
Dauphin L'ancien français daufin est attesté au milieu[2] du XIIe siècle[1] : d'après le Trésor de la langue française informatisé, sa plus ancienne occurrence connue se trouve dans un manuscrit du Roman d'Alexandre[2]. Sous le terme dauphin, on regroupe beaucoup d'espèces très différentes. Aussi bien au niveau comportemental qu'au niveau physique aussi les généralités propres à tous les dauphins sont communes à tous les odontocètes, appelés « dauphins » ou non. Liste alphabétique des noms vulgaires ou des noms vernaculaires attestés[5] de cétacés appelés « dauphin ». Note : certaines espèces ont plusieurs noms et les classifications évoluant encore, certains noms scientifiques ont peut-être un autre synonyme valide. Les caractéristiques générales des dauphins sont celles des Cétacés, avec des différences pour chaque espèce : voir les articles détaillés pour plus d'informations, notamment sur leur constitution physique et leur mode de vie respectifs. Chez les dauphins, la gestation dure 12 mois.
nationalgeographic L'option zéro point est auto-sacrificielle ; des étudiants renoncent délibérément à leurs points pour aider le groupe, en contenant ceux qui en prennent trop. Dans les expériences sur le comportement, ce type d'action est appelé « punition altruiste », une expression inventée par les économistes Ernst Fehr et Simon Gächter. En général, chaque semestre, quelques élèves choisissent l'option zéro point et cette poignée d'individus peut faire une énorme différence : par leur sacrifice, ils peuvent faire passer le nombre de partisans des six points sous le seuil des 10 %. Désormais, à peu près une classe sur deux reçoit les points supplémentaires. Bien que ce type de solutions fonctionne à l'échelle réduite d'une salle de cours, n'aurons-nous pas besoin d'actions beaucoup plus importantes pour infléchir des problèmes mondiaux comme le changement climatique ? J'écris ces mots, installé à côté de ma fille, Amelia, qui a 3 mois.
« Banque de ressources numériques » pour les cycles 3 et 4 : résultats de l’appel d’offres - L'école change avec le numérique Le numérique représente un levier de transformation puissant pour accompagner la politique ministérielle dans toutes les dimensions, de la transformation pédagogique au service des apprentissages et de leur évaluation à la formation aux enjeux et aux métiers de demain. Cette ambition numérique passe par la simplification des relations avec les usagers et la modernisation du fonctionnement de l'État avec des systèmes d'information repensés. À l'occasion de l’université d’été Ludovia 2019, le ministre de l'Éducation nationale a souhaité à distance s’exprimer à nouveau sur le numérique éducatif, le 20 août 2019 à Ax-les-Thermes. Cet élément n'est pas imprimable. Télécharger la retranscription du discours du ministre Placer les données scolaires au cœur de la stratégie numérique du ministère L'Éducation nationale produit aujourd'hui un très grand nombre de données liées à la vie scolaire, aux évaluations et aux résultats des élèves, aux travaux et aux devoirs qu'ils réalisent.
La biodiversité méditerranéenne Les pourtours de la Méditerranée constituent l’un des «points chauds» (hot spot) mondiaux de la biodiversité. Les biologistes estiment que près de 60% des espèces sont spécifiques à cette région et 20% menacées d’extinction rapide. Dans le contexte d’une gestion durable de l’environnement et des habitats méditerranéens, la protection des espèces qu’ils abritent est une priorité essentielle. Nous proposons ici une ressource pédagogique pour faciliter la connaissance de la biodiversité des espèces méditerranéennes clefs à connaître pour mettre en œuvre une gestion durable des habitats. Cette ressource est complétée par une présentation des principales menaces et actions possibles de protection et de restauration des milieux, des espèces ou écosystèmes menacés, et de pistes de réflexions pour une gestion durable de l'environnement méditerranéen. N’hésitez pas à envoyer vos commentaires, vos remarques ou corrections aux porteurs de ce projet.
