
L'usage de Facebook en forte baisse Verto Analytics publie une étude dont l’objectif est d’évaluer le temps que nous passons sur les applications mobiles, en particulier sur les réseaux sociaux. Principal enseignement : nous passons 43% de temps en moins sur Facebook, comparé aux données de l’an dernier. Mais le réseau social reste N°1, largement. -43% de temps passé sur Facebook en 2017 En octobre 2017, nous avons passé 18 heures et 24 minutes en moyenne sur Facebook, en 173 sessions de 6 minutes et 23 secondes. En septembre 2016, nous avions passé 32 heures et 43 minutes en moyenne sur Facebook, en 311 sessions de 6 minutes et 18 secondes. Nous remarquons que le temps de chaque session reste stable, tandis que le nombre de sessions est en chute libre. Temps passé sur les réseaux sociaux : 2017 vs. 2016 Vous pouvez cliquer sur l’image pour l’afficher en grand format ou lire les chiffres clés sur la liste ci-dessous. Voici les chiffres obtenus en septembre 2016 par Verto Analytics : Recevez nos meilleurs articles
Facebook est-il en train de devenir un réseau social pour vieux ? Facebook traverse une période trouble. Après les accusations de Fake News, la fronde des marques face à l’absence de visibilité, des employés de plus en plus critiques, le réseau social doit maintenant faire face à une perte de popularité chez les plus jeunes. En 2017, Facebook a perdu beaucoup d’utilisateurs de moins de 25 ans aux US et au UK. Et 2018 ne s’annonce guère mieux… Un usage en baisse chez les jeunes Américains eMarketer annonçait dès cet été des chiffres en baisse pour l’usage de Facebook chez les 12-17 ans. L’audience globale au USA devrait en revanche continuer à augmenter, notamment grâce à Instagram. … et les jeunes Anglais Le constat est le même outre-manche. Alors qu’on annonçait Snapchat sur la pente descendante, il y aurait un transfert d’utilisateurs de Facebook vers ce dernier, et vers Instagram. Les chiffres et analyses d’emarketer pour les usages UK sont disponibles sur ce lien, les chiffres US sont quant à eux disponibles ici. Recevez nos meilleurs articles
Snapchat, Facebook, Google… que font-ils au journalisme Sur certaines plateformes, dont Facebook est emblématique, les algorithmes promeuvent des contenus de mauvaise qualité : les appeaux à clics, voire des fake news. Le rapport de la CJR pointe la responsabilité des grandes plateformes et surtout, de leur modèle économique. Choisir entre qualité et visibilité, dilemme incontournable ? Autre reproche fréquemment adressé à Facebook (notamment) : son manque de transparence sur la manière dont fonctionnent ses algorithmes, ceux qui déterminent quel contenu apparaît à quel utilisateur. À la suite des élections présidentielles nord-américaines de 2016, qui ont fait apparaître le problème des fake news aux yeux du grand public, Google et Facebook ont sollicité des médias pour intégrer leurs propres dispositifs de lutte contre les fausses informations. Toutefois, l’AFP a intégré le dispositif de lutte contre les fake news mis en place par Google et Facebook. Côté résultats, l’AFP avoue manquer de recul.
Cahier de Tendances Automne-Hiver : les GAFA, seuls maîtres de notre avenir ? Cette position hégémonique, les GAFA – et leurs homologues chinois, coréens, russes – n’y sont pas parvenus par hasard. Ils ont bâti leur empire sur une stratégie simple : proposer des services utiles et addictifs, devenir indispensables, donc incontournables dans nos vies quotidiennes. Et surtout, ils savent qu’il ne suffit pas de collecter la donnée pour être puissant : il faut aussi maîtriser la seule technologie capable de la traiter, l’intelligence artificielle. Alors que les revenus de la pub digitale ont dépassé ceux de la télévision, le duopole Google/Facebook capte déjà l’immense majorité du gâteau publicitaire, et ni le scandale de l’adpocalypse sur YouTube, ni les aveux « d’erreur » de Facebook sur les mesures d’audience communiquées aux annonceurs ou d’élections biaisées, ne semblent entraver leur ascension. Pourtant, des voix commencent à s’élever pour dénoncer le danger de laisser ces quelques géants devenir aussi (voire plus ?) Bref, les consciences s’éveillent.
