44000 oeuvres picturales et de sculpture en accès libre et en haute résolution L’institut d’Art de Chicago propose en accès totalement libre 44000 œuvres d’art de très grande qualité, scannées en très haute résolution. On peut ainsi zoomer sur les détails de texture sur des statues antiques ou observer la finesse des textures dans night hawks d’Edward Hopper. Les images s’accompagnent de nombreuses informations annexes comme des indications sur la provenance et l’historique d’exposition, des éléments audio et vidéo de description, et aussi différents types de ressources pédagogiques dans lesquelles ces oeuvres ont été utilisées. Ces 44312 oeuvres dont le catalogue en ligne continue d’ailleurs de s’étoffer sont disponibles sur le site de l’Institut.
Les 5 finalistes du Prix de poésie Radio-Canada 2018 sont connus | Prix de la création Les poèmes inédits de Mario Brassard, d'Anne-Marie Desmeules, de Kristina G. Landry, de Mathieu Simoneau et de Marie-Hélène Voyer ont été choisis parmi plus de 1200 textes soumis au concours cette année. Le nom de la personne gagnante sera dévoilé le 14 novembre. La liste des finalistes de langue anglaise (CBC Poetry Prize) a été dévoilée mercredi sur le site de CBC Books. Les finalistes du Prix de poésie Radio-Canada 2018 Mario Brassard pour Séconal Le poète Mario Brassard Photo : Peter Parker Mario Brassard a grandi à Sainte-Flore, en Mauricie. Je ne voulais pas devenir poète. Séconal est une lettre d'adieu fictive qui tente de donner la parole à la poète Alejandra Pizarnik, qui a mis fin à ses jours le 25 septembre 1972. Anne-Marie Desmeules pour Bouleaux La poète Anne-Marie Desmeules Photo : Vincent Boulet Anne-Marie Desmeules a 37 ans et vit à Lévis depuis une dizaine d’années avec ses deux fils. Il a toujours été clair que l’écriture était pour moi plus qu’un passe-temps. Kristina G.
ALPAGE AnaLyse diachronique de l'espace PArisien : approche GEomatique Couches Analyses Scénarios Chronosignets Connexion Site Alpage ALPAGE AnaLyse diachronique de l'espace PArisien : approche GEomatique Vue générale Vue globale Géosignet Légende Légende en cours de chargement... x : y : Échelle 1/ Loading... New York City Municipal Archive : 870 000 superbes photos anciennes en accès libre La New York City Municipal Archive a récemment offert au public une base de données de plus de 870 000 clichés impressionnants, pris pendant toute la durée du 20ème siècle. Les sujets sont variés et ne recouvrent pas que les monuments connus où les choix des touristes. On a autant ici un aperçu des conditions de vie quotidienne que d’évènements incongrus ou spectaculaires, de l’architecture, du milieu du crime et tant d’autres points d’intérêt. Cette collection remarquable est à consulter sur leur site. Pour sa part le journal The Atlantic en présente un extrait de 50 images choisies par leurs soins, avec les liens streetview qui permettent de comparer la photo et le lieu original actuel.
