
La carte conceptuelle : Un outil de développement de la métacognition Introduction En tant que formateur chargé d’une part d’organiser l’enseignement et d’autre part de dispenser des cours, et face à la masse de connaissances qu’un étudiant se doit d’apprendre et de retenir lors de ses études, vous êtes-vous posé les questions suivantes : Comment fonctionne le cerveau ? Cet article présente une technique pédagogique appelée « Carte conceptuelle » qui peut être utilisée par le formateur, quelles que soient les connaissances à enseigner et qui permet de développer les performances d’apprentissage des étudiants. La carte conceptuelle fait partie des outils qui servent à représenter les informations de façon visuelle. La carte conceptuelle en dehors de ses aspects pratiques, procure des sensations et des sentiments chez l’étudiant.Elle permet de : Développer une plus grande confiance en soiPenser par soi mêmePotentialiser sa mémoireDonner envie d’apprendreUtiliser de nouvelles ressourcesFaciliter l’argumentationMaitriser son savoirOptimiser son temps En pré-test
TIC et métacognition La métacognition : pourquoi s’en soucier ? Nous savons maintenant que la différence entre un élève qui réussit et un autre qui ne réussit pas n’est pas le niveau du Q.I., mais l’habileté d’un élève à utiliser les bonnes stratégies, les bons processus au bon moment. Avoir du contrôle sur la tâche est directement relié au succès et à la motivation ! La métacognition, c’est comme les graines de lin. Oui, mais qu’est-ce que la métacognition exactement ? La métacognition consiste à simultanément agir et prendre conscience de sa propre démarche pour s’ouvrir et s’enrichir de celle des autres. Deux composantes de la métacognition : les connaissances métacognitives et les habiletés métacognitives Connaissances métacognitives : connaissances qu’a l’élève de : Habiletés métacognitives : utilisation et adaptation des connaissances métacognitives pour la gestion de l’activité mentale. Comment développer la métacognition ? Tiré de Lafortune, L. Place des TIC
La pyramide des besoins de Maslow d’un point de vue pédagogique | madamemarieeve Le psychologue Abraham Maslow a établi une hiérarchie des besoins en faisant des recherches sur la motivation. Il a ainsi réalisé, dans les années 1940, la pyramide des besoins. Le fonctionnement doit être perçu tel un escalier. L’individu doit satisfaire les besoins qui sont à la base afin de pouvoir réaliser ceux qui sont au niveau supérieur. Voici l’explication de chacun des niveaux. Besoins physiologiques: Ils sont liés à la survie. Besoin de sécurité : Ce besoin se réfère au fait que tout individu doit se protéger des dangers. Besoin d’appartenance et affectif : Ce besoin a une dimension sociale. Besoin d’estime : Il est le prolongement du besoin précédent. Besoin de s’épanouir : Ce besoin se retrouve au sommet des aspirations humaines. Nous devons tenir compte, en tant qu’enseignant, de ces besoins. Voilà donc la pyramide vue sous un regard ayant une vision pédagogique: Besoins physiologiques : L’enseignant doit toujours s’assurer que l’enfant est prédéterminé à écouter.
Accueil | Accueil L’activité du groupe Cognisciences porte sur l’étude des processus du développement, d’acquisition et d’apprentissage du nourrisson à l’enfant. Notre approche s’appuie sur les neurosciences et la clinique du normal au pathologique (langage oral, motricité fine et globale, langage écrit, attention, calcul) Les différents travaux menés portent sur : 1) Le développement cognitif de l’enfant de 6 mois à l’adolescence 2) Le langage oral : acquisition, retards et troubles spécifiques du développement du langage (dysphasies...). 3) Le langage écrit : la lecture, le décodage, la fluence et la compréhension, les difficultés, les troubles spécifiques (les types de dyslexies). 4) Les autres troubles d’apprentissage : les troubles d’acquisition de la coordination motrice (dyspraxies), les troubles du calcul (dyscalculies), les troubles de l’attention avec ou sans hyperactivité : THADA... Trois axes directeurs orientent la majeur partie de nos activités :
