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Modèle Herrmann

Modèle Herrmann
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Profil de préférences cérébrales Herrmann (en anglais : Herrmann Brain Dominance Instrument, HBDI) a été développé par William "Ned" Herrmann (1922-1999) (Caroline du Nord). Il s'agit d'un outil de connaissance de soi visant à identifier les modes préférentiels de traitement de l'information des individus[1]. Le HBDI est un outil breveté (sous licence Herrmann International) utilisé en management pour établir des profils individuels et des profils d'équipes. Il repose notamment sur les découvertes sur l'asymétrie cérébrale qui ont valu un prix Nobel à Roger Wolcott Sperry et celle du cerveau triunique de Paul D. MacLean[2]. Le modèle Herrmann garde toute sa pertinence au regard des connaissances en neurobiologie cognitive, après plus de 20 ans d'expansion continue de par le monde, au-delà même de la validation de l'outil de mesure (HBDI) qui a été créé pour exploiter le modèle. Concept[modifier | modifier le code] A.

Betty Edwards Betty Edwards, née à San Francisco en Californie en 1926, est une professeure d'art et auteur américain. Betty Edwards est connue pour son livre sorti en 1979, Dessiner grâce au cerveau droit (Drawing on the Right Side of the Brain). Ce livre traite des capacités particulières du côté droit du cerveau pour appréhender les images de manière globale. Biographie[modifier | modifier le code] Betty Edwards utilise les résultats de recherche sur le cerveau comme un principe organisateur de son système d'apprentissage du dessin. Elle a enseigné et fait des recherches à l'Université d'État de Californie, Long Beach jusqu'à sa retraite en fin des années 1990. Elle a obtenu un baccalauréat en Art de l'Université de Californie, Los Angeles (UCLA, 1947), une maîtrise de l'art de la California State University, Northridge, et un doctorat en art, éducation et psychologie de l'UCLA (1978). Betty Edwards a un fils et une fille, et deux petites-filles. Bibliographie[modifier | modifier le code]

Huit circuits de conscience Le modèle de la conscience sur huit circuits/niveaux est une théorie sur la structure de la conscience proposée par le psychologue Timothy Leary. Leary pensait que l'esprit est le mieux représenté comme un assemblage de huit « niveaux » ou « circuits », aussi appelés « vitesses » ou « mini-cerveaux ». Chaque niveau représenterait une étape supplémentaire d'évolution par rapport au précédent. Ce modèle fut influencé par ceux proposés par les travaux du psychologue suisse Jean Piaget. Les huit niveaux[modifier | modifier le code] Selon Leary le modèle de la conscience sur huit circuits/niveaux expliquerait, entre autres, le conflit social dans les années 1960, où le courant principal, supposé avec une activité jusqu'au niveau 4 (domestique), et caractérisé comme étant fait de « moralistes tribaux » par Leary, est entré en conflit avec la contre-culture de l'époque, des individualistes et hédonistes actifs jusqu'au niveau 5 (neurosomatique). Le niveau émotionnel[modifier | modifier le code]

Robert Kegan Robert Kegan (né le 24 août 1946) est un psychologue du développement américain. Il a été professeur en apprentissage et perfectionnement professionnel à la Harvard Graduate School of Education, où il a enseigné pendant quarante ans jusqu'à sa retraite en 2016. De plus, il a été président de l'Institut de gestion et de leadership en éducation et co-directeur du Change Leadership Group. Il est psychologue agréé et thérapeute praticien, a donné de nombreuses conférences à des auditoires professionnels et non professionnels et a été consultant dans le domaine du développement professionnel. The Evolving Self[modifier | modifier le code] Dans son livre The Evolving Self (1982), Kegan explore les problèmes de la vie humaine dans la perspective d'un processus unique qu'il appelle la construction de sens, l'activité de donner un sens à l'expérience en découvrant et en résolvant des problèmes. Références[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code]

René Le Senne Vue de la sépulture. Biographie[modifier | modifier le code] René vient au monde dans le foyer d'Ernest-Joseph-Pierre Le Senne, entrepreneur de travaux publics (fils d'un maréchal-ferrant de la Somme), et de Claire Mérat (fille d'un aubergiste de la Marne et veuve de Pierre Pichat), en 1882, rue de la Rigole à Elbeuf. Ses parents s'étaient mariés à Paris II deux ans plus tôt. Il enseigne ensuite brièvement à l'université de Nancy (1941), puis au lycée Louis-le-Grand à Paris. Membre de l'Académie des sciences morales et politiques (1948), président de l'Institut international de philosophie (1952), il sera aussi membre du Comité d'honneur de la Société française de Graphologie, s'intéressant avec le graphologue Émile Caille aux connexions entre caractérologie et graphologie[5]. Une trentaine de missions philosophiques le conduisent à l'étranger depuis 1945. Gravement malade, il meurt à Neuilly-sur-Seine le 1er octobre 1954 et est enterré au cimetière du Père-Lachaise (52e division).