MockupPhotos : une bibliothèque de mockups gratuits Les mockups sont toujours très utiles pour mettre en situation des sites web sur des présentations, ou sur des projets web et print. Voici une petite pépite qui vous permettra de combler tous vos besoins en mockups : mockup.photo. Bonus : beaucoup de fichiers sont gratuits. Le site se présente commune une bibliothèque d’images et propose des mockups payants et gratuits. Les fichiers gratuits sont largement suffisants pour la plupart des projets, mais si vous avez de gros besoins, une formule payante ($19/mois) permet d’accéder à 671 mockups de 16 créateurs. On apprécie particulièrement le large choix de modèle, le site ne présente pas uniquement des mockups web, mais aussi des intégrations IRL. Rendez-vous sur ce lien pour accéder aux différents fichiers proposés. Recevez par email toute l’actualité du digital
Herbier d'Emily Dickinson Close Dickinson, Emily, 1830-1886. Herbarium, circa 1839-1846. 1 volume (66 pages) in green cloth case; 37 cm. MS Am 1118.11, Houghton Library © President and Fellows of Harvard College. (seq. 1)(seq. 2)(seq. 3)(seq. 4)(seq. 5)(seq. 6)(seq. 7)(seq. 8)(seq. 9)(seq. 10)(seq. 11)(seq. 12)(seq. 13)(seq. 14)(seq. 15)(seq. 16)(seq. 17)(seq. 18)(seq. 19)(seq. 20)(seq. 21)(seq. 22)(seq. 23)(seq. 24)(seq. 25)(seq. 26)(seq. 27)(seq. 28)(seq. 29)(seq. 30)(seq. 31)(seq. 32)(seq. 33)(seq. 34)(seq. 35)(seq. 36)(seq. 37)(seq. 38)(seq. 39)(seq. 40)(seq. 41)(seq. 42)(seq. 43)(seq. 44)(seq. 45)(seq. 46)(seq. 47)(seq. 48)(seq. 49)(seq. 50)(seq. 51)(seq. 52)(seq. 53)(seq. 54)(seq. 55)(seq. 56)(seq. 57)(seq. 58)(seq. 59)(seq. 60)(seq. 61)(seq. 62)(seq. 63)(seq. 64)(seq. 65)(seq. 66)(seq. 67)(seq. 68)(seq. 69)(seq. 70)(seq. 71)(seq. 72)
Un historien dans la ville - Aires du commerce lyonnais au xviiie siècle - Éditions de la Maison des sciences de l’homme * « Aires du commerce lyonnais au XVIIIe siècle », dans Aires et structures du commerce français au (...) 1 Jean Peyrot, « Les techniques du commerce des soies au XVIIIe siècle, à travers les documents comm (...) 2 Pierre Léon, Jacqueline Fayollet et Maurice Garden, « Recherche conjoncturelle et milieux économiq (...) 1Il peut paraître ambitieux de vouloir atteindre la réalité du commerce lyonnais à partir d’une source unique. En réalité plusieurs enquêtes ont été réalisées par les chercheurs lyonnais pendant ces dernières années. Les papiers de commerçants, dont le Centre d’histoire économique de la région lyonnaise prépare la publication des inventaires, ont été l’objet de plusieurs études fragmentaires, monographies d’entreprises commerciales dispersées dans le temps, dans leur espace commercial également, souvent aussi dans leurs préoccupations. Quoi de commun entre un Fayet1, marchand d’étoffes de soie et un Cuentz ou un Gonzebat2 ? 18Mais ce n’est pas toujours le cas, loin de là.
Cet artiste détourne les objets du quotidien pour souligner l'absurdité de la vie moderne Oubliez tout ce que vous connaissez de notre monde, car l’artiste que nous allons vous présenter aujourd’hui risque sans aucun doute de vous embrouiller l’esprit. Cap sur l’Espagne afin de découvrir un photographe pas comme les autres nommé Octavi Serra.Originaire de Barcelone, cet artiste semble avoir une vision bien à lui du monde : il s’amuse en effet à mélanger des objets et n’importe quel élément du quotidien qui n’ont absolument rien à voir entre eux. Ainsi, dans le monde fabuleux (et fabulé) d’Octavi Serra, on marque par exemple des paniers de basket avec des oranges et on ne porte pas de sneakers mais directement le logo d’Adidas sur les pieds. Mais si on y regarde de plus près, les photographies d’Octavi Serra présentent une signification bien plus profonde. Il mélange de manière improbable les objets du quotidien 🤔 On vous laisse vous faire votre propre interprétation en découvrant ci-dessous notre sélection des interventions d’Octavi Serra. Crédits : Octavi Serra
