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Présentation du projet

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Réseau et pseudopodes Le CNES, en partenariat avec le CNRS et avec le soutien de l’académie de Toulouse, a proposé à 4500 établissements scolaires de primaire, collège et lycée de participer à une expérience éducative originale, basée sur l’étude du comportement du Physarum polycephalum, ou blob. Cette expérience a également été menée par Thomas Pesquet à bord de l’ISS, lors de sa mission Alpha. Ni plante, ni animal, ni champignon L’expérience éducative proposée par le CNES, en partenariat avec le CNRS et avec le soutien de l’académie de Toulouse, consistait à envoyer un blob à bord de l'ISS et à inviter les classes à mener la même expérience que celle menée en micropesanteur. Plus connu sous son nom usuel « blob », le Physarum polycephalum n’est ni une plante, ni un animal, ni un champignon. L'effet de la micropesanteur sur le comportement du blob Pour répondre à ces questions, l’ISS a accueilli ce locataire un peu particulier : plusieurs blobs ont rejoint la station pendant l'été. Informations pratiques

#EleveTonBlob : l'expérience éducative du CNE Ni plante, ni animal , ni champignon L’expérience éducative proposée par le CNES, en partenariat avec le CNRS et avec le soutien de l’académie de Toulouse, consiste à envoyer un blob à bord de l'ISS et à inviter les classes à mener la même expérience que celle qui sera menée en micropesanteur. Pour ce faire, ils recevront de la part du CNES, fin août/début septembre, un kit comprenant 3 à 5 blobs (souche identique à celle envoyée dans l’ISS), ainsi que du papier filtre. Plus connu sous son nom usuel « blob », le Physarum polycephalum n’est ni une plante, ni un animal, ni un champignon. Cet organisme monocellulaire dépourvu de cerveau est capable de se déplacer, de se nourrir, de s’organiser et même de transmettre ses apprentissages à un congénère. Ses capacités d’apprentissage font l’objet de recherches dans le laboratoire d’Audrey Dussutour, Directrice de recherche CNRS au Centre de recherches sur la cognition animale (CRCA ; CNRS/Université Toulouse III – Paul Sabatier).

L'intérieur de la boîte Thomas Pesquet a enregistré il y a quelques jours un message d'encouragements destiné aux enseignants et élèves engagés dans l’expérience éducative #ElèveTonBlob. Bonne rentrée à tous ! A bord de l'ISS : top départ pour l'hydratation des blobs Ce jeudi 2 septembre 2021, les ingénieurs du CADMOS, représentants du service Education Jeunesse du CNES et Audrey Dussutour (CNRS) ont pu suivre avec une certaine émotion les gestes effectués par Thomas Pesquet. L'expérience Blob est un peu particulière : pour ces opérations, le CADMOS a passé le relai à BIOTESC, un centre d'opérations situé à Lucerne en Suisse, spécialisé dans les recherches en sciences de la vie et notamment en charge des expériences éducatives pour les astronautes de l'Agence spatiale européenne (ESA). Cette première phase de l'expérience Blob-ISS s'est déroulé en plusieurs étapes pour Thomas Pesquet : Audrey Dussutour, directrice de recherche au CNRS et spécialiste du blob, témoigne : Vous souhaitez multiplier vos sclérotes ?

Le blob dans les classes et dans l’espace Faire des expériences en classe sur une moisissure, ça vous tente ? Et si nous le présentons ainsi : voir grandir et se nourrir un être étrange aux propriétés impressionnantes, et comparer vos observations avec les résultats obtenus par l’astronaute français Thomas Pesquet à bord de la station spatiale internationale. C’est mieux ? C’est ce que propose l’agence spatiale française (le CNES), en collaboration avec le CNRS, à quelque 2000 classes de niveau primaire, collège ou lycée lors de la prochaine rentrée scolaire 2021-2022. Les inscriptions sont ouvertes. Jaune, gluant et social, le blob n’est ni un animal, ni un végétal. Les mêmes expériences sur Terre et dans l’espace « Le service Éducation Jeunesse du CNES a vu le potentiel du blob, dont l’élevage est facile, pour des actions éducatives », relate Audrey Dussutour.