Mémoire transactive Selon Wegner, un système de mémoire transactive se compose des connaissances stockées dans la mémoire de chaque individu combinées à une "métamémoire (en)" contenant des informations concernant les différents domaines d'expertise des coéquipiers[2]. Histoire[modifier | modifier le code] La mémoire transactive a été envisagée pour la première fois par Daniel Wegner en 1985[1]. Ce concept a proposé que lorsque deux individus passent beaucoup de temps ensemble et travaillent ensemble, ils créent une réserve de connaissances partagée entre-eux. L'explication de ces résultats est que les couples savent comment se rappeler au mieux les connaissances de chacun, et ont une bonne conception des connaissances de l'autre ; ils éviteront donc de mémoriser des mots dans le domaine de leur partenaire. Dans ce travail, le développement de la mémoire transactive a été conçu comme un moyen d'améliorer les performances du groupe lors de tâches interdépendantes. Encodage[modifier | modifier le code]

Framing effect (psychology) Framing effect is an example of cognitive bias, in which people react to a particular choice in different ways depending on whether it is presented as a loss or as a gain.[1] People tend to avoid risk when a positive frame is presented but seek risks when a negative frame is presented.[2] Gain and loss are defined in the scenario as descriptions of outcomes (e.g. lives lost or saved, disease patients treated and not treated, lives saved and lost during accidents, etc.). Prospect theory shows that a loss is more significant than the equivalent gain,[2] that a sure gain (certainty effect and pseudocertainty effect) is favored over a probabilistic gain,[3] and that a probabilistic loss is preferred to a definite loss.[2] One of the dangers of framing effects is that people are often provided with options within the context of only one of the two frames.[4] Participants were asked to choose between two treatments for 600 people affected by a deadly disease.

Perry’s Stages of Cognitive Development – Classroom Management I could write about this in my own words, but I found several websites that explained it so well that I decided to present them in their entirety. What follows are their words, not mine, including any in-text citations. William Perry claimed (and his claims have been substantiated by subsequent research) that college students (but others, too) “journey” through 9 “positions” with respect to intellectual (and moral) development. reussir le test des matrices TEST DES MATRICES PROGRESSIVES Nom : PM-38..............Auteur : Raven Analyse le niveau d'intelligence et de raisonnement. Les tests se présentent sur un cahier, sous la forme de planches de 4 ou 5 dessins. Il faut compléter le sixième. Vous avez 60 problèmes à résoudre en 20 minutes (moins si vous pouvez). COMMENT CELA MARCHE ? Ce genre de test met en action des lois de mouvement : tel objet va vers la gauche, tel autre vers la droite, etc. Voilà pour les différentes logiques que vous pouvez rencontrer.

Stopper la peur sans medicaments Empowerment des victimes d’actes criminels – Criminologie Qu’est-ce que l’empowerment ? L’empowerment est une expression largement utilisée dans divers domaines, mais demeure un terme dont la définition et la conceptualisation ne font toujours pas l’unanimité (Trickett, 1994 ; Shields, 1995 ; Le Bossé, 2004). En effet, les écrits indiquent que l’on fait référence à la notion d’empowerment à la fois comme théorie, comme cadre de référence (Rappaport, 1981), comme but, comme idéologie, comme un processus, comme un résultat (McWhirter, 1991) ou encore comme une conséquence (Gibson, 1991). Nous utiliserons la définition de Rappaport (1987 : 122) qui demeure aujourd’hui une des définitions les plus fréquemment utilisées : « a process, the mechanism by which people, organizations, and communities gain mastery over their affairs ». La plupart des auteurs s’entendent sur cette définition, mais l’opérationnalisation de l’empowerment varie toujours considérablement selon l’auteur, le contexte de l’étude et les méthodes employées. L’action concrète

Theodore Roszak Une esquisse de Theodore Roszak dans les années 1960 Œuvres principales Vers une contre-culture. Sa lecture du monde peut être qualifiée d'holistique. Il est l'auteur de plusieurs essais consacrés à l'information, la science, la culture, l'écologie, la psychologie, l'impérialisme américain. Biographie[modifier | modifier le code] Famille[modifier | modifier le code] Formation[modifier | modifier le code] Theodore Roszak entre dans le système scolaire américain à Chicago, où il fréquente l'école publique[3]. Carrière académique et journalistique[modifier | modifier le code] Il emménage à Londres dans les années 1960, où il devient le rédacteur en chef du journal Peace News (en), principal organe d'expression du mouvement pacifiste et non-violent créé en 1936, entre 1964 et 1965[6]. Il est professeur invité de l'université d'État de San Francisco en 1981 et du Schumacher College en 1991[7],[8]. Succès[modifier | modifier le code] Distinctions[modifier | modifier le code]

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