
Actions éducatives - Semaine de l'économie sociale et solidaire Description de l'action Organisée depuis 2017, la Semaine de l'économie sociale et solidaire à l'école permet aux élèves de découvrir les modes d'entreprendre en collectif de l'ESS : associations, mutuelles, coopératives. A travers des actions de sensibilisation organisées dans tous les territoires, les élèves découvrent l'économie sociale et solidaire : ses métiers, ses valeurs et ses structures. Diverses manifestations ont lieu : visites d'entreprises, rencontres avec des professionnels, débats, expositions, etc. Exemples d'actions conduites : Animer un jeu sur la découverte de la coopération avec des élèves de maternelle ou de primaire,Organiser une action ou une conférence sur l'économie sociale et solidaire,Réaliser une action solidaire dans le cadre d'un projet « Mon Entreprise Sociale et Solidaire à l'Ecole » (création d'une entreprise de l'ESS par des élèves en classe),Visiter une coopérative sur le territoire ... La semaine de l'ESS à l'école en vidéo Elèves concernés Calendrier
Qu'est-ce que la directive européenne sur le droit d'auteur ? - Numérique - Toute l'Europe Après deux ans d'âpres négociations, les institutions européennes ont définitivement approuvé la directive sur le droit d'auteur le 15 avril 2019. L'Union européenne valide ainsi le principe d'une meilleure rémunération des artistes et éditeurs de presse à partir du trafic généré par leurs contenus sur des plateformes comme Google ou YouTube. En France, ces dispositions s'appliquent à partir du 24 octobre. Crédits : iStock "A chaque vache son veau, à chaque livre sa copie." C'est par ces mots qu'au VIème siècle, le roi irlandais Diarmait mac Cerbaill aurait tranché l'une des plus anciennes affaires juridiques liées au droit d'auteur. Véridique ou non, l'affaire fait écho à la discorde suscitée quelque 1 400 années plus tard par la proposition de directive sur le droit d'auteur, initiée en 2016 par la Commission européenne. Ce trilogue a abouti mercredi 13 février à une ultime mouture de la directive. Quelle application en France ? Qui est concerné par le droit d'auteur ? 1. 2. 3.
Lire sur papier, lire sur écran : en quoi est-ce différent ? Les écrans de téléphones mobiles, de tablettes et d’ordinateurs envahissent notre quotidien, et voilà dictionnaires, fiches de cours ou même classiques de la littérature à portée de clic. Faut-il inciter les élèves à profiter à 100% de ces facilités d'accès inédites au savoir, et renvoyer le papier au passé ? Rien n'est moins sûr si l'on se penche sur les derniers résultats de la recherche. Depuis le début de ce siècle, plusieurs dizaines d’études ont été menées pour évaluer les effets du support de lecture sur les performances de compréhension de textes qui pouvaient être soit documentaires - manuels scolaires, ouvrages universitaires - soit narratifs - fictions, romans… Habitudes de lecture Pour expliquer cette plus grande facilité de compréhension sur un support papier, le premier facteur que l'on pourrait invoquer serait celui de l'expérience. Expérience sensorielle La matérialité du livre imprimé serait-elle alors le facteur décisif ?
Tout comprendre au droit voisin, au centre du contentieux entre Google et les médias La France est le premier pays de l’Union européenne à appliquer, dès le jeudi 24 octobre, la directive européenne sur le droit voisin, un droit d’auteur réservé à la presse au centre d’un conflit entre les médias et Google depuis son adoption par le Parlement européen, à la fin du mois de mars. Dans une tribune publiée, mercredi 23 octobre, sur plusieurs médias européens, dont Le Monde, 800 journalistes et personnalités du monde des médias et de la culture réclament aux pouvoirs publics une « contre-attaque » face à la multinationale. Favorables au droit voisin, ils en critiquent l’application prévue par Google. Que prévoit ce droit, et pourquoi les nouvelles règles que Google a commencé à déployer, pour s’y adapter, sont-elles critiquées par la presse et le gouvernement ? Tribune signée par 800 personnalités : « Google a offert aux médias un cynique choix de dupes » Qu’est-ce que le droit voisin ? Quelles sont les nouvelles règles appliquées par Google ? Le Monde avec AFP
la représentation des femmes dans les publicités analysée par l’étude AdReaction de Kantar Près de 90% des spécialistes européens du marketing pensent qu’ils représentent les femmes de façon positive dans les publicités alors que 45% du public estime que les femmes ne sont toujours pas correctement représentées, assure Kantar dans sa dernière étude AdReaction. Il ressort de l’étude que dans les publicités, les hommes sont 38% mieux valorisés que les femmes. En France, pour certaines catégories de produits, les professionnels ciblent quasi exclusivement des femmes. C’est le cas pour 98% des publicités de lessives, d’entretien ou de produits pour bébés ; 82% des publicités pour des produits d’hygiène ; et 78% des publicités pour de la nourriture. Par ailleurs, femmes et hommes sont en quête de représentations plus en phase avec les modes de vie d’aujourd’hui. Selon l’étude, l'industrie peine à faire de grandes publicités mettant en vedette des femmes. A noter aussi que l’humour est un levier fort de l’engagement en publicité.