Mission Alpha | #ElèveTonBlob : l'odyssée des blobs spatiaux Flash-back en juillet 2020 : les ingénieurs du CADMOS, au CNES, travaillent à la conception d’une blob-box respectant les contraintes les plus drastiques en termes de sécurité à bord de la Station spatiale internationale. Objectif : envoyer 4 blobs (Physarum Polycephalum) dans l’ISS, sous forme de sclérotes à réhydrater, et proposer à des élèves de reproduire la même expérience dans leurs classes. C’est la génèse d'#ElèveTonBlob, l’expérience éducative de la mission Alpha (ESA). Cette blob-box hermétique - afin de ne pas rejouer le célèbre film des années 50... - devait permettre à l'astronaute français de l'ESA Thomas Pesquet, grâce à des seringues et un système de prises de vues automatique, de réveiller les 4 blobs et d’immortaliser leur développement grâce un enregistrement vidéo de quelques secondes toutes les 10 minutes. Un réveil en douceur et en micropesanteur Jeudi 2 septembre 2021, 13h14 CET : Thomas Pesquet démarre l’installation de l’expérience Blob-ISS. Retour au sommaire

Le blob, nouvelle star du zoo de Paris Ni plante, ni animal, ni champignon, le blob fait son entrée au Parc zoologique de Paris le 19 octobre. Audrey Dussutour, éthologiste au CNRS, nous explique en quoi cet organisme unicellulaire, dépourvu de cerveau et de système nerveux, fascine chercheurs et grand public. Vous êtes la spécialiste mondiale du blob, que le grand public va bientôt pouvoir découvrir au Parc zoologique de Paris. En quoi cette entrée au zoo est-elle importante ? Audrey Dussutour, dans son laboratoire à Toulouse en mai 2019. Justement, on le définit souvent en procédant par élimination : ce n’est « ni une plante, ni un animal, ni un champignon ». Plus précisément, le blob appartient à la classe des myxomycètes, ce qui signifie « champignons gluants ». Au début de sa vie, il mesure 50 micromètres. Qu’est-ce qui rapproche et distingue le blob d’une amibe ? Ce qui le différencie des amibes, c’est que les myxomycètes peuvent atteindre de grandes tailles, alors que l’amibe est généralement petite.

Les super-pouvoirs du blob ReportagesPropos recueillis par Annie Labrecque - 05/10/2017 Ni animal, ni végétal, ni bactérie, ni champignon, le « blob » n’a plus de secrets pour Audrey Dussutour qui l’étudie depuis presque 10 ans. Elle nous présente les talents cachés de cet étrange organisme unicellulaire, ou myxomycète. Il a été surnommé « blob » en référence à un film américain de 1958 où une masse grossit au fur et à mesure qu’elle engloutit des humains, mais il ne lui ressemble en rien, hormis par son aspect gluant. Cet organisme, dont il existe plus de 1 000 espèces différentes, semble disposer de « pouvoirs » infinis. On le dit presque immortel. Québec Science : Qu’est-ce que le blob ? Audrey Dussutour : C’est un amibozoaire, un organisme unicellulaire qui existe depuis des millions d’années, mais il passe inaperçu, car la plupart des gens le confondent avec un champignon. Leur nombre reste inconnu, mais une équipe de scientifiques a compté 50 blobs par gramme de sol dans une forêt en Virginie, aux États-Unis.

Le « blob » : capable d'apprendre… et de transmettre ses apprentissages Imaginez que vous ayez la capacité de fusionner temporairement avec un autre individu et qu'à l'issue de cette expérience, vous ayez acquis toutes ses connaissances. Eh bien, chez les blobs, c'est possible ! Le blob, Physarum polycephalum pour les scientifiques, est un être composé d'une seule cellule, qui vit dans les sous-bois à l'état naturel et dans des boîtes de Pétri en laboratoire. Pour cela, les chercheurs ont appris à plus de 2 000 blobs que le sel était inoffensif – les blobs devaient traverser un pont couvert de sel pour rejoindre leur nourriture. Afin de vérifier qu'il y avait bien eu transfert d'information, l'expérience a été refaite en séparant les blobs une heure ou trois heures après leur fusion. © Audrey Dussutour (CNRS) Physarum polycephalum (diamètre : environ 10 centimètres), ou blob, composé d'une unique cellule, cultivé en laboratoire sur un gel d'agar. © David Vogel Physarum polycephalum expérimentés (ou habitués, H) qui fusionnent avec un congénère naïf (N).

Le blob, une cellule géante et intelligente ! La diversité des formes de vie sur Terre dépasse l'imagination et ne cesse de nous surprendre. Dans ce foisonnement du vivant, les organismes multicellulaires sont les plus connus, aussi bien d'un point de vue physiologique que comportemental. Ainsi, nous connaissons tous les capacités d'orientation des pigeons, de photosynthèse des plantes, d'apprentissage des chiens ou encore de construction des fourmis. À l'inverse, les capacités des organismes unicellulaires, souvent qualifiées de simples, sont plutôt méconnues. Pourtant, les organismes unicellulaires présentent des comportements qui n'ont rien à envier à ceux observés chez les autres organismes : certains sont capables de communiquer, de s'orienter, de coopérer, de construire des abris… Un exemple étonnant est celui des capacités d'apprentissage que nous avons découvertes récemment chez un organisme unicellulaire de forme et de taille indéfinies, visqueux et de couleur jaune vif : le myxomycète Physarum polycephalum.

