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Au Bonheur des dames _ Exposition BNF

Au Bonheur des dames _ Exposition BNF

Wbdc Lettres- Symbaloo Gallery Related keywords: Mythes , 2.0 , Toujours , en , ramenant , la , plume , Artistes , et , sagas , d'Islande , Césaire Le Paris de Zola 1984 George Orwell Publication du groupe « Ebooks libres et gratuits » – À propos de cette édition électronique. 383 C’était une journée d’avril froide et claire. Les horloges sonnaient treize heures. Le hall sentait le chou cuit et le vieux tapis. Winston se dirigea vers l’escalier. Son appartement était au septième. À l’intérieur de l’appartement de Winston, une voix sucrée faisait entendre une série de nombres qui avaient trait à la production de la fonte. Au-dehors, même à travers le carreau de la fenêtre fermée, le monde paraissait froid. Derrière Winston, la voix du télécran continuait à débiter des renseignements sur la fonte et sur le dépassement des prévisions pour le neuvième plan triennal. Winston restait le dos tourné au télécran. Le ministère de la Vérité – Miniver, en novlangue – frappait par sa différence avec les objets environnants. Le ministère de l’Amour était le seul réellement effrayant. Winston fit brusquement demi-tour. 4 avril 1984 Déjà !

La légende du roi Arthur Pour ses nobles seigneurs dont chacun s'estimait le meilleur et dont nul ne savait qui était le moins bon, Arthur fit faire la Table ronde sur laquelle les Bretons racontent bien des récits. Les seigneurs y prenaient place, tous chevaliers, tous égaux. Wace, Le Roman de Brut, ca. 1155 La légende du roi Arthur et de ses chevaliers s'est constituée et développée durant des siècles. C'est vers 1150 que la Table ronde est mentionnée pour la première fois dans Le Roman de Brut, œuvre d'un moine anglo-normand, Robert Wace (v. 1110-v.1170). Le symbole de l’idéal chevaleresque Peut-on voir dans l’institution de cette Table ronde une allusion d’origine celtique à une ancienne coutume voulant que les guerriers siègent autour de leur chef ? Elle est, en effet, appelée Table ronde parce qu'elle signe la rotondité du monde et le cours des planètes et des éléments du firmament dans lequel on peut voir les étoiles et les autres astres. La Quête du Saint-Graal, vers 1220-1230

William Hogarth (1697-1764) Liens hypertextes Le site du musée du Louvre autorise la mise en place d'un lien hypertexte pointant vers son contenu, sous réserve de : - ne pas utiliser la technique du lien profond ("deep linking"), c'est-à-dire que les pages du site www.louvre.fr ne doivent pas être imbriquées à l'intérieur des pages d'un autre site, mais accessible par l'ouverture d'une fenêtre. - mentionner la source qui pointera grâce à un lien hypertexte directement sur le contenu visé. Les informations utilisées ne doivent l'être qu'à des fins personnelles, associatives ou professionnelles ; toute utilisation à des fins commerciales ou publicitaires est exclue. Attention ! Cette autorisation ne s'applique pas aux sites internet diffusant des informations à caractère polémique, pornographique, xénophobe ou pouvant, dans une plus large mesure porter atteinte à la sensibilité du plus grand nombre.

Naturalisme (littérature) Le naturalisme est un mouvement littéraire qui s'attache à peindre la réalité en s'appuyant sur un travail minutieux de documentation et en s'inspirant notamment de la méthode expérimentale du physiologiste Claude Bernard. Émile Zola est le principal représentant de cette école littéraire en France. Le mouvement s'étend ensuite dans toute l'Europe et jusqu'en Amérique. Même dans son ouvrage Le Roman expérimental, Zola n'a pas fourni une définition univoque du naturalisme, qui repose sur quelques principes fondamentaux. Le naturalisme s'inspire de la science : « Le naturalisme est l'esprit scientifique porté dans toutes nos connaissances. Le naturalisme est une méthode : « La méthode positive, en littérature, est ce naturalisme dont je parle si souvent[5]. » (Zola)« Le naturalisme n’est pas une « rhétorique », comme on le croit généralement, mais quelque chose d’autrement sérieux, une « méthode ». Le naturalisme est une vision du monde : Une synthèse a été tentée par Camille Lemonnier :

Hegel, Dieu, le Mal dans l'Histoire À la lecture de la Chronique des années de déportation, une question s'impose au lecteur concernant la récurrence, dans l' Histoire, des conflits, des politiques d'extermination, des manifestations du Mal déjouant la logique qui voudrait que, une fois la leçon tristement apprise, on ne commette pas les mêmes erreurs : Quelle force, transcendant l'Histoire, régit l'évolution de l'humanité ? C'est un des sujets de réflexion de la philosophie de l'histoire, qui relève de la métahistoire ou réflexion sur l'Histoire en tant qu'objet. Attardons-nous justement sur la force qui devrait déduire d'événements néfastes la conduite à tenir pour ne pas les réitérer. Éternel mystère concernant les causes et conséquences de la souffrance humaine qui résulte de l'expression du Mal à l'échelle de l'humanité ! Je vous propose non une réponse ou une solution, ce qui serait totalement utopique mais une piste de réflexion. Hegel, la raison et Dieu ? La Raison, l'Esprit et la Sagesse dans l'Histoire

naturalisme École littéraire amorcée par le réalisme, groupée autour de Zola, qui visait, par l'application à l'art des méthodes et des résultats de la science positive, à reproduire la réalité avec une objectivité parfaite et dans tous ses aspects, même les plus vulgaires. Dans une fin du xixe siècle fascinée par la science, le naturalisme, véritable système d'analyse et d'explication de la nature, est l'aventure d'un groupe fortement structuré par la personnalité d'Émile Zola. Afin de chercher la vérité et de la donner à voir, il privilégie le roman, qui sera plus que tout autre le genre des grandes œuvres naturalistes. Prenant la relève du réalisme, qui a surtout cherché à décrire minutieusement la réalité, le naturalisme prétend faire de la littérature un mode d'expérimentation du monde réel. Un groupe en rupture Littérairement, le naturalisme est d'abord l'aventure d'un groupe, dont Zola est l'énergique fédérateur. Pour une étude scientifique de la société L'empreinte de Zola La méthode Le style

Du Bien et du Mal chez Spinoza A l’examen sommaire (CT1C4, CT1C7(8), E1App, …), Spinoza – comme avant lui, les Stoïciens – paraît poser explicitement que Bien et Mal (deux mots joints pour désigner un seul concept) n’existent pas et que donc tout se vaut de ce point de vue (qui n’est donc rien de fondé, en fait). Par exemple : CT2C4(5) : « Nous avons déjà dit que toutes choses sont nécessaires, et que dans la nature il n'y a ni bien ni mal […]. […]. » D’où, en particulier, parmi les opinions vulgaires, la réponse outragée du lecteur moralisant (insulte à la perfection divine, incitation à la déresponsabilisation morale,…) ou, pire, l’autosatisfaction de l’hédoniste banalisé (pourquoi me retiendrais-je ? Je peux libérer tous mes désirs et le revendiquer haut et fort.) Toutefois, il paraît alors y avoir une contradiction évidente : s’il n’y a ni Bien ni Mal, il n’y a pas d’éthique possible ; comment Spinoza peut-il dans ces conditions avoir intitulé le sommet de son œuvre « Éthique » ? Alors ? E4Pré : « […].

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