
Les médias contribuent-ils au débat démocratique ? - Médias et démocratie Découverte des institutions <p class="video_texte"> L'utilisation de javascript est obligatoire sur cette page pour voir l'animation.</p> Quelques dates clés 26 août 1789 : L’article 11 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen proclame : "La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi". 29 juillet 1881 : En France, loi sur la liberté de la presse. 18 novembre 1936 : Suicide de Roger Salengro, maire de Lille, ministre de l’Intérieur du Front populaire, victimeVictimePersonne qui subit personnellement et directement un préjudice physique, moral ou matériel, du fait d’une infraction pénale. d’attaques de L’Action française et de Gringoire sur son action pendant la Première Guerre mondiale et ses origines juives. 29 juillet 1982 : Loi sur la communication audiovisuelle posant le principe de la liberté de l’audiovisuel.
30 ans de décentralisation, les témoins d’une révolution Anniversaire remarquable : 30 ans de décentralisation ! 30 ans au cours desquels la France est entrée dans une ère nouvelle, une gouvernance moderne. Mais aujourd’hui une nouvelle impulsion paraît d’autant plus indispensable, que les collectivités locales ont fait la preuve de leur efficience. Les citoyens plébiscitent, en effet, à longueur d’études et sondages divers, la capacité des Régions, des Départements et des Communes à mieux gérer que l’Etat tout ce qui relève de leur quotidien et de leur avenir territorial. 30 ans après l’intuition visionnaire et la volonté politique qui a présidé à la loi de 1982, quel regard porter sur toutes ces années ? Historien, chef d’entreprise, spécialiste des réseaux numériques, universitaire, expert de l’opinion publique, acteur de première ligne en 1982, ancien ministre, homme de culture : ils ont accepté de témoigner et de nous dire leur vérité. Jean Noël Jeanneney, historien, ancien conseiller régional de Franche-Comté (1992 – 1998) Voir la vidéo
NosDéputés.fr : Observatoire citoyen de l'activité parlementaire Les sites web de collectivités sont-ils encore utiles ? Le départ du carrefour a été très « violent », Laurent Riera – directeur de la communication d’Evry-Centre-Essonne – a rappelé quelques réalités qui font mal, notamment sur les faibles statistiques de lecture des articles et des vidéos sur les sites web de collectivités. Ce constat est d’autant plus navrant que les moyens mis en œuvre pour la production de ces contenus sont parfois très conséquents. Face à l’infobésité du web, il est judicieux de se recentrer sur ses compétences et de ne pas déployer des moyens disproportionnés au regard de l’audience des sites web de collectivité. On peut donc se demander quel est l’intérêt de produire des informations qui ne sont pas lues. Effectivement, il semble que les actualités ne fassent pas parti des attentes prédominantes des internautes des collectivités. Pourquoi l’internaute ne vient pas sur un site web de collectivité pour lire les actualités ? A votre avis, pourquoi les internautes viennent sur un site web de collectivité ?
Politest, le test pour se positionner politiquement JCP Le 3e Baromètre de la communication intercommunale réalisé par l’Assemblée des Communautés de France (AdCF) et l’agence Epiceum fait le point sur les grands enjeux de la communication des communautés. Petit tour d’horizon des résultats : 1/ Changement de nom pour 1 communauté sur 5 ! 46% des communicants interrogés* déclarent avoir une perspective de fusion à court ou moyen terme. Pour 69,4 % d’entre eux, cela implique la refonte de leur dispositif d’information et pour 42 % un changement de nom. Réflexions sur l’identité du territoire, redéfinition des publics, du discours, développement d’outils innovants…les communicants vont avoir du pain sur la planche ! 2/ Le boom des nouveaux médias Si les relations presse, le magazine externe, l’affichage et le site web sont mobilisés par plus des trois quarts des communautés, l’utilisation des réseaux sociaux a quant à elle triplé, en passant de 10,1% en 2011 à 32,5% en 2013. 3/ Objectif n°1 : expliquer l’intercommunalité 4/ Priorité aux habitants
Nouvelles formes de participation démocratique : Cinq expériences 2.0 Les réseaux sociaux, médias en ligne, blogs redonnent-ils du pouvoir aux citoyens ? Le Forum mondial de la démocratie, cette semaine à Strasbourg, examine des initiatives à l'oeuvre sur tous les continents. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Anne-Sophie Novel (journaliste ) Du 23 au 27 novembre, à Strasbourg, les participants au Forum mondial pour la démocratie examineront des initiatives de démocratie participative à l'oeuvre sur tous les continents. En voici quelques exemples. > Lire aussi l'entretien : "Internet renforce le pouvoir de la société civile" Depuis trois ans, les initiatives françaises de démocratie 2.0 se multiplient, avec pour objectif de stimuler la participation citoyenne aux instances démocratiques, qu'elles soient locales ou nationales. Sur Parlement-et-citoyens.fr, la co-élaboration des propositions de lois portées par les parlementaires est à l'honneur. Ciblant plus particulièrement les questions d'immigration, PBP mêle l'analyse quantitative aux éléments qualitatifs.
