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Yacouba

Yacouba
Film documentaire de Mark Dodd (50 minutes) – Production 1080 Film and Television Ltd. Yacouba est né au Burkina Faso, dans la région semi-désertique du Sahel, où l’agriculture semble impossible. Il décide de stopper l’avancée du désert et de rendre le sol fertile pour permettre à la population qui a fui la famine de revenir. Patient et persévérant malgré la méfiance des villageois, Yacouba cultive sa terre en améliorant une ancienne technique nommée Zaï : il retient l’eau de pluie et utilise les termites pour enrichir la terre… Au Burkina, il existe une technique traditionnelle de fertilisation des sols, qui s’appelle le zaï. D’abord, il a creusé ces trous avant la saison des pluies. De surcroît, Yacouba avait compris l’importance de la présence de forêts pour protéger les cultures vivrières. Yacouba ne s’est pas contenté de reconstituer une forêt et d’améliorer les rendements agricoles: il s’est efforcé, ces dernières années, de transmettre son savoir.

Pierre Rabhi Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pierre Rabhi Pierre Rabhi en 2009. Pierre Rabhi, né en 1938 à Kenadsa, en Algérie[1], Rabah Rabhi de son vrai nom (en arabe رابح رابحي le vainqueur)[2],[3], est un essayiste, agriculteur biologiste, romancier et poète français, d'origine algérienne, inventeur du concept « Oasis en tous lieux ». Il défend un mode de société plus respectueux de l'homme et de la terre et soutient le développement de pratiques agricoles respectueuses de l'environnement et préservant les ressources naturelles, l'agroécologie, notamment dans les pays arides[4]. Il est le père de l'ingénieur Vianney Rabhi[5] (l'inventeur du procédé du moteur MCE-5, un dispositif permettant de rendre le taux de compression variable dans les moteurs à pistons) et de Sophie Rabhi-Bouquet (présidente de l'écovillage du Hameau des Buis[6]). Jeunesse algérienne[modifier | modifier le code] Pierre quitte Kenadsa pour Oran avec sa famille d'adoption et y suit deux années d'études secondaires.

Gestion du réseau alimentaire vivant du sol J'ai traduis et parfois adapté pour vous ces principes (ou règles) très utiles proposées par Jeff Lowenfels et Wayne Lewis dans l'excellent livre "Teaming with Microbes (Revised Edition)". Elles vous aideront à mieux comprendre les mécanismes qui rendent le sol vivant si fertile et à en prendre avantage en posant les bonnes actions. Je vous recommande le livre pour aller plus en profondeur dans le sujet. Certaines plantes préfèrent les sols dominés par les champignons, d'autres préfèrent les sols dominés par les bactéries. La plupart des légumes, des herbes et des annuelles préfèrent l'azote sous forme de nitrate et poussent mieux dans les sols dominés par les bactéries . La plupart des vivaces, des arbustes et des arbres préfèrent leur azote sous forme d'ammonium et poussent mieux dans les sols où dominent les champignons. Cliquez sur l'image pour la voir en grand. En bonus, une excellent vidéo pour mieux comprendre et reconstruire les sols!.

Cornelius Castoriadis Ce qui caractérise le monde contemporain ce sont, bien sûr, les crises, les contradictions, les oppositions, les fractures, mais ce qui me frappe surtout, c’est l’insignifiance. Prenons la querelle entre la droite et la gauche. Elle a perdu son sens. Les uns et les autres disent la même chose. Les responsables politiques sont impuissants. Il y a un lien intrinsèque entre cette espèce de nullité de la politique, ce devenir nul de la politique et cette insignifiance dans les autres domaines, dans les arts, dans la philosophie ou dans la littérature. La politique est un métier bizarre. Rien ne garantit que quelqu’un qui sache gouverner sache pour autant accéder au pouvoir. Je dis « pseudo-démocratie » parce que j’ai toujours pensé que la démocratie dite représentative n’est pas une vraie démocratie. Il y a la merveilleuse phrase d’Aristote : « Qui est citoyen ? On observe un recul de l’activité des gens. Et que font beaucoup d’intellectuels ? La crise n’est pas une fatalité