Des stratégies pour favoriser la métacognition et la conscience de soi chez les élèves La recherche montre que les habiletés métacognitives se développent considérablement entre 12 et 15 ans. Comment favoriser le développement de ces habiletés chez les élèves? Cet article de la psychologue, chercheuse et auteure Marilyn Price-Mitchell porte sur la conscience de soi et la façon dont cette conscience est liée aux habiletés métacognitives. La conscience de soi, associée au système paralimbique du cerveau, permet à l’individu d’ajuster ses conceptions du monde ; sa conception de soi et des personnes qui l’entourent. La conscience de soi […] aide les élèves à apprendre plus efficacement en focalisant sur ce qu’ils ont besoin d’apprendre. Selon l’auteure, il est important de cultiver l’habileté des élèves à réfléchir à leurs stratégies d’apprentissage ainsi qu’à l’efficacité de ces stratégies. 1. Les croyances des élèves à l’égard de leurs capacités à apprendre influencent leur motivation et leurs résultats scolaires. 2. 3. 4. 5. 6. 7. [Consultez l’article] Waynewhuang
» creative commons RU3 Vous êtes blogueur, auteur, conférencier, photographe, artiste, designer ou créatif ? Vous souhaitez favoriser la diffusion de votre travail, et vous assurer que l’on vous attribue la paternité de votre uvre, afin, le cas échéant, de faire valoir vos droits. Il existe aujourd’hui six licences Creative Commons (dans la version 2.5). Donc six façons de partager et de protéger vos créations. Mais laquelle choisir ? Voici un panorama des possibilités données par les licences Creative Commons actuelles : 1. Paternité Obligations pour les repreneurs : Obligation de citer le nom de l’auteur original.A chaque réutilisation ou distribution, faire apparaître clairement aux autres les conditions contractuelles de mise à disposition de cette création, en faisant un lien vers cette licence : 2. Paternité + Pas de Modification 3. Paternité + Pas d’Utilisation Commerciale + Pas de Modification 4. Paternité + Pas d’Utilisation Commerciale 5. 6.
Motivés ! Accueil > Dossiers et articles > Motivés ! Certains élèves savent faire naître et entretenir d'eux-même leur motivation pour les apprentissages scolaires. Mais ce ne sont pas les plus nombreux. Alors comment faire ? Car on risque gros à ignorer l'entretien de la motivation chez ses élèves, à penser que "le sujet est suffisamment intéressant" ou que "de toutes façons, ils n'ont pas le choix". Il n'est rien de tel que d'avoir été privé d'école pour développer l'envie d'y retourner. photo : Pink Sherbet Photography via photo pin cc Les rôles, facteurs de motivation dans un wiki 9 septembre 2012 Les wikis sont de beaux outils de collaboration. Motivé au boulot ! 7 septembre 2012 Vous connaissez peut-être la théorie de la motivation humaine publiée par le psychologue Abraham Maslow en 1943. L'auteur et journaliste américain Daniel Pink, qui est né juste avant que Maslow décède, a lui aussi développé une théorie sur la motivation, bien loin de celle que défendait Maslow. 10 septembre 2012
Stanislas Dehaene - Psychologie cognitive expérimentale - Collège de France La métacognition consciente implique de se représenter son propre esprit en train de représenter une information (« je crois avoir oublié mes clés »). Le format de ces méta-représentations semble très similaire à celui que l’on suppose sous-tendre la représentation des pensées d’autrui (« il croit que j’ai oublié mes clés »). Dans les deux cas, la représentation mentale doit spécifier l’agent (moi ou un autre), l’attitude mentale (croire, savoir…), et la proposition examinée. Se pourrait-il donc que nous utilisions le même format de représentation mentale et les mêmes aires cérébrales pour représenter notre esprit et celui des autres ? La réflexion métacognitive consciente et la « théorie de l’esprit » (theory of mind) feraient-elles appel, au moins en partie, aux mêmes mécanismes ? Plusieurs arguments empiriques suggèrent effectivement que la connaissance de soi et la connaissance de l’autre sont étroitement liées.
La carte de concepts Lorsque vous préparez une formation, vous devez établir les contenus à faire apprendre. Ces contenus se divisent en trois catégories : Le savoir : Il constitue le contenu théorique que les participants à la 1. formation doivent apprendre pour être en mesure de comprendre. Souvent nommé « théorie » ou « notion », le savoir doit être explicité pour que le formateur puisse le présenter et les apprenants se l’approprier. La partie la plus simple d’un savoir est le mot ou concept. Le savoir-faire : Il constitue le contenu pratique que les participants à 2. la formation doivent être en mesure de réaliser pour démontrer leurs capacités. Le savoir-être : Il constitue le contenu comportemental que le 3. participant doit manifester, à la fin de la formation, pour être en mesure d’utiliser le savoir et de réaliser le savoir-faire visé par les objectifs. L’outil de la carte de concepts facilite le travail du formateur en lui permettant d’organiser les savoirs de sa formation. 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7.