
Ars Oblivionalis - The Art of Forgetfulness - Stojadinovi ć Ars Oblivionalis Ars Oblivionalis is supposed to be the opposite of the mnemonic arts and is, therefore,supposed to examine, elaborate and develop the techniques for forgetting. The emphasishere is on the word technique because we are not simply discussing “ways” of forgetting. . and states that ‘one should associate agiven syllogism with a monstrous bleeding image in the third room on the right in anenormous palace.’ with object B, then it is quite clear that evoking object A will automatically evokeobject B. Aphasia : loss or impairment of the power to use or comprehend words usually resulting from brain damage2 Treatise : a systematic exposition or argument in writing including a methodical discussion of the facts andprinciples involved and conclusions reached <a treatise on higher education>3 Homology : a similarity often attributable to common origin
GUERRE FROIDE ---- Stay-behind — Wikipédia Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dans le cadre de la guerre froide, les cellules stay-behind étaient des réseaux clandestins coordonnés par l'OTAN. Implantées dans seize pays d'Europe de l'Ouest, ces cellules visaient à combattre une éventuelle occupation par le bloc de l'Est, se tenant prêtes à être activées en cas d'invasion par les forces du Pacte de Varsovie. La plus célèbre de ces cellules, et la première à avoir fait l'objet de révélations, est le réseau italien Gladio. L'existence de ces cellules n'est révélée au grand public par les médias qu'en 1990, bien que l'ancien directeur de la CIA William Colby ait, dès 1978, décrit la genèse de ces groupes dans ses mémoires[1]. Historique[modifier | modifier le code] À la fin des années 1940, au début de la guerre froide, une invasion par l'Union soviétique de l'Europe de l'Ouest est une hypothèse plausible en cas de Troisième Guerre mondiale. Les États adhérents au stay-behind arrivent en plusieurs vagues[3] :
Évelyne Heyer Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Évelyne Heyer, née le 7 décembre 1964, est une biologiste française spécialisée en anthropologie génétique. Formation académique[modifier | modifier le code] Elle obtient un diplôme d'ingénieur agronome de l’École nationale supérieure agronomique de Montpellier (ENSAM) en 1987, soutient en 1991 une thèse de doctorat en biométrie de l’université de Lyon I[1], et obtient en 1999 l'habilitation à diriger des recherches de l'université de Paris XI. Fonctions occupées[modifier | modifier le code] Après sa thèse de doctorat, elle enseigne à l’université du Québec à Chicoutimi, puis au CNRS en 1996. En 2013, elle est commissaire général à la rénovation du Musée de l’Homme. Depuis 2019, elle appartient au conseil scientifique de la DILCRAH[4]. Recherches[modifier | modifier le code] Ses recherches traitent de l’évolution de l’Homme à partir de données génétiques. Distinctions[modifier | modifier le code] Publications[modifier | modifier le code]
Apprendre à coder en 3 mois | The Hacking Project Principe de localité (physique) En physique, le principe de localité, connu également sous le nom de principe de séparabilité, est un principe selon lequel des objets distants ne peuvent avoir une influence directe l'un sur l'autre ; un objet ne peut être influencé que par son environnement immédiat. Ce principe, issu de la relativité restreinte, a été précisé en ces termes par Albert Einstein[1] : « Il semble essentiel pour cette disposition des choses introduites en physique que ces dernières, à un moment donné, revendiquent une existence indépendante l’une de l’autre, dans la mesure où elles se trouvent dans différentes régions de l’espace. Sans l’hypothèse de l’existence mutuellement indépendante (de l’«être-ainsi») des choses séparées spatialement les unes des autres, hypothèse qui trouve son origine dans la pensée de tous les jours, la pensée physique qui nous est familière ne serait pas possible. On ne voit pas comment les lois physiques pourraient être formulées et vérifiées sans une telle séparation. »
mélancolie pratique (3) - orlando de rudder Oméga mélancolique. Les chemins de l’écriture, l’organisation de la phrase, l’élaboration de la période, la distribution des chapitres se déroulent dans le temps. Ou plutôt en diverses temporalités superposées, mélangées, concommitantes. Parfois on pense avant d’écrire, souvent on écrit en pensant, vivant une réflexion lourde, répétitive, lente, obstinée, voire acharnée. Le monde comme un cimetière peuplé des cadavres des générations précédentes mais aussi de toutes celles à venir. Cette forme aboutie, clinique concerne une mélancolie non assumée, non maîtrisée au départ. Il est très rare qu’un dépressif ou un déprimé temporaire réussisse à faire un livre et il est encore plus rare qu’un alcoolique trouve le courage d’écrire comme dans le cas à mon avis unique de Malcolm Lowry dans Au Dessous du volcan. La neurasthénie, sorte de dépression intense, , disait le psychiatre Dejérine est « un carrefour d’où peuvent sortir toutes les maladies possibles ». Et ceci depuis belle lurette :