L'Homme qui plantait des arbres Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Vous lisez un « bon article ». L'Homme qui plantait des arbres est une nouvelle de langue française écrite en 1953 par l'écrivain français Jean Giono pour « faire aimer à planter des arbres », selon ses termes. Il s'agit de l'histoire, présentée comme authentique, du berger Elzéard Bouffier, personnage pourtant de fiction, qui fait revivre sa région, localisée en Haute Provence, entre 1913 et 1947, en plantant des arbres. Écrite à la suite d'une commande du magazine américain Reader's Digest, la nouvelle a eu un retentissement mondial. Elle est aujourd'hui considérée comme un manifeste à part entière de la cause écologiste. L'Homme qui plantait des arbres est aujourd'hui reconnu comme une œuvre majeure de la littérature d'enfance et de jeunesse et elle est, à ce titre, et pour son message écologique de développement durable, étudiée en classe. Résumé[modifier | modifier le code] Le manuscrit[modifier | modifier le code]

ivan illich Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le concept d'outil convivial est introduit par Ivan Illich dans La convivialité (Tools for conviviality, 1973) « pour formuler une théorie sur une société future à la fois très moderne et non dominée par l'industrie ». Il nomme conviviale « une telle société dans laquelle les technologies modernes servent des individus politiquement interdépendants, et non des gestionnaires ». Il qualifie ces individus d'austères, dans le sens de Thomas d'Aquin, qui fait de l'austérité une composante d'une vertu qu'il nomme amitié ou joie. Les outils conviviaux sont alors les outils maniés (et non manipulés) par ces individus dans cette société. Illich prend soin de signaler qu'en français « convivialité » a un sens particulier inventé par Brillat-Savarin, utilisable dans un contexte très précis, qui ne peut être confondu avec le contexte également précis où il l'emploie dans son essai. Convivialité[modifier | modifier le code] Voici quelques exemples :

Ivan Illich Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ivan Illich Biographie[modifier | modifier le code] Son père, Piero, vient d'une famille possédant des terres (vignes et oliviers) en Dalmatie, près de la ville de Split en Croatie. Sa mère, Ellen, descend d'une famille juive allemande convertie. Pendant les années 1930, la xénophobie et l'antisémitisme montent en Yougoslavie. Venant d'une famille aristocratique ayant d'anciens liens avec l'Église catholique, il était destiné à devenir un prince de l'Église[2]. Mais en 1951, il part aux États-Unis avec l'idée d'étudier les travaux d'alchimie d'Albertus Magnus à Princeton. En 1956, il est nommé vice-recteur de l'université catholique de Porto Rico. Il quitte Porto Rico en 1960 à la suite d'un différend avec la hiérarchie de l'Église, représentée par deux évêques qui, participant à la vie politique, s'opposent à tout candidat qui voudrait légaliser les préservatifs[3]. Théories[modifier | modifier le code] — Ivan Illich, Énergie et équité, 1975

Programme du Conseil national de la Résistance Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Programme du Conseil national de la Résistance souvent abrégé en Programme du CNR, et intitulé dans sa première édition « Les Jours Heureux par le C.N.R. »[1], est un texte adopté à l'unanimité par le Conseil national de la Résistance français le . Ce texte de moins d'une dizaine de feuillets[2] comprend deux parties, un « plan d'action immédiate » qui concerne l'action de la Résistance intérieure française à mener dans l'immédiat dans la perspective de la Libération et les « mesures à appliquer dès la Libération du territoire », sorte de programme de gouvernement qui comprend à la fois des mesures ayant trait à l'épuration et des mesures à plus long terme comme le rétablissement du suffrage universel, les nationalisations ou la sécurité sociale. La postérité a plus retenu la seconde partie, car la majorité des propositions de caractère programmatique fut effectivement adoptée entre la Libération de 1944 et le début de 1946.

Mohandas Karamchand Gandhi Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Vous lisez un « article de qualité ». Mahatma Gandhi Mohandas Karamchand Gandhi, en août 1942 Mohandas Karamchand Gandhi (en gujarati મોહનદાસ કરમચંદ ગાંધી (mohandās karamcaṃd gāndhī), API [ˈmoː.ɦən.d̪aːs ˈkə.rəm.t͡ʃənd̪ ˈɡaːn.d̪ʱi ] Écouter), né à Porbandar (Gujarat) le 2 octobre 1869 et mort assassiné à Delhi le 30 janvier 1948, est un dirigeant politique, important guide spirituel de l'Inde et du mouvement pour l'indépendance de ce pays. Il a été un pionnier et un théoricien du satyagraha, de la résistance à l'oppression à l'aide de la désobéissance civile de masse, le tout fondé sur l'ahimsa (« non-violence »), qui a contribué à conduire l'Inde à l'indépendance. Gandhi conduisit la marche du sel, célèbre opposition à la taxe sur le sel. Adepte de la philosophie indienne, Gandhi vivait simplement, organisant un ashram qui était autosuffisant. Gandhi est reconnu comme le Père de la Nation en Inde, où son anniversaire est une fête nationale.

