
Métro Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Metro. Le métro (apocope de métropolitain, pour « chemin de fer métropolitain »), est un moyen de transport en commun urbain, souterrain le plus souvent, mais qui peut également reposer sur des infrastructures aériennes, et plus rarement au sol (qui est un terrain prédestiné au tram). Le plus grand réseau de métro de par la longueur des voies et le nombre de stations est celui de New York. Définition[modifier | modifier le code] En 1981, le Comité des Métropolitains de l’UITP définit « le chemin de fer métropolitain » comme « un chemin de fer conçu pour constituer un réseau permettant le transport d’un grand nombre de voyageurs à l’intérieur d’une zone urbaine au moyen de véhicules sur rails avec contrôle externe, dans un espace totalement ou partiellement en tunnel et entièrement réservé à cet usage. » Histoire[modifier | modifier le code] Débuts[modifier | modifier le code] Essor[modifier | modifier le code]
Musée virtuel - Reproduction de tableaux - Copies de peintures à l'huile peinte à la main Musique moderne Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. On désigne souvent par musique moderne la musique savante composée pendant la première partie du XXe siècle, le terme de musique contemporaine pouvant s'appliquer à la deuxième moitié. On regroupe donc sous cet intitulé des compositeurs aussi différents que Debussy, Satie, le « Groupe des Six », Stravinski, Béla Bartók, Georges Enesco, Richard Strauss, Ravel, Schönberg, Sibelius... Seule la chronologie est significative, car cette période n'a pas d'unité de style : elle est au contraire celle de la floraison d'expériences et d'esthétiques diverses et souvent opposées, en particulier dans le cadre de la trialité « musique tonale — musique modale — musique atonale » qui se développe à cette époque ; certains compositeurs resteront cependant et parfois volontairement à l'écart des évolutions en cours. Le tournant du XXe siècle[modifier | modifier le code] Un bouleversement harmonique[modifier | modifier le code] Alberto Ginastera (1916-1983)
Ministère de la culture - Direction générale des patrimoines - Service des musées de France - Joconde, portail des collections des musées de France BOUDIN Eugène, Venise, La douane et Notre-Dame-de-la-Salute, huile sur bois, 1895, Reims, musée des beaux-arts © Christian Devleeschauwer1/28 Costume de China Poblana, Mexique, coton, laine, sequin, perle de verre, 4e quart 19e siècle, 1er quart 20e siècle, Barcelonnette, musée de la Vallée, © BERNARD Jean2/28 MAISON J ROTHSCHILD & Fils et RHEIMS & AUSCHER, Modèle de landau à huit ressorts, crayon graphite sur papier bristol, 4e quart 19e siècle - 20e siècle, Compiègne, musée national de la voiture et du tourisme © Arkhênum ; Compiègne, musée national de la voiture et du tourisme - utilisation soumise à autorisation3/28 Portrait de Tiberius Gemellus ? DE DIETRICH, Saint Georges terrassant le dragon, bas-relief, fonte moulée, entre 1950 et 1960, Reichshoffen, musée historique et industriel, musée du fer © Pommois Etienne28/28
Claude Debussy Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Claude Debussy est un compositeur français, né le 22 août 1862 à Saint-Germain-en-Laye et mort le 25 mars 1918 à Paris. Une part importante de son œuvre est pour piano (la plus vaste de la musique française avec celle de Gabriel Fauré[1]) et utilise une palette sonore particulièrement riche et évocatrice. Claude Debussy laisse l'image d'un créateur original et profond d'une musique où souffle le vent de la liberté. Son impact sera décisif dans l'histoire de la musique. Biographie[modifier | modifier le code] Enfance[modifier | modifier le code] Maison natale datée du XVIIe siècle, devenue Office de Tourisme au rez-de-chaussée et Musée Claude Debussy à l'étage. Achille-Claude Debussy naît dans la maison familiale au 38, rue au Pain à Saint-Germain-en-Laye, le 22 août 1862[3]. « Cher Monsieur Réty, je vous adresse un enfant que son père désirerait faire entrer dans une classe de piano. Les années d'apprentissage[modifier | modifier le code]