Quelle stratégie de marque pour une ville ? Les villes sont dans un système concurrentiel qui s’est intensifié et approfondi ; intensifié du fait de la mobilité croissante des personnes et des entreprises et également du fait de la raréfaction des ressources financières des Etats. Les personnes et les entreprises sont donc devenus des clients, qui ont des besoins, des motivations, des comportements qui les amènent à choisir un territoire pour s’y installer et y vivre. L’accélération de l’économie entraîne des mouvements plus rapides de populations et d’entreprises, autant d’enjeu de conquête et de fidélisation pour les villes et autres collectivités territoriales. Le système concurrentiel s’est également approfondi parce qu’il concerne également les plus petites villes, faisant face aux mêmes problématiques mais à une autre échelle. Une stratégie de marque ne se résume pas à un beau logo, une signature, une animation de noël et une plaquette.
MUR DE LA PRESSE- des principaux journaux en ligne L'Observatoire Influencia - Pour une marque France Publié le 11 avril 2012 Combien de fois, depuis le lancement de l’Observatoire de la marque France en 2010 et depuis que j’ai émis l’idée de créer une marque France, ne me suis-je entendu répondre «La France n’est pas une marque». La marque fait peur. On fait, par assimilation commode et traduction rapide, référence au branding du marquage des bêtes à cornes. En réalité, le mot marque est apparu en 1456, succédant au mot normand (1119) Merc, Merche, qui désigne, outre le fait de distinguer un objet d’un autre, l’action de marcher, de se déplacer d’un point à un autre. Il n’y a donc rien d’hérétique à accoler marque au côté de France. Cette marque France est attendue. 87 % des Français s’y déclarent favorables, d’après les résultats de la troisième édition de l’Observatoire de la Marque France, lancé il y a trois ans par W&Cie et l’institut Viavoice. Plus instructif encore, les résultats 2012 de l’Observatoire nous indiquent que les Français n’attendent pas n’importe quelle Marque France.
Ce que s’abstenir veut dire, par Céline Braconnier et Jean-Yves Dormagen En France, les dernières élections municipales, les 23 et 30 mars 2014, ont suscité un déluge de commentaires sur la montée de l’extrême droite. Certains sont allés jusqu’à y voir un quasi-plébiscite local en faveur du Front national (FN). Ce flot de déclarations, d’articles et de reportages télévisés contraste avec ce qui constitue la donnée majeure du scrutin, et plus généralement de tous les scrutins depuis trente ans : le taux record d’abstention, dont l’étude précise conduit à nuancer les analyses produites à chaud. Si la progression du FN par rapport aux municipales de 2008 est incontestable, elle n’en demeure pas moins contenue. Dans les quatre cent quinze villes de plus de dix mille habitants où il présentait des listes, le parti d’extrême droite a obtenu un pourcentage des suffrages exprimés inférieur à celui de Mme Marine Le Pen à la présidentielle de 2012. Même chose s’agissant de la « vague bleue ». Un maire désigné par 12 % de la population
Le Made in France : point de départ d'une consommation responsable Pour Christophe Roturier - Directeur Délégué de l’association Max Havelaar France, « cet engouement pour le « Made in France » démontre clairement le souhait profond des Français de se positionner en acteurs éclairés de leur consommation. » Mais comment prolonger et dépasser la question de provenance des produits ? Max Havelaar ouvre le champ de la réflexion. Le « Made in France » garant d’une consommation responsable pour 84% des Français… 94% des Français considèrent que c’est une bonne ou une très bonne approche 81% d’entre eux la juge crédible Le « Made in France » semble garantir à leurs yeux : la relocalisation (78%) la baise du chômage (77%) des conditions de travail dignes (72%) « Mais la surprise de cette enquête est ailleurs. … Mais 47% d’entre eux ne croient pas à sa mise en place effective Une enquête qui élargit la réflexion au niveau mondial En effet, avoir une consommation « responsable » ne se limite pas uniquement aux frontières françaises. Méthodologie de l’enquête
leuropecestpassorcier L’Europe c’est pas sorcier est une opération transmedia, participative et intergénérationnelle sur l’Europe dédiée aux enfants, aux adolescents et jeunes adultes, aux parents et grands parents. En mettant les internautes en immersion sur les sujets européens qui les intéressent, ce site est un des éléments de l’opération L’Europe c’est pas sorcier qui se décline aussi en une exposition, un mémento et des événements en régions. C’est L’Union européenne expliquée à tous. L’opération est produite à l’initiative de et par Graine d’Europe qui associe sa démarche de sensibilisation à l’Europe à la philosophie de l’émission « C’est pas sorcier » pour créer le concept « L’Europe c’est pas sorcier », en partenariat avec France Télévisions.