente en 2008 pour huit millions d'euros. Description[modifier | modifier le code] Gouvernement[modifier | modifier le code] L'OWK est un matriarcat, où les femmes dominent, selon les règles du BDSM et de la domination féminine. L'OWK est gouverné par la reine Patricia Ire, une monarque absolue. OWK comprend plusieurs classes d'habitants : La première est celle des dames sublimes ou dames citoyennes qui constituent la noblesse. La classe suivante est constituée des sujets de la reine. La classe la plus basse est celle des esclaves qui sont des hommes propriétés de la reine et des dames sublimes. Source, notes et références[modifier | modifier le code]
Monstre du Loch Ness Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Monstre du Loch Ness Sculpture, interprétation d'artiste, en Écosse. Le monstre du Loch Ness, surnommé Nessie (parfois orthographié Nessy), désigne un animal aquatique supposé vivre (ou avoir vécu) dans le Loch Ness, un lac d'eau douce des Highlands (Écosse). Le naturaliste Sir Peter Scott et Robert H. Rines (en) ont doté le monstre d'un nom binominal : Nessiteras rhombopteryx Scott & Rines 1975, comme on le fait pour une espèce animale attestée. Il est généralement décrit comme ressemblant à un serpent de mer ou à un plésiosaure. Histoire L’Écosse a toujours été réputée pour ses légendes de monstres évoluant dans les eaux profondes des rivières et des lochs. Le mythe du monstre du Loch Ness acquiert une renommée mondiale dans les années 1933-1934 (voir plus bas, la section Canulars et mystification). En 1961 fut officiellement créé le Loch Ness Phenomena Investigation Bureau (Bureau d’enquêtes sur les phénomènes du Loch Ness). Nom scientifique
Queen Nefertiti: Has the tomb of Tutankhamun's mother been found hiding in plain sight? - News - Archaeology - The Independent The legendary beauty ruled alongside Pharaoh Akhenaten in 14BC. During her reign she accrued status as an icon of power and elegance. Despite her prominence in ancient Egyptian history, her resting place has remained a mystery - but now a new theory by a leading historian claims to have finally found the Queen's burial place. A diagram of Nefertiti's possible resting place. Nicholas Reeves, an archaeologist at the University of Arizona, has made bold new claims that he believes she has been laid to rest in Tutankhamun’s burial chamber. Loading gallery King Tutankhamun in pictures 1 of 7 Read moreNefertiti replica mocked mercilessly onlineTutankhamun's beard 'accidentally snapped off by historian'What the virtual autopsy of Tutankhamun taught us It remains the only ever pharaoh's tomb to be found intact and has proved a treasure trove for historians and archaeologists. The bust of Egyptian beauty Queen Nefertiti is on display at Neues Museum in Berlin, Germany.
Le bouquet tout fait Magritte 1957
article très intéressant qui me fait penser à l'essai de Georges Bataille ; "La littérature et le mal", qui nous apprend combien l'histoire de la littérature est liée à celle de la perversion by rouxsandrinegroupecpsy Mar 2