Piment : semis, culture et récolte Frileux mais facile à cultiver, le piment apporte du piquant dans les assiettes. À utiliser toutefois avec prudence et parcimonie ! Une solanacée qui ne manque pas de mordant ! Piment d'Espelette Le piment, Capsicum sp., appartient à la famille des Solanacées (comme les tomates). Capsicum frutescens, dont font partie le Tabasco et le piment oiseau (variété non domestiquée) ;Capsicum pubescens, le piment le plus consommé par les incas ;Capsicum baccatum (appelé aji en Amérique latine), qui a une bonne capacité à sécher ;Capsicum chinense, espèce provenant des Caraïbes (et non de Chine) et comprenant les variétés les plus fortes ;Capsicum annuum, l'espèce la plus cultivée dans le monde, comprenant entre autres les poivrons, les Cayenne, Corno di Toro... La forme des fruits varie autant que le nombre de variétés : en forme de corne, de cœur, rond, fin, large, grand ou petit... Semis et repiquage Capsicum annuum 'Purple delight' (piment fort) >> Lire : Les semis à chaud Conseils de culture Ennemis
L'agriculture urbaine : un bilan carbone plus lourd que l'agriculture conventionnelle L'agriculture urbaine désigne autant ces jardins partagés en arrière-cour que ces pieds de tomate disposés à la verticale sur les toits des immeubles. Des parcelles plus ou moins étendues, privées ou professionnelles, qui ont pour caractéristique commune de pousser au cœur des villes et dans les zones péri-urbaines - mais pas seulement. Une agriculture en lien avec la ville Selon la définition de la FAO - l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture - l’agriculture urbaine, c'est toute production agricole qui se fait en lien avec la ville. En clair, des champs de céréales au bord de l’Île-de-France vendu à un autre pays, ça n'en est pas. Agnès Lelièvre est maîtresse de conférence en agronomie à AgroParisTech : "Alors, il y a eu des études, généralement plutôt des cas d'études où on étudie une ferme en particulier et on la compare à la moyenne des importations. L’agriculture urbaine high-tech est productrice de CO2, mais qu'en est-il de la low-tech ?