Anagène
Biodiversité : Environ 15% de la faune endémique menacée en Martinique
La biodiversité en péril en Martinique. Près de 15 % de la faune endémique de Martinique est « en danger », à cause de l’urbanisation, de la pollution, du tourisme et de la pêche, révèle mercredi une étude de l' Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). 15 espèces ont disparu « Sur les 427 espèces indigènes évaluées, près de 15 % apparaissent menacées », selon des analyses réalisées par le Comité français de l’UICN, l’Office français de la biodiversité (OFB), le Muséum national d’Histoire naturelle, et des spécialistes de la faune martiniquaise. « Au total, 15 espèces ont déjà disparu, 62 sont menacées et 56 autres sont quasi menacées », ajoute l’UICN. L’UICN met en cause l’urbanisation, qui détruit les habitats, notamment dans « les forêts semi-humides du sud », ou un escargot comme le « pleurodonte déprimé » est « en danger critique » dans la liste rouge de l’UICN. Pesticipes et pollutions lumineuses La biodiversité en péril en Martinique. 15 espèces ont disparu
Le plastique : menace sur les océans
Chaque année, l’humanité déverse six millions de tonnes de plastique dans les mers. L’océanographe et militant écologiste Marcus Eriksen sillonne le Pacifique Sud, des côtes chiliennes à l’île de Pâques, pour repérer un des tourbillons océaniques où se concentrent ces plastiques. Deux "îles" de déchets non biodégradables ont déjà été découvertes, l'une dans le Pacifique Nord, l'autre dans l'Atlantique Nord, et trois restent à localiser dans l’hémisphère Sud. Avec quel impact ? Multiples pollutions Chimistes, océanographes et ornithologues mettent en lumière les multiples facettes du phénomène, à commencer par les mammifères étranglés et les oiseaux étouffés.
La chute de la biodiversité s'accélère : 58 % des populations de vertébrés ont disparu en seulement 40 ans
La 6e extinction massive du vivant se confirme : selon l'édition 2016 du rapport Planète Vivante du WWF, les populations d'animaux vertébrés ont chuté de 58 % entre 1970 et 2012, un chiffre catastrophique qui trouve ses origines dans notre empreinte écologique devenue insoutenable... Tous les deux ans, l'ONG WWF réalise une analyse scientifique de la santé de notre planète, du vivant et l'impact des activités humaines intitulé Rapport Planète Vivante. Le rapport 2016 s'intitule "risque et résilience dans l'Anthropocène", en référence à cette nouvelle "ère géologique" marquée par l'empreinte des activités humaines sur notre planète. En seulement 40 ans, 58 % des populations animales de vertébrés ont disparu Le déclin se poursuit donc malgré la mobilisation, sans précédent, de la société civile et en dépit de la tenue régulière de grands sommets sur la Terre... "Que la biodiversité poursuive sa chute, et le monde naturel que nous connaissons aujourd'hui s'effondrera d'un seul tenant. Notes
L'extinction d'une espèce peut en entraîner d'autres…
Par un effet domino, l'extinction d'une espèce peut en entraîner d'autres. Des chercheurs montrent qu'il y a plus de risque d'extinctions en cascade lorsqu'aucune espèce ne vient boucher le trou laissé par la disparition d'une autre. Les activités humaines continuent de causer la disparition d’espèces, au point de provoquer la sixième extinction de masse de l'histoire de la planète. Or, cette perte de biodiversité pourrait avoir des conséquences dramatiques. Des chercheurs de l'université d'Exeter (Royaume-Uni) ont réalisé des prédictions en travaillant sur des communautés de plantes et d'insectes, notamment la guêpe parasitoïde Aphidius megourae. S'ils retiraient une espèce de guêpes de l'écosystème, d'autres espèces indirectement liées pouvaient disparaître. Pour Dirk Sanders, de l'université d'Exeter, « les interactions entre les espèces sont importantes pour la stabilité de l'écosystème ». La perte de biodiversité accroît la vulnérabilité de l'écosystème Cela vous intéressera aussi
#TeamSorciers Oooooh la belle... - L'Esprit Sorcier
Les herbivores sont plus à risque d'extinction que les prédateurs Par AFP - Publié le 05/08/2020 à 20h07 - Mis à jour le 06/08/2020
Les animaux herbivores courent un plus grand risque d'extinction que les prédateurs et les omnivores, selon une étude parue mercredi dans la revue Science Advances -- et ce, qu'ils soient des mammifères, des oiseaux ou des reptiles. Le risque est particulièrement élevé pour les reptiles herbivores, comme les tortues, et les grands herbivores, comme les éléphants. Mais la tendance se vérifie quels que soient l'habitat (désert, forêts...) et la classe (mammifères, oiseaux, reptiles), selon cette analyse portant sur plus de 24.500 espèces vivantes et disparues. Les auteurs de l'étude, issus de plusieurs universités dont celle de l'Utah et l'Imperial College London, écrivent que les prédateurs sont souvent perçus comme les plus vulnérables, en raison de leurs territoires étendus et du rythme faible de la croissance de leurs populations, et parce que des études nombreuses se sont intéressées à des prédateurs spécifiques et charismatiques, effectivement en danger. Des exceptions existent
Surexposition aux écrans des enfants symptômes et solutions
Alertez les bébés ! Nous découvrons les nouvelles pathologies liées au virtuel, et elles sont plus qu'inquiétantes... ITW choc du médecin Anne-Lise Ducanda. Anne-Lise Ducanda est médecin en PMI. Depuis 5 ans, elle reçoit de plus en plus d'enfants en très grande difficulté. En mars dernier, vous avez posté une vidéo sur YouTube pour alerter les parents sur les dangers de la surexposition aux écrans. ANNE-LISE DUCANDA : Je suis médecin en PMI, je vois donc tous les jours en consultation de très jeunes enfants de classes de maternelle. Comment expliquez-vous le caractère si massif et si récent de ce phénomène ? A. Au rayon jouets, on trouve maintenant des tablettes pour les enfants à partir de 9 mois (VTECH baby). Vous décrivez la surexposition aux écrans comme une épidémie silencieuse. A. Sur un écran, ils ont appris à faire glisser les images, à effleurer l’écran mais pas à tenir avec leur main, ni à serrer leurs doigts. A. A. A. Les symptômes semblent pouvoir disparaître assez rapidement. A. A.
multinationales
On l’a donné hier pour les OGM : OGM : le parlement européen ouvre une voie royale à Monsanto et Pionner, ce qui est une ÉNORME news, hé bien le reste arrive, c’est une réelle menace …. : il est temps d’être plus vigilants que jamais . Z . Un nouveau tour de vis vient d’être donné aux politiques agroalimentaires en Europe. Il s’agit du Traité de libre-échange entre les États-Unis et l’Union européenne (UE), plus connu sous le nom de TTIP (son sigle en anglais pour Transatlantic Trade and Investment Partnership), l’ombre grandissante de l’agroalimentaire qui s’étend des champs à l’assiette. Comme des vampires assoiffés de sang, les multinationales du secteur attendent pour se sucrer, et ce beaucoup, grâce à ces nouvelles mesures de libéralisation commerciale. Mais en quoi consiste le TTIP ? Et en ce qui concerne l’agriculture et l’alimentation ? Si le Traité de libre échange entre les États-Unis et l’Union européenne devait être approuvé, quels impacts aurait-il dans nos assiettes ?