Le blob Physarum : une cellule géante sans cerveau qui apprend Stupéfiant Physarum : cette sorte de cellule géante, sans système nerveux, sait apprendre et se souvenir, comme l'avait montré une équipe du CNRS. Laquelle nous explique maintenant que cet organisme peut aussi transmettre ses connaissances à un congénère. La vie est belle. On l'appelle blob car on ne sait pas trop comment nommer cette masse colorée qui s'étale en forêt sur plusieurs mètres carrés, recouvrant des branches entières. On dit que c'est un « protiste » car les biologistes, sans bien savoir où le classer, constatent qu'il n'a qu'une cellule. Mais c'est la plus grande du monde et elle possède d'innombrables noyaux. Pour tout savoir sur lui, ne ratez pas cette présentation d'Audrey Dussutour, chercheuse CNRS à l'université Paul Sabatier, à Toulouse, effectuée sur scène pour une conférence TedX, que nous présentons ici. Quand deux blobs fusionnent, l'un enseigne à l'autre À partir de trois heures, en revanche, les naïfs ne l'étaient plus et n'avaient pas peur du sel.

Découvrez le "Blob" : la créature qui affole les biologistes Ce n'est ni un végétal, ni un animal. Juste une simple cellule, unique, mouvante et... intelligente ! Un véritable prodige de l'évolution. Cela ressemble à une grosse blague de biologiste. Imaginez un organisme ni animal, ni végétal, ni champignon, formé d'une unique cellule gigantesque - susceptible de couvrir 10 m2 , voire plus - raffolant de flocons d'avoine et de blancs d'œuf. Imaginez maintenant que cet être unicellulaire rampant et baveux soit capable de résoudre sans effort des problèmes de mathématiques, d'apprendre de nouveaux comportements et même de transmettre ces enseignements à ses congénères ; en clair, une sorte de moisissure savante. Furieusement étrange et franchement envahissant La suite de cet article est à lire dans Science & Vie n°1197 (juin 2017), page 74 • Lire l'article en intégralité (abonnés) • Acheter ce numéro (papier ou numérique) • Vous abonner (à partir de 2,25 € par mois)

Réveiller un blob : la curieuse mission de Pesquet dans l’ISS... et de milliers d’élèves sur Terre Après avoir conquis les bois il y a un milliard d’années, puis les laboratoires, voilà le blob prêt à partir pour l’espace ! Ce micro-organisme est l’un des rares chanceux à avoir trouvé une place dans la valise de Thomas Pesquet, l’astronaute français qui décollera le 22 avril pour la Station spatiale internationale. Mais qu’est-ce que le blob ? Dans le monde du vivant, les hommes ont eu bien du mal à lui trouver une place. A première vue, on le prendrait pour un œuf brouillé, ou de la gelée. De son vrai nom physarum polycephalum, le blob est un amibozoaire, un organisme composé d’une seule cellule, néanmoins bien visible car pouvant mesurer plusieurs mètres carrés ! LIRE AUSSI > Clichy : cette biologiste apprivoise le blob avant qu’il parte conquérir l’espace Parmi les dizaines d’expériences qui l’attendent en orbite, l’astronaute aura donc cette curieuse mission : réveiller ses blobs. Susciter des vocations Mais l’intérêt de l’expérience réside surtout dans son caractère éducatif.

Qu'est-ce que le blob : un animal ou un végétal Peut-être l'avez-vous déjà croisé au détour d'un chemin forestier, sous la forme d'un tapis mousseux jaune, sans vous douter que vous aviez sous les yeux un casse-tête pour l'arbre du vivant. >> À lire aussi : "Qui est ce « blob » qui s’envolera pour l’espace avec Thomas Pesquet ?" Car reprenons : plus connu sous le nom de Physarum polycephalum, le blob a très longtemps été rangé avec les... champignons. D'ailleurs, la plupart des articles historiques sur le sujet se trouvent dans des revues consacrées à la mycologie. Ensuite, il fut classé chez les protistes, un règne fourre-tout abandonné aujourd'hui. Depuis le séquençage de son génome en 2015, il fait partie des amibozoaires, un groupe d'unicellulaires un peu primitifs. Le blob a tout pour exciter la curiosité des biologistes. Une cellule capable d'apprendre Dans sa façon de manger et de ramper, le blob est proche d'un animal. Exceptionnel, donc, et pourtant délaissé par la recherche. Des veines partagent les informations

Je vous invite a quitter se Peartrees si il ne vous convient pas by blobers Sep 29

Cette vidéo n'est pas très intéressante cordialement by paul_ivan Sep 29

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