
Structure et fonctionnement des agrosystèmes par benjamin.lapertot sur Genially Thème 2 : Les enjeux planétaires contemporains Comment nourrir toute cette population, alors qu'on ne peut augmenter la superficie des continents, et donc, faire de nouvelles terres cultivables ? Enjeu pour l'humanité ! Next Problématiques : - Comment fonctionnent les agrosytsèmes ? Chapitre 1 : Structure et fonctionnement d'un agrosystème Play Agrosystème quiz ! Start I) L'écosystème agricole c) Il n'y a pas de différences, ils répondent à la même définition de l'écosystème b) Ils sont adaptés à d'autres climats, car ils ne sont pas présnets au même endroit a) Ils sont artificiels, car créés par l'Homme 1) Quelle est la grande différence des écosystèmes présentés par rapport à l'écosystème forêt tropicale ? Doc 1 Doc 2 Le blé tendre (Triticum aestivum), ou froment, produit des graines riche en amidon et en gluten (protéines). Exemple d'aquaculture intensive de truites. L'agrosystème est un écosytème agricole artificiel, modifié ou créé par l'Homme et géré par celui-ci. a) Gagner de l'argent Doc 3 Doc 4
l'auto-description pour nous aider à mettre en lumière le monde que nous voulons après la pandémie ? Peut-on atteindre l'autonomie alimentaire ? L'autonomie alimentaire est la capacité à générer des revenus suffisants, grâce à l'agriculture et à d'autres activités non agricoles, pour répondre aux besoins alimentaires d'une population. Comment l'atteindre à une échelle locale ? Avons-nous tous de quoi nous nourrir ? Cela vous intéressera aussi [EN VIDÉO] Plus d'un million de graines conservées au Svalbard Global Seed Vault La plus grande réserve de graines au monde se situe sur l'archipel du Svalbard, en Norvège. La France est un grand pays d'agriculture, elle produit chaque année plus d'aliments que n'en consomme sa population. L'autosuffisance alimentaire n'est pas seulement la capacité de cultiver des aliments dans le pays ou dans une ferme, mais aussi celle d'acheter des aliments qui ne peuvent pas être cultivés localement ou (c'est-à-dire avoir du capital). Dans notre société mondialisée, il est difficile de penser à des solutions locales pour se nourrir. Comment contribuer à l’autonomie alimentaire de mon foyer ?
La Relève et La Peste Rassurant, le Ministre de l’Agriculture Didier Guillaume le promet : il n’y aura pas de pénurie alimentaire en France. Pourtant, cette affirmation fait abstraction d’un fait primordial : le coronavirus ne fait qu’exacerber les dysfonctionnements de nos sociétés, et vient se rajouter à tous les risques auxquels nous faisons déjà face en terme de sécurité alimentaire. Il ne s’agit pas d’être catastrophiste, mais réaliste. Dans un système alimentaire mondialisé qui dépend de la fluidité des échanges internationaux, la logistique est le point de friction qui pourrait causer une pénurie alimentaire en cas de rupture dans les chaînes d’approvisionnement. C’est pourquoi les Nations Unies ont lancé l’alerte pour prévenir des dangers des mesures protectionnistes mises en place par certains États qui mettent en péril le marché alimentaire mondial. « Cette décision est extrêmement révélatrice de ce qui se joue en ce moment : la sécurité alimentaire des populations. « Pour l’instant, ça tient.
La dégradation des paysages et les actions de prévention La déforestation et certaines techniques agricoles modifient les paysages et peuvent participer à une dégradation des sols. L'homme peut ainsi avoir une action néfaste sur l'environnement mais dans certains cas il prend conscience des ses responsabilités et met en œuvre des actions de prévention. I. Actions de l'homme sur les paysages et conséquences sur l'environnement 1. • Depuis longtemps, l'homme détruit la forêt, soit pour en exploiter le bois, soit pour la remplacer par des cultures. • La couverture végétale constituée par la forêt constitue une excellente protection pour le sol qui se trouve fixé par les racines des arbres et des végétaux : la forêt est un milieu équilibré pour le sol. II. Parmi ces techniques, on peut évoquer la monoculture, le surpâturage et la suppression des haies. La monoculture intensive La culture prolongée d'une même céréale (par exemple, le maïs) sur le même sol érode celui-ci qui se trouve complètement dénudé après la récolte. Le surpâturage II.
La stratégie de Résistance Climatique Cette stratégie a fait l'objet d'une publication de tribune dans l'édition papier du Monde du vendredi 20 mars et en accès libre sur le site de Reporterre avec de nombreux signataires soutenant la démarche. Nous partons de l'idée qu'il est possible de maintenir une vie digne et heureuse sur Terre.Nous pensons que le drame climatique qui se profile est à la fois un défi immense et une formidable opportunité.Le défi de l’exigence, de la rigueur, de l’honnêteté, du courage, et de la justice sociale mondiale.L’opportunité d’inventer un monde nouveau, joyeux, solidaire, juste, respectueux de la nature et des humains qui la peuplent. Un nouvel imaginaire qui ne vise pas moins que le bonheur, loin des plaisirs matériels et fugaces qui nous en privent.Nous nous battons CONTRE ce qui détruit la vie. Partageant la même atmosphère, tous les humains doivent donc s’aligner sur les contraintes bio-géo-physiques. Phase 1 - « Les quatre actions » : bâtir un socle fondateur et une joyeuse contagion
Le projet Sésame Comment faire de notre Agglomération, un territoire pionnier de la transition agricole et alimentaire ? Pour répondre à ce pari un peu fou, l’Agglomération lançait, il y a quelques mois, le projet Sésame, une initiative globale et innovante, au service des Coeur d’Essonniens. Récemment primé par l’État, Sésame se distingue en effet par sa capacité à fédérer tous les maillons de la chaîne (acteurs agricoles, économiques, institutionnels, associatifs et industriels) pour proposer de nouveaux modèles agricoles et alimentaires, sur notre territoire comme à l’échelle régionale. Premier axe, indissociable de la transition agricole, celui de la préservation des terres et de la mobilisation du foncier en faveur de l’implantation de fermes. Sésame est né d’une volonté claire : accompagner les agriculteurs existants et permettre l’installation de nouveaux.
Et si le coronavirus ouvrait la voie de l’autonomie alimentaire ? Après le Covid-19, le spectre de la pénurie alimentaire plane sur les populations les plus vulnérables. Le nombre de personnes en crise alimentaire et nutritionnelle en Afrique de l’Ouest pourrait ainsi passer de 17 à 50 millions entre juin et août 2020, estime la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao). « Malgré les efforts des États, les populations sont aujourd’hui confrontées à des difficultés d’accès aux marchés alimentaires, à un début de hausse des prix et à une baisse de la disponibilité de certaines denrées de base, conséquences des mesures restrictives mises en place, de la fermeture des frontières et de l’insécurité dans certaines zones », a précisé l’ONG Oxfam mi-avril. « Toutes les conditions semblent réunies pour qu’il y ait des tensions sur les prix des produits de base, en particulier dans les pays du Sud importateurs nets, estime Aurélie Trouvé, économiste à AgroParisTech. Le lait provient d’une ferme de 150 Prim’Holstein.