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Génération Y et la hiérarchie

Génération Y et la hiérarchie

Génération Y : un faux concept, de vraies valeurs On les dit méfiants, individualistes, impatients et réfractaires à toute forme d’autorité. Mais aussi adaptables, réactifs et lucides. Depuis qu’ils ont accédé au monde du travail, il y a une dizaine d’années, les moins de 35 ans – la génération Y – font couler beaucoup d’encre. Enfants de la crise. Sans états d’âme. Tous droits réservés La fin d’un mythe. Tous les salariés, quel que que soit leur âge, souhaitent concilier au mieux vie professionnelle et vie privée Les mêmes attentes. Plus entiers et plus cashs. Vus sous cet angle, les «Y» ne seraient pas des extraterrestres, mais des pionniers, porteurs d’aspirations valables pour tous les collaborateurs de l’entreprise. Claire Derville

Sexualité : la nouvelle génération entre boulimie et abstinence Sexualité : la nouvelle génération entre boulimie et abstinence © iStockphoto Il est loin le temps où sexe rimait avec procréation... Quelle scission entre les jeunes femmes des générations Y et Z, et les générations précédentes ! L’époque inquiète particulièrement les jeunes générations, et beaucoup cherchent activement une tribu un peu extrême au sein de laquelle se lover, en opposition farouche avec les autres tribus. Les temps changent et les priorités aussi. Avantage ou inconvénient, l’indépendance des femmes conjuguée au fatalisme du divorce et à une société de plus en plus centrée sur l’individu (c’était l’État qui était au centre au début du XXe siècle, puis la famille, et vers la fin du siècle c’était le couple), pousse les unes à trouver leur équilibre dans la consommation d’un rapport sexuel sinon boulimique du moins exempt de tout engagement, et d’autres à ignorer tout à fait le sujet.

Une génération Y souvent mal perçue « L’entreprise vécue par les générations X, Y et boomers. Perceptions et réalités », tel est le thème de la table ronde organisée ce jeudi 29 mars à la Chambre de Commerce, dans le cadre du programme Business Mentoring. Trois questions à Gaëlle Hameury-Lemoine, intervenante au débat, formatrice en accompagnement et développement personnel, qui s’intéresse depuis plusieurs années à cette question. Qu’est-ce qui différencie principalement la génération Y, soit les plus jeunes travailleurs, de leurs aînés ? « Les jeunes ont des attentes spécifiques et différentes par rapport au travail, mais cela a aussi été le cas pour toutes les générations précédentes. Ce qui est important de retenir, c’est que nous vivons dans un monde qui a beaucoup changé. Pourquoi cette génération Y reste si mal perçue par les autres travailleurs ? Malgré la mauvaise perception qu’on peut en avoir, les plus jeunes ont, eux aussi, envie de travailler. « Le message commence à passer.

Comment recruter et fidéliser la génération Z ? Les centennials arrivent sur le marché de l’emploi. Malgré la crise, ils se montrent exigeants à l’égard des employeurs. La génération Z, également connue sous le terme de centennials, est composée de jeunes nés à partir des années 90. Les Z, une génération sacrifiée ? "Globalement, les principales caractéristiques de la génération Z commencent à être connues du grand public et des employeurs. "La mobilité est désormais choisie et non plus subie" "La génération précédente, c'est à dire la génération Y, a débarqué dans les openspace dans un contexte difficile marqué par l'explosion du chômage des cadres, la crise de 2008, la généralisation des CDD, la rareté du CDI vu comme un précieux sésame… Or, les Y, surtout ceux qui sortaient de bonnes écoles avaient été assez formatés. "Paradoxalement, la crise serait pour eux une raison de se montrer plus exigeant à l'égard des employeurs" "Les Z c'est totalement différent. Face à la crise, carpe diem Métro, boulot, dodo ?

Génération auto-formée ? Article publié le 01/03/2012 Ils sont constamment connectés sur Facebook, pianotent sur leur iPhone, n’ont que faire des règles hiérarchiques et veulent accéder et partager rapidement l’information pour apprendre vite et bien. L’ADN du nouvel apprenant s’est modifié. Et aujourd’hui la performance durable de l’entreprise est étroitement liée à la capacité des RH à réussir l’intégration opérationnelle et humaine de cette nouvelle génération. Reste à identifier la meilleure stratégie et les outils les plus adaptés. « L’ADN du nouvel apprenant a été considérablement modifié », confirme Evelyne Gallagher, Account Director chez Certpoint Systems avant d’ajouter que « le nouvel apprenant est social, non-hiérarchique et pressé. Comment les entreprises doivent-elles adapter leurs dispositifs de formation à cette génération Y, élevée avec Internet et biberonnée aux nouvelles technologies ? Wirearchy, le mot est lâché Emilie Vidaud

