
Les projections cartographiques par G. Dawidowicz par Gilles Dawidowicz Les cartographes ont depuis longtemps été confrontés à un problème majeur dans l'élaboration de leurs cartes - figuration conventionnelle, sur un plan, de la répartition de phénomènes géographiques, géologiques ou autres - : celui de représenter le mieux possible leurs observations terrestres. 1) Une carte circulaire. La Terre est un solide sphéroïde, c'est-à-dire dont la forme approche plus ou moins la sphère, elle-même solide limité par une surface fermée dont tous les points sont à la même distance (rayon) d'un point intérieur appelé "centre". Par convention, l'ensemble de la communauté scientifique, et donc les cartographes, considère la planète Terre comme une sphère parfaite pour la représentation de celle-ci. Il faut donc, représenter en deux dimensions, ce qui existe en trois dimensions, et cela en convertissant un certain nombre de données. 2) Des projections coupables. Le fait de projeter une chose courbe sur un plan, entraîne des déformations. Ainsi: Figure n°1
Définitions et méthodes - Collectivité territoriale Définition Les collectivités territoriales sont des structures administratives françaises, distinctes de l'administration de l'État, qui doivent prendre en charge les intérêts de la population d'un territoire précis. Sont définies comme collectivités territoriales : - les communes ; - les départements auxquels s'ajoutent les cinq départements d'outre-mer (Dom); - les régions auxquelles s'ajoutent également cinq régions d'outre-mer ; - les collectivités à statut particulier ; - les collectivités d'outre-mer (Com). La Nouvelle-Calédonie (archipel d'Océanie situé en Mélanésie) est une collectivité dite sui generis (« de son propre genre »), à savoir une collectivité territoriale de la République française et non pas une collectivité d'outre-mer (Com). Remarque L'expression collectivité locale désigne dans le langage courant ce que la Constitution nomme « collectivité territoriale ».
Le végétal dans la ville : l’élément vital Le rêve d’une ville réconciliée avec la nature se propage : au XXIe siècle la ville sera végétale, prônent de plus en plus d’urbanistes. Il s’agit notamment d’apporter à la ville les fonctions écologiques de la biodiversité : le végétal tempère le micro-climat, humidifie l’air ambiant et réduit les îlots de chaleur. Lorsque les précipitations sont abondantes, il absorbe l’eau et ralentit la saturation des réseaux d’écoulement. Sur les murs et les toits, il agit comme un isolant. Il filtre l’air de certains de ses polluants et de ses poussières, il atténue le bruit. Source: les cités végétales de Luc Schuiten Le végétal dans la ville, des bienfaits psychologiques et sociaux Depuis 2007, la moitié de la population mondiale est urbaine. Végétaliser les villes est donc une solution: par exemple, lorsque l’on dispose d’un parc ou d’un jardin près de chez soi, on sort, tout simplement [i]. Dans une ville riche d’arbre et de végétal, il semble que le citadin se sente plus en sécurité [vi].
Sécu L’organisation actuelle du régime général résulte des l’ordonnances 67-706, 67-707, 67-708, et 67-709 du 21 août 1967 qui instaurent une autonomie financière la pour chaque en branches. Chaque branche est responsable de ses dépenses et de ses ressources. La branche « maladie » gérée par la CNAMTS. Elle gère les risques maladie, maternité, invalidité, décès et, dans le cadre d'une gestion distincte, elle gère aussi la branche des accidents du travail et maladies professionnelles (ATMP). La branche « vieillesse » gérée par la CNAVTS qui définit les orientations de la branche retraite en matière d'assurance vieillesse et d'assurance veuvage. La branche « famille » gérée par la CNAF. 5 . 1 - La Caisse Nationale de l’Assurance Maladie des Travailleurs Salariés (CNAMTS) : 5 . 2 - La Caisse Nationale de l’assurance Vieillesse des Travailleurs Salariés (CNAVTS) : Elle définit les orientations de la branche retraite en matière d’assurance vieillesse et veuvage.
Recommandation du 4 janvier 2007 sur le financement des émissions télévisées par les collectivités territoriales / Recommandations et délibérations du CSA relatives à d'autres sujets / Délibérations et recommandations du CSA / Espace juridique Les collectivités territoriales participent activement au financement d'opérations culturelles, audiovisuelles et sportives à des fins promotionnelles, sous le contrôle du juge administratif qui vérifie l'existence d'un intérêt public local. Au sein du volet audiovisuel de leur communication, les collectivités territoriales participent notamment au financement d'émissions télévisées, par le biais de contributions financières ou matérielles, afin de promouvoir leur nom, leur image, leurs activités ou leurs actions. Dans ce domaine spécifique, l'attention du Conseil supérieur de l'audiovisuel a été appelée sur les règles applicables à de tels financements, notamment lorsqu'un responsable de la collectivité territoriale finançant l'émission télévisée est invité à s'exprimer sur le plateau. L'objet de cette recommandation est de rappeler aux éditeurs de services de télévision l'existence d'un cadre juridique spécifique en la matière et d'énoncer les obligations qui en découlent.