Le droit d'auteur sur le Web en question le 31 octobre 2019 - Colette Modion - Droit La directive européenne adoptée le 23 mars 2019 sur le droit d'auteur sera l'objet en janvier 2020 de débats à l'Assemblée nationale pour sa transcription dans le droit français. Intégrée à la loi sur l'audiovisuel, elle définit une meilleure rémunération de la part des Gafa (Google, Apple, Facebook, Amazon) des créateurs de contenus. Des négociations ont été engagées depuis deux ans entre le Parlement européen, la Commission européenne et les Etats de l'Union européenne, maillées de campagnes de lobbying. Elle harmonise le droit de la propriété intellectuelle au sein de l'Union européenne tout en modernisant le droit d'auteur à l'ère du numérique et devra être transcrite en droit national par tous les pays dans un délai de deux ans. Colette Modion le 31 octobre 2019 - Colette Modion - Droit Colette Modion
EXCLUSIF. Mark Zuckerberg : "Quatre idées pour réguler Internet" 20h04 , le 30 mars 2019 C'est un texte fort que Mark Zuckerberg publie ce dimanche dans quatre quotidiens internationaux (Le Journal du Dimanche en France, le Washington Post aux Etats-Unis, le Frankfurter Allgemeine Zeitung en Allemagne et le Sunday Independent en Irlande). Le PDG de Facebook y détaille "quatre idées pour réguler Internet". Elles concernent les contenus violents et haineux, l'intégrité des élections, la protection de la vie privée et la portabilité des données. Voici la version française de la tribune de Mark Zuckerberg publiée en exclusivité par le JDD : "La technologie occupe une place importante dans nos vies, et des entreprises comme Facebook ont une très grande responsabilité. "Faire évoluer la régulation d'Internet nous permettra de préserver ce qu'Internet a de meilleur" Je suis convaincu que les gouvernements et les régulateurs doivent jouer un rôle plus actif. 1. 2. "Seuls les gouvernements peuvent créer des sanctions qui découragent les interférences" 3. 4.
« Google et Facebook doivent rémunérer les éditeurs de presse dont ils utilisent les contenus » Tribune. La réforme européenne du droit d’auteur à l’ère numérique a profondément marqué les esprits. Proposée par la Commission européenne en septembre 2016, elle a fait l’objet de trois années de débats enflammés au sein du Parlement européen. Ce texte fait partie de ceux qui ont été les plus âprement discutés et qui ont profondément divisé les députés européens car au travers de son étude, c’est notre rapport au travail et à la répartition de la richesse dans le monde numérique qui était en cause ainsi que les transformations profondes de notre manière de consommer de la culture et de l’information. Lire aussi Droits d’auteur de la presse : Google engage un bras de fer Surtout, cette réforme a été un cas d’école de la capacité des députés européens à s’affranchir du poids des groupes d’intérêt. Après des années de luttes intenses, le Parlement européen a fini par adopter en mars 2019 une directive ambitieuse, à l’inverse de ce qu’avaient tenté d’imposer les Gafam.