Mysticeti Morphologie et anatomie[modifier | modifier le code] Morphologie[modifier | modifier le code] Aspect général[modifier | modifier le code] La baleine bleue est le plus gros animal actuel, et le plus lourd ayant jamais existé. Les mysticètes sont les animaux les plus grands de la planète vivant à notre époque. Les différentes espèces sont généralement d'un gris plus ou moins sombre. Les rorquals, les baleines pygmées et les baleine grises possèdent des sillons gulaires, variant de quelques-uns pour ces dernières à plus d'une cinquantaine en moyenne pour les rorquals, sauf la mégaptère qui en a entre 12 et 36. Les baleines ont deux évents au-dessus de la tête, sortes de narines servant à respirer. Les mysticètes sont hydrodynamiques, particulièrement les rorquals qui sont fusiformes. Les fanons[modifier | modifier le code] Dimorphisme sexuel[modifier | modifier le code] C'est à peine visible mais la femelle est plus grande que le mâle, de quelques mètres. Anatomie[modifier | modifier le code]
L'association | Sciences Citoyennes Les activités de l’association Sciences Citoyennes s’inscrivent dans une charte rédigée lors de sa création en 2002. Charte de l’association Sciences Citoyennes Nous vivons un changement de nature des risques, des disparités et des dangers créés par les modes dominants de production et de consommation. La mondialisation libérale accentue ces menaces et entend soumettre la recherche et le développement technique aux exigences de la solvabilité. Face à la marchandisation des savoirs et du vivant, ces mobilisations et initiatives amorcent un sursaut démocratique et un nouveau pacte social pour une science citoyenne, responsable et solidaire. Moteur d’émancipation pendant plusieurs siècles, la science, devenue technoscience, est aujourd’hui un formidable pouvoir. Sciences Citoyennes a pour objectif de favoriser et prolonger le mouvement actuel de réappropriation citoyenne et démocratique de la science, afin de la mettre au service du bien commun. Elle se donne notamment pour objectifs :
Jeux et exercices en ligne, apprendre le français en s'amusant Balaenidae Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une baleine franche australe L'appellation franche provient des chasseurs baleiniers, qui recherchaient plus particulièrement cette famille pour sa forte teneur en graisses. Cela en augmentait la rentabilité économique par rapport aux rorquals, et, de plus, les prises flottaient plus longtemps sur l'eau, ce qui rendait l'exploitation plus simple[1]. Les balénidés se distinguent des balénoptéridés principalement par l'absence de sillons jugulaires et d'aileron dorsal. genre Balaena Linnaeus, 1758Balaena mysticetus Linnaeus, 1758 — baleine boréale ou baleine du Groenlandgenre Eubalaena Gray, 1864Eubalaena australis Desmoulins, 1822 — baleine franche australeEubalaena glacialis Müller, 1776 — baleine de BiscayeEubalaena japonica Lacépède, 1818 — baleine franche du Pacifique Nord (le statut d'espèce différente de Eubalaena glacialis est incertain)
Recherche participative Le terme fait partie de ces notions fourre-tout qui doivent leur popularité autant à leur pouvoir d’évocation qu’a leur utilité sur le plan de l’analyse des situations sociales. Il émerge dans un contexte caractérisé par l’expansion voire la démocratisation de la recherche, par la nécessité d’élaborer des modèles de recherche plus adaptés aux demandes sociales ainsi que par des questionnements sur les critères de scientificité utilisés par la communauté scientifique (Callon, Lascoumes, et al., 2001). En effet, la façon de concevoir la recherche a subi des grands bouleversements et diverses modalités de recherche se sont développées voulant, par leurs démarches, être plus proches de l’action sociale que les procédures de la recherche dite traditionnelle. Des nouveaux rapports chercheur/acteurs En effet, le caractère scientifique de ce type de recherche tient plus à la manière de travailler, à des critères d’ordre relationnel et éthique qu’à des critères de scientificité traditionnels.
Mathenpoche - soutien scolaire en mathématiques Phocidae Phocidés Biologie[modifier | modifier le code] Anatomie[modifier | modifier le code] Les Phocidae sont marqués par une diversité de morphologie : le phoque adulte le plus petit (phoque annelé) a une taille de 1,17 m et une masse de 45 kg, le plus imposant (éléphant de mer du sud) a une taille de 4,9 m et une masse de 2 400 kg[2]. Visuellement, le phoque se différencie aisément de sa cousine l'otarie : Alimentation[modifier | modifier le code] Ils ont moins de dents que les carnivores terrestres mais leurs canines sont particulièrement puissantes. Locomotion[modifier | modifier le code] À terre ou sur la glace, les phoques entrent en contact par toute leur face ventrale avec le substrat. Peau et fourrure[modifier | modifier le code] Comparaison du squelette des phoques et des otaries. Systématique[modifier | modifier le code] Les Pinnipèdes représentent 28 % de l'effectif total des mammifères marins avec 18 espèces de phoques, 14 espèces d'otaries et seulement une espèce de morse[14].
QSEC² :: Sommaire L’informatique de A à Z A : Algorithme Chercher un mot dans le dictionnaire, effectuer une addition, trouver le trajet le plus court sur une carte… Pour résoudre ces problèmes, il existe des méthodes systématiques conduisant à coup sûr au résultat : des algorithmes. Un algorithme, c’est une suite de tâches élémentaires qui s’enchaînent selon des règles précises, sans place pour l’interprétation personnelle. « Additionner deux chiffres, écrire la somme au-dessous et la retenue à gauche » peut faire partie d’un algorithme ; mais « faire cuire à point, saler à votre goût », c’est juste une recette ! On peut décrire un algorithme en français, en chinois ou dans toute autre langue… Traduit dans un langage de programmation, il devient un programme informatique exécutable par un ordinateur. Pour résoudre certains types de problèmes – comme trouver la répartition du travail qui réduit au maximum la durée d’un gros chantier -, même les meilleurs algorithmes exigent un temps de calcul considérable. B : Bug D : Données
Otariidae Otariidés · Otaries Par rapport aux phocidés (phoques et éléphants de mer) ou aux odobénidés (les morses), ils possèdent des petites oreilles et n'ont pas totalement perdu l'usage de leurs membres postérieurs en reptation terrestre. Leur nom est emprunté au grec ὠτάριον (ōtárion), « petite oreille », mais dans les Problèmes de linguistique générale, Émile Benveniste explique qu'il s'agit de l'oreille externe, apparente chez cet animal[2]. La famille des Otariidés a été nommée par John Edward Gray en 1825. L'antériorité de la classification de cette espèce revient en fait à François Péron qui a nommé l'otarie du mot grec "Otarion" qui signifie "Lobe d'oreille" à l'occasion du Voyage de découvertes aux terres australes sous le commandement du capitaine Nicolas Baudin effectué de 1800 à 1804. C'est en reprenant et en étudiant les différents textes de Georges-Louis Leclerc de Buffon que Péron va dissocier les phoques des otaries. Le chiot est le nom donné au petit de l'otarie[3].
Projet collaboratif créé en 2004 par DORIS (données d'observations pour la reconnaissance et l'identification de la faune et de la flore subaquatiques) by filigrine Nov 5