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Projets d'écohameaux, d'habitats participatifs, d'écovillages

Projets d'écohameaux, d'habitats participatifs, d'écovillages
Cette rubrique présente quelques projets d’écolieux et écovillages en France, ou plus largement, en francophonie : des pages de présentation des liens vers les sites de ces projets lorsqu’ils existent Vous trouverez ces articles plus bas dans cette page. Le plus souvent, ces projets sont portés par des groupes existants mais qui cherchent encore des partenaires futurs habitants, ou des lieux pour s’installer, ou parfois des financements ou des prestataires techniques. En plus des chroniques et annonces des écovillages existants, la rubrique correspondante de la revue Passerelle Eco présente dans chaque numéro trimestriel les projets de nombreuses personnes, les annonces de rendez vous des groupes déjà avancés, et des offres ou recherches de partenaires et de terrains. Notre engagement associatif L’association Passerelle Eco est impliquée ou a été impliquée particulièrement à la création ou au développement de certains projets dont le suivi est ou a été présenté sur ce site.

V8_02_Afeissa.pdf Vivre en habitat participatif, c'est mieux et moins cher Vivre en habitat participatif – en « oasis » dirait Pierre Rabhi –, c’est mettre en commun des valeurs qui favorisent un vivre-ensemble harmonieux avec un faible impact environnemental. C’est aussi un moyen de réduire ses besoins économiques. Décryptage. L’habitat participatif, c’est 10 à 30 % moins cher à l’achat et à la construction Économie de consommation en fonction du nombre de famille sous le même toit Infographie extraite de notre numéro spécial Oasis coédité avec le Mouvement Colibris. Lire aussi : Basé sur des valeurs de partage et d’autonomie, l’habitat participatif construit demain Lire aussi : Oasis, pour incarner les valeurs de la solidarité et de l’écologie Introduction à la sociologie (cosmo) politique du risque d'ulrich Confrontée aux effets pervers, non intentionnels, non prévus et relativement non contrôlables du sang contaminé, du naufrage de l’Érika, de la commercialisation des OGM et de l’épidémie d’encéphalite spongiforme bovine, la France découvre enfin, vingt ans après l’Allemagne et dix ans après l’Angleterre – mais combien d’années encore avant les États-Unis ? –, qu’elle aussi est une société du risque, alors même que le concept lui manque encore, puisque, bien qu’annoncé, le livre influent du sociologue munichois Ulrich Beck, Risikogesellschaft ( 1986), n’est toujours pas disponible en français [1] La plupart des livres de Beck sont désormais disponibles... [1] . Irréversibles quant aux conséquences, les risques ne sont limités ni dans l’espace ni dans le temps; ils menacent des sociétés entières et même des populations qui ne sont pas encore nées. La plupart des thèses de Beck sont descriptives et prescriptrices à la fois. On peut distinguer deux phases dans ce processus de déréification.

Habitat participatif en Île-de-France : "Une autre vie de voisinage" "Nous ne vivons pas en communauté", tiennent à préciser Suzanne et Philippe, deux habitants de La Fonderie, un immeuble participatif de neuf logements situé à Vanves (92). "Mais nous aspirons à une autre vie de voisinage que se croiser dans les escaliers et parler de la météo !" Leur logement, ils l’ont donc conçu et financé ensemble, au milieu des années 1980. Huit familles propriétaires Ce projet un peu fou est né lors d’un voyage dans l’Himalaya, se rappelle Philippe, l’un des trois amis à l’origine de La Fonderie. Mais la vie n’est pas toujours rose. Trouver sa place De fait, "chacun joue son rôle au sein du groupe, explique Daniel, un autre habitant. Ignorants des principes de l’habitat participatif, mais séduits par l’annonce rédigée sous forme de lettre, Sylvain et Angélique ont adopté le projet.

Transition France L’habitat coopératif une forme de logement solidaire Très prisé chez nos voisins européens et transatlantiques, l’habitat coopératif permet aux citoyens de faire face à la crise du logement en concevant ensemble un habitat autour de considérations sociales, écologiques et économiques. Encore à l’échelle expérimentale en France, l’habitat coopératif n’est pourtant pas un modèle nouveau. Les premières coopératives d’habitation ont été créées au XIXème siècle par les mouvements syndicalistes. L’idée était alors d’aider les ouvriers à échapper aux menaces d’expulsion des propriétaires en cas de loyers impayés et de leur permettre d’accéder à la propriété d’un logement décent. Aujourd’hui, la crise économique et l’explosion des prix des logements (+140% en France depuis 1998) durcissent les conditions d’accès à la propriété : plus de 3,8 millions [1] de personnes sont mal-logées en France (sans logement, logées dans un habitat insalubre ou en grande précarité). L’outil coopératif pour changer de pratiques sur l’habitat

Interactions TPTS - Transformation personnelle / Transformation sociale Habitat partagé : où sont les projets près de chez vous Les pionniers ont commencé à la fin des années 1960. Une nouvelle vague de Français désireux d’habiter autrement a pris résidence à la fin des années 2000. Depuis, les projets d’habitat groupé et participatif se multiplient. Combien sont-ils ? Et surtout, certains existent-ils près de chez vous ? Nous avons reproduit ses résultats sur la carte ci-dessus. Vous connaissez un projet d’habitat groupé qui n’est pas mentionné sur cette carte ? Vous voulez en savoir plus sur l’habitat participatif. Vous cherchez un projet ? Vous souhaitez en savoir plus sur un projet près de chez vous ? Emilie Cariou Inventaire HG-30 !

mouvement utopia Site de l'Offensive Libertaire et sociale Le travail mort-vivant Loin des discours simplistes sur la fin du travail et le chômage heureux dans une société d’abondance, Julien Mattern analyse ici la perte de sens de l’activité humaine et sa démesure actuelle, qui ne cesse d’engendrer des catastrophes sociales et environnementales. En ce qui concerne la production de nourriture industrielle nécessaire à notre survie quotidienne, tu dis que nous projetons des idées et une réalité du passé. Vous revenez sur les positions de Hannah Arendt qui parle d’œuvre pour le travail réalisateur. Arendt reproche à Marx d’englober sous la catégorie de travail l’ensemble des activités humaines et, par voie de conséquence, de minimiser certaines évolutions qui sont pourtant décisives, en particulier ce qu’elle identifie comme le recouvrement de l’œuvre par le travail dans nos sociétés modernes. Vous parlez de légende dorée et de légende noire du capitalisme... Il y aurait aujourd’hui une crise du travail... Tout à fait. À lire Les Amis de Ludd.

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