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Une poignée de firmes contrôle l’économie mondiale

Une poignée de firmes contrôle l’économie mondiale
Légende: Les trois quarts des multinationales contrôlant l’économie mondiale sont des banques. (imagepoint Par Luigi Jorio, swissinfo.ch 147 multinationales contrôleraient pratiquement l'économie globale. Les chercheurs de l'Ecole polytechnique fédérale de Zurich (EPFZ) ont disséqué le réseau des connexions reliant les sociétés actives au niveau planétaire. Les trois quarts des 147 multinationales qui forment cette «super entité» sont des banques, indiquent les auteurs de l'étude, la première qui parvient à identifier le réseau du pouvoir par des données empiriques. «Une grande multinationale peut avoir plus de pouvoir que le président d'un petit ou d’un moyen pays», remarque Mauro Baranzini, ex-doyen de la Faculté d'économie de l'Université de la Suisse italienne. swissinfo.ch: Cette concentration du pouvoir est-elle négative en soi ou peut-elle au contraire avoir des côtés positifs ? Mauro Baranzini: Il y a certainement des avantages. swissinfo.ch: Lesquels ? M. Mauro Baranzini. M. M.

Quand les pauvres inventent une banque véritablement populaire - Face à la faillite du système financier, et si nous repartions de zéro ? C’est ce qu’ont osé faire les habitants d’une favela de Fortaleza, dans le Nordeste du Brésil. Depuis dix ans, leur banque communautaire, la banque Palmas, leur a permis de développer des activités économiques et de créer près de 2.000 emplois dans un quartier où il n’y avait auparavant ni eau, ni électricité, ni transport, et encore moins de services publics. Loin d’être une utopie lointaine et théorique, la banque Palmas a transformé la vie quotidienne des habitants. Elle est aussi la base d’un autre modèle de développement économique : une économie populaire, forcément solidaire, au service de tous et de la transformation du territoire. Une initiative qui essaime au Brésil comme au Venezuela. « La montagne aux ordures » (monte de Lixao) : c’est là qu’atterrit Joaquim Melo, jeune séminariste de 21 ans originaire de Bélem, en 1983. des hôtels touristiques. « Pourquoi sommes-nous pauvres ? Agnès Rousseaux

Monnaie virtuelle mise en place, le plan se poursuit « La façon la plus simple de le décrire, c'est que c'est une petite puce comme vous trouvez dans votre téléphone », dit Aquino, qui décrit le projet comme « une partie des efforts continus de recherche et de développement de la monnaie. » Sur le site Web, l'Agence fédérale dit que le MintChip « pourrait devenir l'équivalent numérique des pièces de monnaie que nous utilisons tous les jours », mais suggère également des transactions en espèces. « L'émergence et la popularité croissante des micro et nano-transactions et l'explosion du commerce mobile suggèrent qu'il y a des possibilités nouvelles dans l'espace virtuel pour l'option d'une monnaie innovatrice, » MintChip utilise une puce sécurisée pour contenir la valeur électronique et un protocole pour la transférer d'une puce à l'autre. La nouvelle économie numérique doit être capable d'accueillir des transactions de petite valeur, telles que les micro (moins 10 $) et les nano-transactions (sous 1 $). Site de la cybermonnaie:

Roubini : 'Quand pendra-t-on un banquier?' « Personne n’est allé en prison depuis la crise financière. Lorsque les banques font quelque chose d’illégal, au mieux elles récoltent une amende. Peut-être que cela serait une bonne leçon pour les autres, si certains des banquiers devaient aller en prison. Ou si l’un d’entre eux était pendu dans la rue », a affirmé l’économiste Nouriel Roubini, au cours d’une interview récente donnée à Bloomberg. Il commentait le récent scandale qui a éclaté lorsqu’il est devenu connu que des banques manipulaient constamment le taux d’intérêt interbancaire Libor pour augmenter leurs profits ou minorer leurs pertes. « Les banques ont toujours intérêt à tricher et à faire des choses qui sont ou bien illégales, ou bien immorales", a commenté Roubini. « La seule chose à faire pour l’éviter serait de briser ces supermarchés financiers. « Les banquiers sont cupides.