Name and shame : les réseaux sociaux doivent-ils rendre justice ? Sur Twitter, les jours passent et les indignations se ressemblent. Organisés en meute ou non, des internautes exposent le nom de personnes qu'ils estiment fautives, dans le but de rétablir un semblant de justice. Bienvenue dans le monde du name and shame. En février dernier, l'affaire de la ligue du LOL éclatait. Après la mise en ligne d’un article par le service checknews de Libération, une liste des membre du groupe facebook présumés coupables commençait à circuler. Écrite par un internaute anonyme, cette liste a largement contribué à faire éclater la colère sur les réseaux. Cette pratique bien connue porte un nom : le name and shame. Un outil efficace pour les activistes D’après Jon Ronson, journaliste et auteur du livre So you've been publicly shamed, c’est bien Twitter qui a surtout favorisé cette pratique. « Avec ce réseau, les gens sans voix se sont aperçu qu’ils pouvaient s’exprimer, explique-t-il dans une conférence TED. Attention à ne pas en abuser Parfois, c'est nécessaire
Facebook : pourquoi vos partages d'articles n'ont plus d'image depuis jeudi La nouvelle directive sur le "droit voisin" ne passe pas auprès de Facebook. Le réseau social ne compte pas rémunérer les éditeurs de presse français pour les liens "enrichis" partagés sur sa plate-forme. Cette application de la Directive européenne sur le droit d'auteur et les droits voisins est entrée en vigueur jeudi pour se mettre en conformité avec la loi du 24 juillet. Mais déjà le groupe californien veut demander "l'autorisation des éditeurs de presse pour afficher sur [ses] plates-formes en ligne, dans un format enrichi, les liens vers leurs contenus", selon Jesper Doub, directeur des partenariats News chez Facebook. Qu'est-ce que le "droit voisin"? "Une très petite part des contenus" Selon le raisonnement de Facebook, les éditeurs donnent déjà leur consentement lorsqu'ils publient eux-mêmes leur contenu sur le réseau social. La France une "priorité" pour l'actualité
Esprit critique, éducation aux médias et à l'information - 30ème Semaine de la presse et des médias dans l'École Objectifs de l'action La Semaine de la presse et des médias dans l'École® a pour objectif de favoriser la rencontre entre le monde éducatif et les professionnels des médias, d'aider les élèves, de la maternelle au lycée, à comprendre le système des médias, à former leur jugement critique, à développer leur goût pour l'actualité et à forger leur identité de citoyen. Objectifs pédagogiques Cette action permet d'éduquer aux médias en favorisant la compréhension et l'usage autonome par les élèves et les enseignants qui sont à la fois lecteurs, producteurs et diffuseurs de contenus. Elle entre dans le cadre de la formation du citoyen en favorisant la consolidation du jugement critique des élèves et leur capacité à argumenter. Elle participe pleinement au parcours citoyen (circulaire n° 2016-092 publiée au BOEN du 23 juin 2016) inscrit dans le projet global de formation de l'élève défini par le socle commun de connaissances, de compétences et de culture. Public et acteurs concernés
Droit d'auteur : la détection automatique de musique non libre de droits arrive sur les podcasts PEX, moteur de recherche spécialisé dans la musique et les vidéos, va désormais scanner Apple Podcasts pour les ayant-droits. Les podcasts vont désormais pouvoir être scannés pour détecter l'utilisation illégale de musique. Crédit : Tommy Lopez / Pexels. L’utilisation de musiques non libres de droits sans autorisation peut exposer les créateurs à des suppressions de leurs œuvres, mais aussi à des poursuites. PEX est un service qui propose notamment aux ayant-droits de scanner certaines plateformes comme YouTube, Facebook, Twitter ou TikTok pour trouver les contrevenants. A l’heure où le format se professionnalise grandement et cherche des moyens de monétisation, cette arrivée des ayant-droits semble assez logique. Recevez par email toute l’actualité du digital
Éduthèque - Actualité Neuf nouveaux films américains viennent enrichir l’offre cinéma.lesite.tv, accompagnés de fiches pédagogiques : King Kong d’Ernest B. Schoedsack ;L’Impossible Monsieur Bébé de Howard Hawks ;Citizen Kane et La Soif du mal d’Orson Welles ;La Féline de Jacques Tourneur ;Boulevard du crépuscule de Billy Wilder ;Fenêtre sur cour d’Alfred Hitchcock ;E.T., l’extra-terrestre de Steven Spielberg ;Le Dernier Château de Rod Lurie. Éditée par France Télévisions, avec le soutien de Réseau Canopé, l’offre cinéma.lesite.tv met à disposition des enseignants de collège et de lycée plus d’une trentaine de films du patrimoine cinématographique, en streaming et téléchargement. D’autres films viendront prochainement enrichir cette offre. Grâce au moteur de recherche du portail, des rapprochements sont possibles avec d’autres ressources d’Éduthèque. Toutes ces ressources sont mises à la disposition des enseignants pour un accès gratuit et selon les conditions générales d’utilisation du portail.
YouTube : un bug a entraîné des dizaines de faux signalements pour droits d'auteur Des streameurs et streameuses ont reçu de multiples revendications de la part d'un même ayant-droit. YouTube plaide l'erreur et explique que cela n'aura pas de conséquence pour les personnes concernées. Les vidéastes n’en ont décidément pas fini de se battre avec Content ID, le système utilisé par YouTube pour faire respecter les droits d’auteur, et revendiquer des droits sur une partie de leurs revenus. Ce mercredi 4 décembre, plusieurs streameurs et streameuses se sont plaint de revendications abusives de la part d’un ayant-droit. YouTube plaide une « erreur ». Des réclamations du même ayant-droit Content ID est un système que YouTube a mis en place dès 2007. Plusieurs vidéastes ont reçu le 4 décembre une ou plusieurs alertes. Maxildan, par exemple, raconte en avoir reçu six en seulement 24 heures. Une erreur sans conséquence ? Joint par Numerama, YouTube nous a indiqué que l’ayant-droit avait fait une erreur.