Assurer sa crédibilité
Faire cours ce n’est pas administrer à un public captif un contenu de savoir identifié dans une fiche de préparation, c’est bien au-delà : concevoir, organiser, mettre en œuvre, analyser et réguler des situations d’apprentissage, gérer un groupe et des individualités, exercer une autorité et transmettre des valeurs, établir une relation pédagogique et éducative donnant du sens aux apprentissages engagés, prendre en compte les besoins des élèves pour leur permettre de franchir les obstacles présents dans tout apprentissage... « faire cours » et « faire classe » constituent deux logiques inséparables qui engagent l’enseignant tout entier, mobilisent l’ensemble de ses compétences professionnelles et nécessitent un travail d’équipe au sein de l’établissement afin d’assurer un minimum de cohérence dans les attitudes et les attentes de chacun. Les préconisations qui suivent peuvent apparaître comme « allant de soi ». En évitant de se décrédibiliser
Déficit d'attention: gare aux faux diagnostics | Daphnée Dion-Viens
Le déficit de l'attention est un problème neurologique qui entraîne des ennuis de concentration, d'oubli et de distraction. Selon différentes études réalisées à travers le monde, de 3 à 12 % de la population en serait atteinte dans les pays industrialisés. Or, aux États-Unis, une étude récente a démontré que près d'un million d'enfants ont reçu à tort un diagnostic de TDAH. «C'est énorme», lance le Dr Hammarrenger en entrevue téléphonique, d'autant plus que cette étude est basée sur la prise en compte d'un seul critère, l'immaturité des enfants, alors qu'il existe plusieurs autres facteurs qui peuvent mener à un faux diagnostic. Au Québec, il n'existe pas d'étude similaire qui permettrait de chiffrer les cas de faux diagnostics. Les neuropsychologues sont les mieux outillés pour établir un diagnostic, basé sur une série de tests normés qui permettent d'en arriver à un verdict fiable, affirme-t-il. Résultats dramatiques M.
Gérer conditions de travail
Faire cours ce n’est pas administrer à un public captif un contenu de savoir identifié dans une fiche de préparation, c’est bien au-delà : concevoir, organiser, mettre en œuvre, analyser et réguler des situations d’apprentissage, gérer un groupe et des individualités, exercer une autorité et transmettre des valeurs, établir une relation pédagogique et éducative donnant du sens aux apprentissages engagés, prendre en compte les besoins des élèves pour leur permettre de franchir les obstacles présents dans tout apprentissage... « faire cours » et « faire classe » constituent deux logiques inséparables qui engagent l’enseignant tout entier, mobilisent l’ensemble de ses compétences professionnelles et nécessitent un travail d’équipe au sein de l’établissement afin d’assurer un minimum de cohérence dans les attitudes et les attentes de chacun. Les préconisations qui suivent peuvent apparaître comme « allant de soi ». En anticipant sur les difficultés pour ne pas favoriser les décrochages
Le secret pour mieux apprendre? Développez votre attention!
Face à l’évolution et à la complexification de la société moderne, la formation continue est devenue une priorité pour tous les professionnels, y compris pour les architectes. La capacité d’apprentissage est donc une compétence aussi utile pour les étudiants en architecture que pour les architectes confirmés. Pour bien apprendre, vous devez faire appel à un élément indispensable: l’attention! Qu’est-ce que l’attention et quel est son rapport avec l’apprentissage ? L’attention est l’ensemble des processus psychologiques permettant à l’individu de se préparer à effectuer une action à entreprendre, sélectionner des informations particulières et de les traiter de manière approfondie. (source Wikipedia) Lorsque vous êtes attentif, tous vos sens s’orientent vers la recherche et l’enregistrement des informations qui pourraient vous être utiles. 20% de ce qu’on lit30% de ce qu’on entend40% de ce qu’on voit50% de ce qu’on dit60% de ce qu’on faitet 90% de ce qu’on voit, entend, dit et fait Sources:
Mettre en place conditions favorables
Faire cours ce n’est pas administrer à un public captif un contenu de savoir identifié dans une fiche de préparation, c’est bien au-delà : concevoir, organiser, mettre en œuvre, analyser et réguler des situations d’apprentissage, gérer un groupe et des individualités, exercer une autorité et transmettre des valeurs, établir une relation pédagogique et éducative donnant du sens aux apprentissages engagés, prendre en compte les besoins des élèves pour leur permettre de franchir les obstacles présents dans tout apprentissage... « faire cours » et « faire classe » constituent deux logiques inséparables qui engagent l’enseignant tout entier, mobilisent l’ensemble de ses compétences professionnelles et nécessitent un travail d’équipe au sein de l’établissement afin d’assurer un minimum de cohérence dans les attitudes et les attentes de chacun. Les préconisations qui suivent peuvent apparaître comme « allant de soi ». En soignant l’entrée en classe En engageant le cours sans temps mort
Pour une meilleure attention à l'école
«La captation de l'attention est aujourd'hui un énorme marché mondial. Il est massif au sens où il touche toutes les générations, toutes les couches sociales. […] Le niveau de captation audiovisuelle atteint ainsi plus de six heures par jour aux États-Unis. […] Jamais l'humanité n'a connu un tel phénomène d'hallucination collective, hyperréaliste, hypersynchronisée. En 1939, il y a moins de 70 ans, 55 pour cent des Français n'avaient ni radio, ni téléphone, ni télévision bien sûr : le seul moyen de synchronisation de leur attention à un niveau au-delà de leur famille, c'était le garde champêtre ou le curé. Ainsi s'exprime le philosophe Bernard Stiegler dans l'ouvrage collectif Enfants turbulents : l'enfer est-il pavé de bonnes préventions ? S'adapter aux nouvelles contingences Des journées chargées Aujourd'hui, à l'école primaire, les enseignements sont répartis sur quatre journées de huit heures, comportant cinq heures et demie d'enseignements fondamentaux.
Mémoire, attention et rythmes scolaires
Ce qu’on sait sur les rythmes de l’enfant et du jeune nous donne-t-il des indications sur les facteurs favorables d’une part à l’attention, d’autre part à la mémorisation ? Y aurait-il des heures plus favorables, des conditions à réunir... ? Les recherches sur les variations de la vigilance au cours de la “phase éclairée” font ressortir quatre moments particuliers : après le réveil du matin, il faut plus ou moins de temps pour que la vigilance comportementale d’un enfant active un niveau d’attention sélective qui lui permette de se concentrer sur un élément de l’environnement, une activité, une personne ... Pour un réveil entre 06h.30-07h, ou un peu plus tard, certains enfants apparaissent vigilants dès l’entrée en classe à 08h.30 ou plus tôt, en tout cas entre 08h.30 et 09h.00, alors que d’autres ne le sont pas avant 09h.30, parfois plus tard. Est-ce que la concentration du temps scolaire sur un nombre restreint de journées est un obstacle direct à la mémorisation ?