Association loi de 1901 Sous l'Ancien Régime, le terme société est consacré aux associations volontaires de personnes dont le but est commercial, et celui de communauté aux autres. L'attitude de l'autorité royale varie entre la mise sous tutelle des associations dont elle reconnaît l'utilité et la répression de celles susceptibles de représenter une menace. Les associations qui n'ont pas été approuvées sont prohibées et agissent clandestinement. Au cours de la Révolution, l'Assemblée nationale dissout toutes les communautés religieuses, d'habitants, de métiers, les collèges, les hôpitaux, les confréries charitables, les congrégations, qui étaient très nombreuses. En 1791, le décret d'Allarde (2 et 17 mars 1791) et la loi Le Chapelier (14 juin 1791), interdisent de former des associations d'ouvriers ou d'habitants pour défendre leurs intérêts collectifs. Le débat sur la liberté d'association se développe dans les milieux intellectuels et au parlement[5]. Selon l'article premier de la loi du 1er juillet 1901 :
CLIN - Comité de Lutte contre les Infections Nosocomiales Qu'est-ce qu'une infection nosocomiale ? Il s'agit d'une infection acquise au cours d’un séjour dans un établissement de santé. Le CLIN est une instance obligatoire depuis 1989, chargée de la lutte contre les infections nosocomiales dans les Etablissements de soins. Il travaillle en collaboration étroite avec l'Equipe Opérationnelle d'Hygiène (EOHH) Le CLIN est composé de plusieurs catégories de professionnels : · des représentants des professions médicales (médecin et pharmacien) · des représentants des professions paramédicales (soin ou médico-techniques) · des représentants des professions administratives, logistiques et techniques, · l’EOHH, · des représentants des usagers (à titre consultatif). Le président est élu par les membres du CLIN. L’Equipe Opérationnelle d’Hygiène est composée d’une Pharmacienne, Présidente du CLIN, et d’une Infirmière, formées en hygiène hospitalière. Les missions du CLIN : · Elaborer un rapport d’activité adressé directement au Ministère.
WebTV pour les collectivités : Etude de cas : création d'une Web TV par une collectivité territoriale La ville de Belfort s'est fixée 3 objectifs dans la modernisation de sa communication. Moderniser sa communication web Renforcer l'attractivité de la ville Toucher le public qui ne lit pas le magazine municipal En créant en septembre 2009 Belfort TV, la ville de Belfort innove et offre à ses habitants, toutes tranches d'âge confondues, un moyen informationnel moderne. Au-delà des habitants de la ville, c'est aujourd'hui hors des frontières que l'on peut découvrir en vidéo la ville de Belfort. Moyens mis en œuvre Les solutions apportées par collecTV sont précédées d'une analyse des besoins de la ville de Belfort. Résultats
publication_etat_deslieaux_democratie_participative.pdf Amendement Creton Conditions d'admission : Cette prise en charge n'est possible que si l'orientation prévue concerne un établissement relevant de la compétence du Département. Elle est fixée comme suit : si le jeune adulte est orienté vers une structure sous compétence exclusive du Conseil Général, le tarif journaliser de l'établissement dans lequel il est maintenu est pris en charge intégralement par l'aide sociale du Département,si le jeune adulte est orienté vers un foyer d'accueil médicalisé (FAM) ou un Service d'Accompagnement Médico-Social pour Adultes Handicapés (SAMSAH), structures sous financement mixte, le tarif journalier est à la charge du Conseil Général tout en étant diminué du forfait plafond afférent aux soins de l'année N-1 (fixé par arrêté interministériel) qui constitue la charge du soin relevant de l'assurance maladie. Pour tous les autres cas, le tarif reste intégralement pris en charge par l'assurance maladie. Procédures : Récupération : Intervenants : - Représentants légaux
Mettre en place une web TV locale Aujourd’hui, la communication des collectivités comme celle des entreprises passe de plus en plus par la publication de contenus multimédia diffusés au travers du Web. Le format web TV implique des choix techniques, logistiques et matériels, une programmation éditoriale originale et bien ciblée, mais aussi la rentabilisation des investissements en matériel dans le temps. Internet et la vidéo en ligne La vidéo en ligne est l’une des plus grandes innovations apportées par Internet. L’Internet français comptait plus de 29,4 millions de vidéonautes en novembre 2011, qui ont en moyenne regardé 71 vidéos en ligne, soit un temps d’audience moyen de 3 h 26. Sans surprise, ce sont les jeunes âgés de 15 à 24 ans qui passent le plus de temps à visionner de la vidéo en ligne, en moyenne 5 h 20 en novembre. Internet est même devenu le premier média audiovisuel, en prenant le pas sur la télévision. sommes-nous techniquement outillés pour passer d’un simple site Internet vivant à une web TV ?