Cour des comptes : la filière nucléaire française a coûté 228 milliards d'euros Le Parisien | D'après ce rapport de près de 400 pages, qui avait été commandé l'an dernier par le gouvernement après la catastrophe de Fukushima, les investissements publics et privés réalisés depuis le début dans la filière française d'électricité nucléaire, d'un montant colossal, sont néanmoins bien «identifiés», avec une addition «toutes dépenses confondues» évaluée à 228 milliards. Le montant total de la construction des installations nécessaires à la production d'électricité nucléaire est chiffré à 121 milliards d'euros (hors coût de Superphénix), et le parc actuel, composé de 58 réacteurs dont les plus anciens (Fessenheim 1 et 2) sont entrés en service en 1978, a coûté à lui seul 96 milliards. Les dépenses de recherche publiques et privées depuis les années 1950 sont de leur côté évaluées à 55 milliards, soit environ un milliard par an. Les charges futures très incertaines

La France en ruine ? Où en est la France par rapport à la crise économique ? Sommes nous en danger ou le dernier havre de stabilité dans la tourmente ? Que nous cache le gouvernement derrière son plan de « rigueur » ? Qu'est-ce qui nous attends au juste ? Conseil de lecture À la base, je m'intéressais à la crise dite « économique ». Cet article est « la » réponse, en fonction des éléments que j'ai pu glaner au fil de mes lectures. C'est important parce que ça permet de comprendre la politique derrière la politique de façade (celle qu'on nous montre dans les shows télévisés). L'article est assez long et touffu. Pour ceux qui veulent aller plus loin, la partie « perspective » est une sorte de référence qui permet de mieux lire et comprendre les articles référencés. Avertissement Tous les chiffres sont en milliard d'euros M€ dans la suite du texte (sauf rares exceptions). Perspective Tableau récapitulatif en M€ La Grèce Maastricht Où sont les sous manquants ? Maintenant procédons par étapes. La France ruinée ?

Suez (entreprise) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Suez. Suez Suez était un groupe industriel franco-belge. La Compagnie universelle du canal maritime de Suez a été créée en 1858 par Ferdinand de Lesseps pour percer et exploiter le canal de Suez. À la suite de la nationalisation du canal par Nasser en 1956, quand le patrimoine égyptien de la Compagnie universelle du canal maritime de Suez a été transféré à la Suez Canal Authority, la société touche d'importantes indemnités car elle dispose d'une concession jusqu'en 1968[1]. En 1959, la société crée la Banque de la Compagnie Financière de Suez qui est rebaptisée Banque de Suez et de l'Union des mines en 1966. La Compagnie financière de Suez est nationalisée en 1982 puis privatisée en 1987 sous la présidence de Renaud de La Genière. En 1990, la société prend le nom de Compagnie de Suez, mais le début des années 1990 est difficile à cause de la crise immobilière. Au 6 mai 2008 : Au 1er janvier 2007 :

Qui possède les médias ? " La presse libre n’existe pas. Vous, chers amis, le savez bien, moi je le sais aussi. Aucun de vous n’oserait donner son avis personnel ouvertement. Nous sommes les pantins qui sautent et qui dansent quand ils tirent sur les fils. Notre savoir faire, nos capacités et notre vie même leur appartiennent. Nous sommes les outils et les laquais des puissances financières derrière nous. 1. L’article 19 de la Déclaration des droits de l’homme de 1948 indique : « tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit. » De plus, Victor Hugo, cité par Médiapart [1], a dit : « Le principe de la liberté de la presse n’est pas moins essentiel, n’est pas moins sacré que le principe du suffrage universel. 2. Les médias sont très nombreux. Que reste-t-il ? Sondages 3.

L'homme le plus riche du monde - Journal du Net Economie Découvrez le classement 2014 des 20 milliardaires les plus riches du monde établi par le magazine américain Forbes et celui dressé par Bloomberg. Le nombre de milliardaires a de nouveau augmenté selon Forbes : 1 645 dans son classement 2014, révélé ce lundi 3 mars, contre 1 426 lors de son édition précédente. Et cette année, c'est l'américain Bill Gates qui en prend la tête, avec une fortune estimée à 76 milliards de dollars. Soit 4 milliards de plus que son poursuivant le plus proche, le mexicain Carlos Slim Helu, numéro 1 l'an dernier. Une édition également marquée par le départ de l'Allemand Karl Albrecht, et par l'arrivée du cofondateur de Google Sergey Brin (19e), qui réjoint son compère Larry Page (17e). Côté français, Liliane Bettencourt (11e) n'est plus la femme la plus riche du monde et Bernard Arnault (15e) perd 5 places. Le classement Forbes des hommes les plus riches du monde Retrouvez en images le classement Forbes. Le classement Bloomberg des hommes les plus riches du monde

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