« L’amitié » selon Facebook Saviez-vous que le 5 février, c’était la Journée des amis ? Selon quel calendrier officiel me demanderez-vous, si vous n’êtes pas connecté à Facebook. Si vous l’êtes, vous savez donc qu’en ouvrant votre application, voici ce qui vous a sauté aux yeux : Merci d’être là pour vos amis ! Maz, 37 628 836 prix ont été décernés à des amis en cette Journée des amis. Comment dire. Petite explication de texte. « Merci d’être là pour vos amis » sonne un peu comme « Merci d’avoir tenu la porte » lorsqu’on vient de se la prendre dans la gueule. Si je suis le raisonnement – à considérer qu’il y en ait un, mais je doute que Il ou On soit né de la dernière pluie – on me remercie d’être là pour mes amis, et comme aujourd’hui, il y a un nombre quasiment incalculable – sauf qu’il est calculé – de prix qui ont été décernés à des amis, il faut alors que j’en décerne à mon tour. La loi du nombre Le nombre d’« amis » qui font montre d’amitié. Qu’est-ce qu’on gagne ? Contenus La logique des réseaux
Réseaux sociaux et information Dans un vigoureux réquisitoire, l’historien Vingtras s’insurge dans le blog qu’il tient sur Mediapart contre le « poison mental et psychique » de la rumeur, au pouvoir de destruction massive de « notre aptitude à vivre ensemble » démultiplié par les réseaux sociaux. Par Jacques Munier
Médias et GAFA, it’s complicated – Rêves communautaires et modèles économiques | Meta-media | La révolution de l'information Par Kati Bremme - France Télévisions, Direction de l’Innovation Serait-ce la fin d’une histoire d’amour qui aurait duré à peine onze ans ? Les débuts étaient pourtant idylliques : face à des médias en manque de renouvellement et aux revenus publicitaires en chute libre sur les interfaces historiques (le papier, puis l’écran), les plateformes, avec leurs fonctionnalités nouvelles et leur public jeune, signaient la promesse d’un renouvellement salutaire. Pourtant aujourd’hui, la relation entre médias et GAFA semble déjà grippée. Bien sûr, avec 60% des Américains qui s’informent sur les réseaux sociaux et ⅓ de l’activité en ligne consacrée à la consommation de vidéos notamment sur les réseaux sociaux (80% en 2019, selon Cisco), la question n’est pas de boycotter le duopole Facebook/Google, ni plus largement les GAFA. Mais les GAFA ne sont pas des entreprises charitables. Petit tour d’horizon des modèles économiques avec un focus sur 4 plateformes : Snapchat, Facebook, Apple et Google.
La Liste Complète des Réseaux Sociaux [Guide 2018] La liste des réseaux sociaux : Quel réseau social choisir ? Quel réseau social utiliser pour un usage professionnel ou personnel ? Quels sont les nouveaux réseaux sociaux tendance ? Quelle est l’offre de réseau sociaux sur ordinateur ou mobile pour me connecter avec les communautés qui m’intéressent et échanger via photo, vidéo, messages, audio… Mis à part Facebook, réseau social sur lequel ma mère est devenue experte, quels sont les réseaux sociaux émergents sur Internet ? Étant donné qu’une « couche sociale » est présente dans quasiment l’ensemble des services en ligne et applications, vous ne trouverez dans cette liste que les réseaux sociaux ayant dépassé le 1 000 000 d’utilisateurs pour une meilleure visibilité. Consultez le classement mondial réseaux sociaux et le classement France des réseaux sociaux pour connaître les réseaux qui dominent actuellement. Note de Rudy : Si vous êtes expert en marketing, vous pouvez proposer vos articles en me contactant sur la page dédiée. Flickr
L’actu est-elle soumise aux réseaux sociaux ? Elle s’appelle Mennel Ibtissem, elle chante, suffisamment bien pour avoir été retenue au casting de The Voice sur TF1. Une candidate parmi d’autres, sauf que depuis quelques heures, son nom affole les réseaux sociaux. Des internautes ont retrouvé d’anciens messages de la jeune chanteuse, postés au moment de l’attentat de Nice, en juillet 2016. Dans l’un d’eux, elle écrit : "les vrais terroristes, c’est notre gouvernement". Ce qui est exemplaire dans cette affaire, c’est la rapidité avec laquelle cette information est devenue un fait d’actualité : quelques messages postés sur les réseaux sociaux, un début de "buzz" remarqué par des sites de journaux, qui transforment le "buzz" en info, laquelle prend une dimension sans commune mesure avec sa valeur intrinsèque. On pourrait multiplier les exemples. "L’actu est-elle soumise aux réseaux sociaux ?"
Etude : “Journalistes et réseaux sociaux : les digital natives bousculent les codes…” 21 septembre, 2017 0 commentaire Cette année, les digital natives font bouger les lignes. Plus actifs sur les médias sociaux, les 18-27 ans se tournent aussi vers les plateformes de vidéo et d’image comme Youtube et Instagram dans le cadre de leur travail. Ils utilisent les messageries comme WhatsApp et sont plus positifs à l’égard des médias sociaux que leurs aînés. L’étude, menée par Cision et l’Université anglaise Canterbury Christ Church auprès de 357 journalistes français effectuée au second trimestre 2017, révèle de nombreux autres points sur l’utilisation des médias sociaux par une profession qui trouve ses marques sans être totalement conquise. Principaux résultats de l’enquête #1 – Toujours plus de journalistes utilisent les réseaux sociaux. #2 – Paradoxe entre objectifs et utilisation quotidienne : Focus sur les interactions et l’engagement. Pourquoi les journalistes utilisent-ils les réseaux sociaux ? C’est à la troisième place que les choses ont changé depuis 2016.
Étude : le baromètre 2018 des médias sociaux en France Les débuts de l’année 2018 ont été marqués par de véritables séismes du côté des réseaux sociaux. Le scandale de Facebook qui secoue encore des millions d’utilisateurs réinterroge profondément les usages sociaux en ligne et l’étude Social Life 2018 de Harris Interactive le prouve. Une inquiétude forte mais des usages soutenus Menée sur plus de 2100 personnes pendant le mois de février 2018 (avant la révélation du scandale Cambridge Analytica), l’étude de l’institut révèle que les « socionautes » français se soucient de plus en plus de la protection de leurs données. Selon Harris Interactive, 83% pensent que les réseaux sociaux occupent une place beaucoup trop importante dans leur vie quotidienne. Ce n’est pas pour autant que la consommation des réseaux sociaux se réduit : la tendance est toujours à un usage soutenu puisque 80% des utilisateurs ont été actifs sur un média social dans les 30 derniers jours, 75% sur les réseaux sociaux et 61% sur des applications de messagerie.