Sikhisme - Wikipédia Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Khaṇḍā est le symbole du sikhisme. Le mot « sikh » est dérivé du mot sanskrit शिष्यः (śiṣya) signifiant disciple ou étudiant, ou de शिक्ष (śikṣa), signifiant étude ou instruction[1]. L'expression du monothéisme des Sikhs réside dans le symbole ੴ - ek Ong Kar, que l'on peut traduire par « une seule (ek) conscience créatrice (ong) manifestée (kar) ». Transcrit littéralement cela revient à dire "l'âme de dieu". La doctrine du sikhisme se fonde sur les enseignements spirituels des Dix gurûs, recueillis dans le Siri Guru Granth Sahib. Histoire[modifier | modifier le code] Gurû Nanak (1469-1539), fondateur du sikhisme, est né dans le village de Talwandi, nommé maintenant Nankana Sahib, près de Lahore, dans l'actuel Pakistan. Après plusieurs années de voyage, Guru Nanak réunit une communauté et fonde un village, Kartarpur - la Ville du Créateur. Religion et philosophie[modifier | modifier le code] La religion sikh est strictement monothéiste[5].
Parthénogenèse Dans le règne végétal, la parthénogenèse (on parle alors d'apomixie) est assez commune, avec ou sans autre mode de reproduction, sauf parmi les plantes à fleurs (angiospermes), la fleur enveloppant l'organe de reproduction sexuée femelle (mais l'un n'empêche pas l'autre)[pas clair]. Dans le règne animal, la parthénogenèse se rencontre dans de nombreux taxons comme les nématodes, les polychètes, les oligochètes, les némertiens, les arthropodes (dont les insectes comme l'abeille et les pucerons), les gastrotriches et chez les vertébrés, certains reptiles (dragon de Komodo)[1], oiseaux (Dinde)[2] et poissons. Au niveau de la cellule[modifier | modifier le code] La formation de l'ovule par la méiose, ou ontogenèse, sans l'intervention de la fécondation avec un gamète mâle aboutit théoriquement à une cellule œuf haploïde. Individu haploïde[modifier | modifier le code] Dans ce cas de figure, les individus produits sont haploïdes et généralement des mâles. Régulière[modifier | modifier le code]
Go (langage) Un objectif de Go est donné par Rob Pike, l'un de ses trois créateurs, qui dit à propos des développeurs inexpérimentés[8] : « Ils ne sont pas capables de comprendre un langage brillant, mais nous voulons les amener à réaliser de bons programmes. Ainsi, le langage que nous leur donnons doit être facile à comprendre et facile à adopter » Go veut faciliter et accélérer la programmation à grande échelle : en raison de sa simplicité il est donc concevable de l'utiliser aussi bien pour écrire des applications, des scripts ou de grands systèmes. Cette simplicité est nécessaire aussi pour assurer la maintenance et l'évolution des programmes sur plusieurs générations de développeurs. Voici un exemple d'un programme Hello world typique écrit en Go : package main import "fmt" func main() { fmt.Printf("Hello, world\n")} Le langage Go a été créé pour la programmation système et a depuis été étendu aux applications, ce qui constitue la même cible que le C et surtout le C++. Principales bibliothèques :
Définition | Intrication quantique - Intrication | Futura Sciences On s'accorde à dire que ce sont Erwin SchrödingerErwin Schrödinger et Albert EinsteinEinstein qui ont découvert au milieu des années 1930 le phénomène d'intrication dans les équations de la théorie quantique dont ils étaient parmi les plus importants pères fondateurs. Le phénomène d'intrication est l'un des phénomènes les plus troublants en mécanique quantique en accord avec l'interprétation de Copenhague de celle-ci. Schrödinger en tira une expérience de pensée qui deviendra célèbre avec son fameux chat et Einstein une autre expérience de pensée non moins fameuse qui sera appelé le paradoxe ou l’effet EPR. Il sera exposé dans un article publié en 1935 et il a été développé en collaboration avec Boris Podolsky et Nathan Rosen dans le but de réfuter l'interprétation de Copenhague de la physique quantique. L'intrication quantique a ouvert un champ de recherche très actif L'intrication quantique est maintenant comprise comme un phénomène fondamental de la mécanique quantique. H=T(Pi)+V(Qi)
Alain Valet - Poésie et images