Coverr : une banque de vidéos HD libres de droit Aujourd’hui, focus sur un nouvel outil qui vous sera utile si vous cherchez des vidéos libres de droit pour habiller votre site : Coverr ! L’outil propose des vidéos en haute définition, classées selon diverses thématiques et téléchargeables en un clic. Des vidéos ajoutées chaque semaine et classées selon 11 thématiques Sur Coverr, vous trouverez 11 thématiques différentes de vidéos en HD. De quoi vous permettre de trouver votre bonheur quel que soit le type de contenu que vous cherchez : FoodMoodNatureTechArtsyPeopleUrbanAnimalsAnimatedAerialVertical Autre point fort de la plateforme, 7 nouvelles vidéos y sont ajoutées chaque lundi. Téléchargez la vidéo de votre choix en un clic Une fois que vous avez navigué dans les catégories pour trouver la vidéo de votre choix, vous pouvez cliquer sur la mention « See as Coverr » pour la visualiser en plein écran et ainsi avoir un aperçu de ce qu’elle pourrait donner en fond sur votre site. Recevez par email toute l’actualité du digital
Laure Murat : “Toutes les femmes savent dès l’enfance qu’elles sont des objets sexuels” - Cinéma Sa position est particulièrement intéressante puisqu’elle est française et enseigne aux Etats-Unis. Rencontre avec l’essayiste et universitaire Laure Murat, qui vient de publier “Une révolution sexuelle ? Réflexions sur l’après-Weinstein”. Au menu : #MeToo, l’absence d’affaire Weinstein dans le cinéma français ou encore l’égalité érotique. En 2005, Laure Murat s’installe aux Etats-Unis où elle enseigne à l’université de Californie à Los Angeles (Ucla). Modeste, l’essai a le mérite de redonner de la perspective et d’appeler à un vrai débat de fond. Aux sources de votre livre, il y a, avant même l’affaire Weinstein, l’affaire DSK et les réactions qu’elle a suscitées en France, à l’époque… Ça a été un tournant dans mon cheminement personnel. Et puis j’ai dû ouvrir les yeux, changer d’avis, réformer ma façon de penser, et c’était passionnant. Quand l’affaire DSK éclate, cela fait six ans que je suis installée aux Etats-Unis. Quid des retombées sociales et culturelles ?
Consumptive Chic: A History of Beauty, Fashion, and Disease: Carolyn A. Day: Bloomsbury Academic “A well-researched and diligently compiled cultural history of tuberculosis.” – Book of the Week, Times Higher Education “Drawing on medical treatises, beauty manuals, fashion periodicals, and other literature of the period, this thoroughly researched and erudite work will satisfy those interested in social and cultural history.” – Library Journal “I enjoyed learning more about the historical development of the disease ... very well written, with substantial attention to detail.” – Fashion, Style and Popular Culture “[Carolyn] Day's monograph is a valuable addition to our understanding of just how a disease as overdetermined as consumption plays out across different discourses that constitute a particular social world: in this case, the period roughly covering 1780–1850.” – Social History of Medicine “Impeccably researched and beautifully executed, Consumptive Chic tells the surprising, wholly engrossing story of how a wretched disease became both fashionable and aesthetically pleasing.
Se promener dans dix mille images de street-art à travers le monde Le projet Google Art et Culture a récemment doublé la quantité d’images disponibles dans sa section street-art, déjà très fournie. C’est aujourd’hui plus de 10 000 images d’oeuvres classées géographiquement, par artiste, par projet et par genre qui attendent le flâneur numérique : il pourra retrouver les pépites d’art à côté de chez lui comme admirer celles de l’autre côté de la planète. Une large bande d’images se déroule et on peut se laisser attirer par les formes, les sujets où les couleurs pour en savoir plus. On peut également découvrir des expositions complètes de street art avec une présentation détaillée et une analyse de leurs contenus, comme pour le très expressif musée à ciel ouvert de La Pincoya (dont chaque oeuvre murale est ensuite consultable sur le même principe).