14 février 1945 - Dresde réduite en cendres
Dans la nuit du 13 au 14 février 1945, la ville de Dresde est victime du plus brutal bombardement aérien de la Seconde Guerre mondiale (à l'exception de Tokyo, Hiroshima et Nagasaki). Dent pour dent... Dès le début du conflit, le Premier ministre britannique Winston Churchill confie au « Bomber Command » de la Royal Air Force la mission de détruire les sites stratégiques de l'ennemi. Le « Bomber Command » lance d'abord des attaques sur des sites stratégiques uniquement (zones industrielles et noeuds de communication). Le Premier ministre place alors le général Arthur Harris à la tête du «Bomber Command» et, le 14 février 1942, autorise les bombardements massifs étendus aux zones urbaines. Escalade de la violence 1,35 million de tonnes de bombes seront au total déversées sur l'Allemagne par les Anglo-Saxons. Dresde marque le paroxysme de cette stratégie. Une grande partie de la ville est réduite en cendres et avec elle environ 35 000 personnes, dont 25 000 ont été identifiées.
Opportunités et antisémitisme. Le logement à Paris, 1943-1944
Hans Günther Adler, Der verwaltete Mensch. Studien zur Deportation der Juden aus Deutschland, Tübingen, Mohr, 1974. Götz Aly, Hitler’s Beneficiaries : Plunder, Racial War and the Nazi Welfare State, New York, Metropolitan Books, 2007. Isabelle Backouche, « Rénover le centre de Paris : quel impact sur les marges ? 1940-1970 », in Florence Bourillon, Annie Fourcaut (dir.), Agrandir Paris, 1860-1970, Paris, Publications de la Sorbonne, 2012, p. 325-341. Isabelle Backouche, Paris transformé. Isabelle Backouche, Sarah Gensburger, « Expulser les habitants de l’îlot 16 à Paris à partir de 1941 : un effet d’‘aubaine’? Gerhard Botz, Wohnungspolitik und Judendeportation in Wien 1938 bis 1945 : Zur Funktion des Antisemitismus als Ersatz nationalsozialistischer Sozialpolitik, Wien/Salzburg, Geyer, 1975. Frédérique Boucher, « Les planificateurs et le logement, 1942-1952 », Cahiers de l’IHTP, no 5, juin 1987, p. 83-91. Christophe Capuano, Vichy et la Famille. Hanna Diamond, Fleeing Hitler. Shannon L.
Le sourire d'Auschwitz
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1940-1944 - Les années noires de la Collaboration
La Collaboration débute formellement le 24 octobre 1940, avec la poignée de main entre Hitler et Pétain à la gare de Montoire. Ce jour-là, le vieux maréchal, chef de l'État français, évoque la « voie de la collaboration sincère » entre les deux pays, le vainqueur et le vaincu, l'occupant et l'occupé. Pour Hitler, l'enjeu est essentiel. La France, en effet, est de loin la plus grande et la plus riche de ses conquêtes et il a besoin de ses ressources agricoles et industrielles afin de poursuivre la guerre contre l'Angleterre et plus tard l'URSS. Il attend de l'administration et des gouvernants français qu'ils mettent ces ressources à sa disposition sans trop de résistance. La France sous l'Occupation Cliquez pour agrandir Envahie en six semaines par les armées hitlériennes en mai-juin 1940, la France se résigne à l'occupation de la plus grande partie de son territoire. Une collaboration consensuelle Du pacifisme à la compromission avec l'occupant L'engrenage
Viols nazis en Drôme (1944)
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Auschwitz-Birkenau Virtual Tour - Auschwitz-Birkenau - Wirtualne zwiedzanie
1939-1945 : Londres, Tokyo, Dresde, à l'heure des bombardements massifs
En deux jours, du 13 au 15 février 1945, la Royal Air Force britannique et l’US Air Force rayent de la carte le centre-ville de Dresde, capitale de la Saxe, en Allemagne. Le bilan est effroyable (25 000 morts) mais il n’est pas le plus lourd de la Seconde Guerre mondiale. En 1940, le Blitz ordonné par Hitler tue plus de 40 000 Britanniques… Autant qu’à Hambourg en 1943 où les rôles sont inversés. Mais c’est au Japon que les pertes sont les plus grandes : plus de 100 000 tués à Tokyo en 1945 dans le bombardement le plus meurtrier de l’Histoire, quelques mois avant Hiroshima et Nagasaki où deux bombes atomiques tuèrent entre 150 000 et 250 000 personnes. L’aviation pour en finir avec la guerre des tranchées Au déclenchement de la Seconde Guerre mondiale paradoxalement, l'aviation suscite beaucoup d'espoirs chez ceux qui veulent éviter les grands massacres. L’utilisation de l’aviation est alors envisagée dans une visée stratégique, pour gagner une guerre. L’engrenage des représailles
Quand la Gestapo japonaise massacrait les Français d’Indochine