Louise Michel Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Louise Michel Louise Michel, gravure de Néraudan. Préoccupée très tôt par l'éducation, elle enseigne quelques années avant de se rendre à Paris en 1856. À 26 ans, elle y développe une activité littéraire, pédagogique, politique et activiste importante et se lie avec plusieurs personnalités révolutionnaires blanquistes de Paris des années 1860. Elle demeure aujourd'hui une figure révolutionnaire et anarchiste. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse[modifier | modifier le code] Louise Michel en 1839. Louise Michel naît le en Haute-Marne au château de Vroncourt, fille de la servante Marie-Anne Michel[N 1] et « de père inconnu », vraisemblablement Laurent Demahis, fils du châtelain[1],[2]. Après la mort des Demahis en 1850, Louise est dotée par eux d'un petit pécule, mais elle et sa mère doivent quitter la maison de Vroncourt mise en vente par la veuve et les enfants légitimes de Laurent Demahis[4]. À Paris[modifier | modifier le code]

Daniel Mermet Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Mermet. Daniel Mermet, né le 16 décembre 1942 aux Pavillons-sous-Bois (actuelle Seine-Saint-Denis[n 1]), est un journaliste, écrivain et producteur de radio français principalement connu pour son émission Là-bas si j'y suis sur France Inter. Mermet est également cofondateur d'Attac[1],[2], reprenant en décembre 1997 à l'antenne de France Inter l'idée d'Ignacio Ramonet de créer ce groupe contre ce qui est présenté comme l'incurie des marchés[3]. Personnalité engagée, se définissant lui-même comme « ethniquement rouge »[4] mais sans être affilié à un parti politique, Daniel Mermet refuse l'étiquette de « militant »[5]. Biographie[modifier | modifier le code] Formation et débuts professionnels[modifier | modifier le code] Il est issu d'une famille ouvrière de la banlieue parisienne, comptant huit enfants[5]. Les années 1970 et 1980[modifier | modifier le code] Ligne éditoriale[modifier | modifier le code]

Denis Robert Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Portrait de Denis Robert en 2012 (Photo: NR, agence Poppy) Denis Robert en juin 2011 au Grand-Duché de Luxembourg lors du vernissage d'une exposition (Photo: François Besch) Ses livres, films et interviews à la presse, dénonçant le fonctionnement opaque de la chambre de compensation financière Clearstream, lui ont valu de nombreuses procédures judiciaires (une soixantaine) intentées contre lui en France, en Belgique et au Luxembourg, par des banques comme Menatep (une banque russe), la Banque Générale de Luxembourg (filiale de Fortis) et bien sûr la société Clearstream. Il a été, en 2008, au cœur d'une polémique qui l'a opposé à l'ancien patron du journal Charlie Hebdo, Philippe Val et au journaliste Edwy Plenel. Biographie[modifier | modifier le code] Fin 1997, Denis Robert cherche également à dénoncer les conséquences de ce qu'il appelle la "machine" (le système économique capitaliste) pour les plus démunis.

Christian Vélot Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Christian Vélot Christian Vélot en mai 2009 à Orsay. Christian Vélot, né en 1964 à Parennes, est un biologiste et homme politique français. Biographie[modifier | modifier le code] Considéré comme un lanceur d'alerte[3], il est particulièrement impliqué dans le débat autour des OGM et anime des conférences de vulgarisation[4] pour expliquer ce qu'est un OGM et bien différencier les OGM de laboratoire utilisés dans la recherche fondamentale et médicale de ceux utilisés dans l'industrie agroalimentaire. Il a rencontré des difficultés avec sa hiérarchie qui lui reprochait d'impliquer son institution dans ses prises de position publiques sur les OGM, mais suite à une importante mobilisation et à 50 000 signatures de soutien, une délégation a été reçue par la présidente de l'Université le 9 juillet 2008 et a reçu un accueil favorable[5]. Publications[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code]

Albert Jacquard - Wikipédia-Mozilla Firefox Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Jacquard. Albert Jacquard Albert Jacquard, en 2009. Albert Jacquard, né le dans le 1er arrondissement de Lyon, et mort à Paris le [1], est un chercheur et essayiste français. Spécialiste de génétique des populations, il a été directeur de recherches à l'Institut national d'études démographiques et membre du Comité consultatif national d'éthique. Il est également connu pour ses engagements citoyens, parmi lesquels la défense du concept de la décroissance soutenable, le soutien aux mouvements du logiciel libre, à la langue internationale espéranto, aux laissés-pour-compte et à l'environnement. Biographie[modifier | modifier le code] Albert Jacquard obtient à Besançon deux baccalauréats, Mathématiques élémentaires et Philosophie, en 1943[5],[6]. « J’ai vécu la Libération comme un événement extérieur. « Par le passé, j’étais guidé par la soumission et le conformisme. Le 5 janvier 1952, il épouse Alix Domergue.

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