Château de Chambord En 1519, François Ier ouvre à quelques lieues de Blois, au cœur d’un désert d’arbres et de marais prés d’un village à demi abandonné, un immense chantier dont il ne verra pas la fin. François Ier visite quatorze fois le chantier de Chambord. Le château connaît l’abandon régulier propre aux résidences royales : le roi, en effet, sillonne son royaume pour se faire voir et imposer son autorité. L’édifice conserve la silhouette d’un château fort, flanqué de tours, ceinturé de douves ; mais les innovations rapportées d’Italie lui donnent sa singularité. Vainqueur de la bataille de Marignan, François I entend séduire par les pierres comme il a séduit par les armes. Au sortir de l’escalier, on prend pied sur les terrasses. Château et parc sont indissociables. La terrasse relie le donjon à l’aile royale. Chambord est un château à deux visages : au sud, un donjon enserré d’une enceinte et au nord, la majestueuse ordonnance d’une façade étirée sur quelque 156 mètres. Le Château de Chambord
Mode en 1900 Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'évolution de la silhouette masculine[modifier | modifier le code] Un homme du monde en 1895. L'élégant Robert de Montesquiou, dandy et poète. De même, les tenues des ouvriers et des paysans restent très figées, comme tout au long du siècle précédent. Les cheveux étaient généralement portés courts ; ni favoris ni cheveux mi-longs n'étaient plus en faveur. L'évolution de la silhouette féminine[modifier | modifier le code] En 1895 : le summum de la mode des manches gigot.En 1897 : les manches redeviennent plus simples.En 1901, la nouvelle silhouette en S.Publicité d'un corsetier pour ses corsets nouveaux.Tenues de soirée en 1906. De façon générale, la jupe a perdu de l'ampleur de façon assez régulière, des années 1870 à 1910, tandis que le haut du corps, après avoir commencé à s'élargir pour compenser (manches gigot des années 1895), s'est mis lui aussi à s'amincir. Les dessous[modifier | modifier le code] Les dessous de 1895-1900
Visites panoramiques Vue 1 de la chapelle du musée Vue 2 de la chapelle du musée Vue 3 de la chapelle du musée Vue du jardin et du cloître du musée Les Terrasses saint Pierre, café-restaurant du musée Salon des fleurs Salles des peintures françaises du XVIIe siècle Salle des peintres lyonnais Le cycle du Poème de l'âme de Louis Janmot Salles des impressionnistes Vue 1 du réfectoire du musée Vue 2 du réfectoire du musée Les toits de Lyon vus du musée Definition du glossaire
Alfons Mucha Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Alfons Mucha Alfons Maria Mucha (Chicago, 1906) Œuvres réputées Le Pater Affiche publicitaire F. Alfons Maria Mucha, est un affichiste et un peintre tchèque né à Ivančice (ville de Moravie qui faisait alors partie de l'Empire d'Autriche, aujourd'hui sise en République tchèque) le et mort à Prague le , fer-de-lance du style Art nouveau. Biographie[modifier | modifier le code] Les débuts[modifier | modifier le code] La vie parisienne[modifier | modifier le code] L'essor parisien[modifier | modifier le code] Chez la mère Charlotte[modifier | modifier le code] Peu après son arrivée à Paris, conseillé par son camarade de l'Académie Colarossi, Wladyslaw Slewinski, Mucha s'installe au-dessus d'un petit restaurant (on disait une « crèmerie ») situé rue de la Grande-Chaumière[réf. souhaitée], à côté de l'académie. Les modèles de Mucha[modifier | modifier le code] Dès ses débuts à Paris, Mucha photographie ses modèles. Bibliographie[modifier | modifier le code]
Visite virtuelle du musée - Le Mémorial de Caen - Seul, en famille ou entre amis - Groupes adultes - Groupes scolaires