
#POBLIVE Le Ballet de l'Opéra de Paris... - Opéra national de Paris Older Children Spread the Coronavirus Just as Much as Adults, New Study Finds Still, experts said the approach was reasonable. “It is also from a place with great contact tracing, done at the point interventions were being put in place,” said Bill Hanage, an epidemiologist at the Harvard T.H. Chan School of Public Health. Children under 10 were roughly half as likely as adults to spread the virus to others, consistent with other studies. Even so, the number of new infections seeded by children may rise when schools reopen, the study authors cautioned. The researchers traced the contacts only of children who felt ill, so it’s still unclear how efficiently asymptomatic children spread the virus, said Caitlin Rivers, an epidemiologist at the Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health. “I think it was always going to be the case that symptomatic children are infectious,” she said. Dr.
Les masques [...] protègent-ils du coronavirus ? article, débat en 8 points Qui n’a pas son masque ? Officiellement, selon les recommandations de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), ils ne protègent pas du SARS-CoV-2, le virus responsable du Covid-19. Mais de nombreux pays les ont rendus obligatoires, les grandes puissances s’arrachent les stocks disponibles, quitte à détourner les commandes destinées à des pays alliés, et partout sur Internet des tutoriels pour confectionner son propre masque apparaissent et se diffusent à vitesse grand V. Le gouvernement français lui-même, après avoir longtemps voulu réserver leur usage à certains publics précis – essentiellement les malades et les soignants –, a opéré début avril un virage à 180°, en recommandant leur usage généralisé et en passant une commande de deux milliards de protections faciales. Les Décodeurs ont passé en revue les aspects pratiques, sanitaires et politiques de la question, pour mieux comprendre l’évolution de la situation, et pouvoir se protéger en conséquence. 1. 2. 3. En partie, oui. 4. 5.
Quels sont les variants du coronavirus qui inquiètent les experts? | Coronavirus D’entrée de jeu, il faut rappeler qu’il est tout à fait normal de voir des mutations dans un virus. Lorsque le virus se multiplie, il accumule des mutations (changements au code génétique). La plupart de ces mutations n’ont pas d’impact sur le taux de mortalité ou sur le rythme d'infection. Toutefois, les variants identifiés au Royaume-Uni, en Afrique du Sud et au Brésil ont tous subi des mutations dans la protéine nommée spicule. Variant B.1.1.7 (Royaume-Uni) Découvert en septembrePrésent dans plus de 60 pays, dont le CanadaCe variant se transmet de 30 % à 70 % plus facilement Ce variant est responsable de la croissance exponentielle du nombre d’infections au Royaume-Uni. Non seulement ce variant semble plus contagieux, mais il serait également plus mortel. Le CDC a indiqué cette semaine que ce variant, même s'il est encore peu présent aux États-Unis, pourrait devenir le variant le plus dominant d’ici le mois de mars. Ce variant a été détecté au Canada. Variant B.1.351 (Afrique du Sud)
INFOGRAPHIES. Coronavirus : ce qu'il faut faire (et ne pas faire) avec votre masque Nouvelle étape dans la lutte contre la propagation du coronavirus. Le port du masque est obligatoire dans les espaces publics clos, depuis lundi 20 juillet. Les personnes ne respectant pas cette obligation pourront se voir infliger une amende de 135 euros. >> Coronavirus : confinement, masques, tests... Alors comment bien utiliser ce masque anti-projections (de type chirurgical) ? 1Identifier le bas et le haut du masque Avant de manipuler un masque, vous devez impérativement vous laver les mains avec du savon ou les désinfecter avec un gel hydroalcoolique. Prenez le temps d'identifier le sens dans lequel le masque doit être positionné. Si votre masque possède une couleur, cette couleur est forcément toujours à l'extérieur. 2Bien positionner le masque sur son visage Attrapez votre masque par les élastiques et passez-les derrière vos oreilles. Quand vous soufflez, vous ne devez pas avoir d'air dans les yeux. 3Ne pas le toucher pendant que vous le portez
Chloroquine : pourquoi Futura choisit de ne plus en parler La science n'a pas réellement dit son dernier mot au sujet de la chloroquine dans le cadre de la Covid-19. Pourtant, nous choisissons de ne plus en parler jusqu'à ce que la science tranche le débat. Nous vous expliquons pourquoi. La démarche, l'esprit scientifique ne ressortiront pas indemnes de toutes ses péripéties. Ce sont eux qui se sont fait allègrement piétiner lors de cette affaire. Un cas d'école Cette affaire a été un superbe cas d'école pour présenter les sciences médicales. Cependant, le débat a très vite glissé dans la sphère politique avec les anti-chloroquine d'un côté et les pro-chloroquine de l'autre. Bien sûr, ces paroles sont peut-être celles d'un idéaliste. Outre les manipulations, les détournements possibles à des fins politiques ou économiques, si elle est bien faite, elle tranche le réel. Le dialogue impossible Les discussions épistémiquement rationnelles, dans le calme, le respect de l'autre et de la méthode scientifique sont presque inexistantes. À noter :
Données sur les variants du SRAS-CoV-2 au Québec Mise à jour du 20 décembre 2021, 11 h. Cette page diffuse de l'information sur les cas de variants préoccupants du SRAS-CoV-2, du lundi au vendredi. Ces cas ne concernent que les cas confirmés en laboratoire et sont inclus dans les nombres cumulatifs de cas de COVID-19 présentés sur les autres pages web. Les données de lignées d’intérêt ou non préoccupantes ne sont pas présentées. En tout temps, ces données peuvent être ajustées à la suite d’améliorations dans les techniques de collecte et de saisie, de validations ou de mises à jour de l’information afin de refléter au mieux la situation actuelle et antérieure. Pour plus de détails, voir les Précisions méthodologiques. Alpha (B.1.1.7) Delta (B.1.167.2) Variant préoccupant en émergence - Omicron Étant donné la progression très rapide du variant Omicron au Québec, les cas confirmés et présomptifs présentés dans les tuiles ne constituent qu’un portrait très partiel de la situation actuelle au Québec. 728 (+ 210) cas présomptifs 1. Criblage
« Une dose, ce n'est pas assez » Le Québec n’est pas à l’abri d’une quatrième vague si la couverture vaccinale de l’ensemble de la population n’est pas suffisante, a affirmé mardi Horacio Arruda. Le directeur national de santé publique a réitéré l’importance de recevoir deux doses de vaccin. « On est relativement épargnés, mais tout pourrait changer avec l’augmentation des contacts et la rentrée scolaire au mois d’août », a déclaré Horacio Arruda en conférence de presse. L’arrivée possible de nouveaux variants est au cœur des préoccupations de Québec. « Faites-vous vacciner [avec les] deux doses. « Il y a une chose qui est certaine, c’est que la vaccination est la solution », a pour sa part affirmé le ministre de la Santé, Christian Dubé. Malgré tout, l’expert estime qu’une quatrième vague aura « sûrement » lieu. « À l’approche des cours en présentiel et du retour au travail pour la majorité de la population québécoise, les gens vont avoir plus de contacts. — Benoit Barbeau, virologue Difficultés sur Clic Santé