X contre Y, la guerre froide 58 % des salariés de plus de 30 ans, qu'on appelle plus largement la génération X, considèrent que leurs jeunes collègues de la génération Y, celle d'après, sont individualistes. 55 % les considèrent plus ambitieux que les autres. De leur côté, les jeunes Y n'ont pas une haute considération de leurs aînés puisqu'ils se considèrent comme effectivement plus ambitieux à 65 %, plus polyvalents à 58 % et plus motivés, à 53 %. Le sondage Ipsos /Logica Business Consulting réalisé pour le CESI en partenariat avec Le Figaro et BFM Business et publié hier semble annoncer ce que les managers appréhendent déjà une guerre des générations. Un problème de communication Pourtant, à y regarder de plus près, ces deux générations se ressemblent bien plus qu'elles ne veulent bien le voir. Pourtant, les deux générations se regardent d'un œil méfiant. Les dirigeants confiants Les jeunes de moins de 30 ans peuvent se rassurer.

Pourquoi la génération Z va semer la pagaille dans l'entreprise - 28 janvier 2015 Les entreprises perdaient déjà leur latin avec la génération Y- zappeuse, frondeuse, insoucieuse des hiérarchies. La vague suivante, la génération Z, s’annonce comme une déferlante plus redoutable encore. Car les moins de vingt ans, nés après 1995, portent un regard très dur sur l’entreprise tout en ayant des attentes extrêmement fortes à son égard. C’est ce que révèlent les résultats d’une première étude consacrée à cette génération, réalisée auprès de 3.200 jeunes par The Boson Project et BNP Paribas, et divulgués cette semaine. Alors que leur seul contact avec l’entreprise s’est limité, pour la grande majorité, à un stage en classe de troisième, les moins de vingt ans emploient des mots très durs pour la qualifier. Ce portrait noir ne rime pourtant pas avec un dégoût de l’entreprise, perçue d’abord comme stressante. Une refonte des attributs du leadership La génération Z exige aussi une refonte des attributs du leadership. Ni hipsters, ni intellos, ni geeks

Quatre nouveaux leviers marketing pour séduire la génération Y Séduire la génération Y, ces jeunes adultes de 18 à 35 ans n'est pas une sinécure ! "Pour les faire sortir de chez eux et de derrière leur écran il faut une vraie bonne raison", confie Martine Ghnassia, directrice du planning stratégique et de la communcation à l'Ifop. Car la génération Y a tendance à vivre depuis chez elle : avec un écran connecté on peut presque tout faire depuis chez soi. Symptômatique : l'événement Redbull Stratos a été suivi, liké, partagé plusieurs millions de fois sans sortir de chez soi et de sa bulle connectée ! Quelques pistes pour séduire cette "cible" réputée particulièrement difficile. Adopter leurs icônes : "Montrez à la cible que la marque a bien compris l'univers cultutrel dans lequel le jeune adulte était baigné", préconise Martine Ghnassia. Autre exemple Sephora aux Etats-Unis a lancé une ligne de maquillage inspiré du personnage Hello Kitty. Surfer sur leurs gestuelles spécifiques. Se caler sur leur rythme de vie rapide instantané où tout se superpose.

Choc des cultures en entreprise Ils posent sans cesse des questions, n'imaginent pas faire toute leur carrière dans la même société, sont connectés sur les réseaux sociaux pendant leurs heures de travail, ont troqué leur costard-cravate contre un uniforme jean-baskets... Les nouveaux salariés bouleversent les codes de l'entreprise. C'est la génération Y. Surnommés ainsi parce qu'ils succèdent à la génération X, constituée de post-baby-boomers, ces jeunes salariés sont âgés de 18 à 30 ans. Plus individualistes que leurs aînés et moins attachés à la société pour laquelle ils travaillent, ils n'hésitent pas à changer d'entreprise lorsque celle-ci ne répond plus à leurs attentes. Un nouveau rapport à la hiérarchie L'arrivée de cette nouvelle génération a également profondément modifié le rapport à la hiérarchie. Le rapport patron-employé a également été modifié par leur usage d'Internet. Adaptation mutuelle Et vous, avez vous noté une différence de valeurs entre les générations au sein de votre entreprise?

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