
La trilogie culte Musashi, inspirée des écrits de Hideji Hōjō et Eiji Yoshikawa Carlotta Films annonce une ressortie au cinéma des trois films, en version restaurée, pour le 4 août prochain. Inagaki s'est notamment appuyé, pour ses scénarii, sur la biographie du rōnin Musashi signée par Eiji Yoshikawa. Une biographie quelque peu romancée, publiée en feuilleton par le journal Asahi Shinbun dans les années 1930. Deux tomes ont été publiés, La Pierre et le Sabre et La Parfaite Lumière, traduits en français par Léo Dilé aux éditions Jai Lu. Japon, 1600. Les 15 meilleurs films sur l’art Des biopics sur des figures aussi diverses que Frida Kahlo, Camille Claudel, Edvard Munch ou William Turner, un fantastique film d’animation qui donne vie aux toiles de Vincent van Gogh, une plongée documentaire dans le quotidien de la National Gallery de Londres… Au cinéma, l’art est partout, et sous toutes ses formes. D’un portrait intime de Jean-Michel Basquiat à The Square, satire du monde de l’art, en passant par le road trip photographique d’Agnès Varda avec JR, Visages Villages, Beaux Arts révèle sa liste des quinze films sur l’art à voir absolument. Van Gogh de Maurice Pialat (1991) : l’homme derrière le génie C’est le plus surprenant des nombreux longs-métrages inspirés par la vie de Vincent van Gogh. À l’opposé du lyrisme en Technicolor du biopic de Vincente Minnelli, Maurice Pialat livre un film d’une simplicité déconcertante sur les derniers jours de l’artiste à Auvers-sur-Oise. Réalisé par Maurice Pialat Séraphine de Martin Provost (2008) : Yolande Moreau en peintre oubliée
Quels films faire découvrir ou redécouvrir à vos enfants ? Difficile de se mettre d’accord sur la séance ciné du week-end à la maison sans se faire immédiatement taxer de "boomer". Compliqué de trouver un consensus qui réunisse toutes les générations assises dans le canapé. Un film en noir et blanc ? Ariane Ascaride, actrice et comédienne, marraine de Mon premier festival, et Lydia Boukhrief, monteuse, ainsi que Nicolas Boukhrief, scénariste et réalisateur, ont élaboré ensemble, une liste de films immanquables à regarder en famille_._ Ils sont les invités de l'émission "Barbatruc" de Dorothée Barba. "Retour vers le futur" de Robert Zemeckis Nom de Zeus ! 27 octobre 1985, 11 heures. La chronique de Suzanne - Radio Velpo ! 3 min Le film n'a presque pas pris une ride, mis à part peut-être quelques effets spéciaux, ce qui lui confère un certain charme. Pour afficher ce contenu Youtube, vous devez accepter les cookies Publicité. “La Guerre des boutons” d’Yves Robert Deux camps s'affrontent. “Mon voisin Totoro” d’Hayao Miyazaki 1 min
Lenny & Harpo Guit: "Notre leitmotiv? comment faire en sorte que la nouvelle scène soit encore pire que la précédente!" - Cinevox Alors que leur premier long métrage, Fils de plouc, sort ce mercredi dans les salles belges, retour sur ce projet déjanté avec les jeunes cinéastes Lenny & Harpo Guit. Un film tellement barré qu’il vient de recevoir un prix spécial au Fifigrot, Festival du film de Groland, alors qu’il n’y était même pas sélectionné, prix attribué en son âme et conscience par Michael Kael aka Benoît Delépine en personne, qui venait de découvrir le film au BRIFF! Pouvez-vous revenir rapidement sur votre parcours ? Lenny Je suis entré à l’IAD pour faire du montage à 18 ans, et Harpo m’a rejoint à Bruxelles où il est entré au Conservatoire en théâtre. Harpo Nous avions essayé de financer le film autrement, nous étions prêts à le faire avec zéro euro, du coup l’opportunité était trop belle. Qu’est-ce qui a nourri cette envie de cinéma à l’origine ? Notre père est réalisateur, et nous montre des films depuis notre plus tendre enfance, c’est comme ça qu’est née notre cinéphilie. C’est un peu tout ça. Harpo Lenny
Vingt ans après sa sortie, "Perfect Blue" de Satoshi Kon nous hante encore - Les Inrocks Sorti en France il y a vingt ans, le premier long-métrage de Satoshi Kon a contribué à changer notre regard sur l’animation japonaise. Retours sur quelques motifs clefs d’une œuvre au pouvoir de fascination toujours intact. Cet article comporte des révélations sur l’intrigue du film Perfect Blue. Satoshi Kon a traversé le ciel de l’animation japonaise comme un météore : en dix ans, quatre longs-métrages et une série, il y a tracé un sillon aussi singulier que magnétique, conjuguant la profondeur du drame psychologique au vertige d’un réel en décomposition hallucinée, avant d’être emporté par un cancer à l’âge de quarante-six ans. Un premier film vertigineux Touche-à-tout brillant diplômé en design visuel et formé auprès de Katsuhiro Otomo (le papa d’Akira) et de Mamoru Oshii (celui de Ghost in the Shell), Satoshi Kon passe à la réalisation en 1997 après avoir publié plusieurs mangas. Un thriller psychologique vénéneux Dans la prison des images Alexandre Büyükodabas
Patrick Dewaere, itinéraire d’un acteur prodige… - rtbf.be 10 BD sur le cinéma à lire pendant le Festival de Cannes - Les Inrocks Alors que débute le Festival de Cannes ce mardi 17 mai, voici une sélection des dix bandes dessinées qui, d’Alice Guy à Orson Welles, s’attaquent aux icônes et aux secrets du grand écran. Catel et Bocquet, Alice Guy En 2018, le documentaire américain Be Natural : L’histoire cachée d’Alice Guy-Blaché avait été projeté à Cannes. Depuis, suite à leurs bios de Joséphine Baker ou Kiki de Montparnasse, Catel et Bocquet ont rendu hommage à cette pionnière du cinéma – elle est la première réalisatrice française –, trop méconnue dans son propre pays. Casterman, 400 p., 24,95 €. Riad Sattouf, Le Jeune Acteur 1 Pour son long métrage Les Beaux Gosses, Riad Sattouf tombe sur un ado que ce fan de Truffaut espère être son Jean-Pierre Léaud : Vincent Lacoste. Les Livres du Futur, 140 p., 21,50 €. Guillaume Dorison, Damien Maric et Jean-Baptiste Hostache, Les Pionniers – La Machine du diable Rue de Sèvres, 152 p., 25 €. Noël Simsolo & Alberto Locatelli, Orson Welles, l’inventeur de rêves Glénat, 168 p., 25 €.
WIP - Inu-Oh : Un duo prometteur au cœur du nouveau projet de Masaaki Yuasa Dans le cadre du Festival international du film d’animation d’Annecy en ligne, j’attendais avec impatience la présentation d’Inu-Oh, le nouveau long métrage produit par Science Saru et sur lequel travaille Masaaki Yuasa, le réalisateur de Lou et l’île aux sirènes (gagnant du cristal en 2017) ou encore la série Devilman Crybaby, disponible sur Netflix. Avec Inu-Oh, le regard du réalisateur se tourne vers le passé pour adapter le roman Heike Monogatari: Inu-Oh no Maki de Hideo Furukawa. Il nous transporte au XIVème siècle pour faire la connaissance d’Inu-Oh, un artiste au visage difforme, qui se lie d’amitié avec un joueur de biwa aveugle, Tomona. De leur rencontre et de leur amitié naît leur succès dans le Sarugaku Noh, cette forme de théâtre japonais très populaire dans le Japon féodal. L’artiste Inu-Oh a existé, il fut vraisemblablement une super star de cette époque et a durablement influencé son temps et le monde de théâtre.