Myrrha
Certaines informations figurant dans cet article ou cette section devraient être mieux reliées aux sources mentionnées dans les sections « Bibliographie », « Sources » ou « Liens externes » (octobre 2020). D'autres généalogies existent pour Adonis mais Myrrha en est absente. Certains auteurs ont cependant rapproché Myrrha de Smyrna : Le Pseudo-Apollodore, auteur tardif (Ier siècle-IIe siècle), donne plusieurs versions de la généalogie d'Adonis : Bibliothèque, III, 14, §3 (traduction Clavier, 1805) : Cinyre et Métharné (fille de Pygmalion, roi de Chypre) ont deux fils (Oxyporus et Adonis) et trois filles (Orsédice, Laogora, Braesia). Les larmes de Myrrha, métamorphosée en arbre, seraient à l'origine de la myrrhe[réf. nécessaire]. La myrrhe était précieuse dans l'Antiquité ; elle servait pour les embaumements. Le mot français « myrrhe » dérive du latin myrrha, lui-même dérivé du grec ancien μύρρα, múrra signifiant « parfum ». Sur les autres projets Wikimedia : Myrrha, sur Wikimedia Commons
Laocoon
Dans la mythologie grecque, Laocoon (pr. : \la.o.ko.ɔ̃\), du grec ancien Λαοκόων / Laokóôn, « celui qui comprend le peuple », de λαός laos « peuple » et κοέω koêô « entendre, comprendre », est l'un des protagonistes de l'épisode du cheval de Troie. Mythe[modifier | modifier le code] Les Troyens se divisent sur le sort du cheval : certains veulent le faire entrer dans la ville, en signe de victoire, d'autres sont d'avis de le brûler. Comme pour appuyer son récit, deux serpents arrivent de la haute mer alors que Laocoon sacrifie un bœuf à Poséidon. Lycophron, qui place la scène de l’attaque des serpents dans le temple d’Apollon, donne à ceux-ci les noms de Charibée et Porcé (ou Porcès). Les deux enfants de Laocoon sont les Laocoontides, Éthron et Mélanthos, qu’on nomme aussi Antiphas et Thymbrée. Dans l'Énéide[modifier | modifier le code] Cette scène est décrite avec force détails dans le chant II de l’Énéide de Virgile, l'un des plus célèbres passages de toute l'épopée.
Holopherne
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Judith décapitant Holopherne, peint par Artemisia Gentileschi. Holopherne[1] est un personnage du livre de Judith[2], qui fait partie des livres deutérocanoniques de l'Ancien Testament. C'est un général envoyé en campagne par le roi Nabuchodonosor II[3]. Nabuchodonosor II, qui désigne ailleurs dans la Bible un roi des Chaldéens régnant sur Babylone de 605 à 562 av. J. Sur les autres projets Wikimedia : Holopherne, sur Wikimedia Commons
Albrecht von Wallenstein
Albrecht von Wallenstein Armoiries des seigneurs de Wallenstein[1] Albert-Venceslas Eusèbe dit « Wallenstein » est né le 24 septembre 1583 à Hermanitz sur l’Elbe. Il était issu de la vieille lignée tchèque des comtes de Valdštejn. Le grand-père de Wallenstein, Georg von Waldstein, avait proclamé en 1536 sur ses terres la foi protestante, et avait en 1546 rejoint la ligue des princes contre l'empereur Charles Quint. Le père de Wallenstein, le baron Guillaume IV von Waldstein (de la maison de Horzicz-Arnau), capitaine général de l'arrondissement de Königgrätz, avait épousé la baronne Margaretha Smirziczky von Smirzicz[2] (1555–1593). Georg, cinquième fils de sa fratrie, n'avait fait qu'un modeste héritage ; sa femme, la baronne Margaretha von Smiřický (de) était d'une noblesse aussi ancienne que celle de Wallenstein. La mère de Wallenstein mourut le 22 juillet 1593, son père le 25 février 1595, les deux furent inhumés à Hermanitz[4].
Énigme de Samson
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'Énigme de Samson est un passage de l'Ancien Testament qui figure dans le Livre des Juges. Il aborde le sujet de la transformation intérieure grâce aux Écritures telles que la Bible et leurs mises en pratique. Samson et le lion, fontaine à Saint-Petersbourg Texte[modifier | modifier le code] Livre des Juges, chapitre 14, versets 4 à 20: « Son père et sa mère ne savaient pas que cela venait de l'Éternel: car Samson cherchait une occasion de dispute de la part des Philistins. Traduction d'après la Bible Louis Segond. Assiette creuse russe où est dessiné Samson Références[modifier | modifier le code] Portail de la Bible
Pauline Bonaparte
Pauline Bonaparte (née Paolina de Buonaparte), princesse française, est la deuxième fille de Charles-Marie Bonaparte et de Maria Letizia Ramolino, et sœur de Napoléon Bonaparte. Elle est née le 20 octobre 1780 à Ajaccio, dans la maison familiale, et meurt le 9 juin 1825 à Florence. Elle était la sœur préférée de Napoléon. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse[modifier | modifier le code] Pour couper court à ces idylles, Bonaparte fait venir Pauline au château de Mombello, près de Milan, où il règne déjà comme un proconsul. Mariage[modifier | modifier le code] Napoléon francise son prénom en Pauline et lui fait épouser en 1797 Charles Victoire Emmanuel Leclerc, l'un des meilleurs généraux de la République, après avoir refusé sa main à Duphot, celui qui trouva la mort à Rome en 1797 lors d'une émeute (les jeunes sœurs de Charles Leclerc épouseront, l'une, le futur maréchal Davout et l'autre, le général de division Louis Friant). Le mariage est célébré à Milan le 14 juin 1797.
Robert-François Damiens
Certaines informations figurant dans cet article ou cette section devraient être mieux reliées aux sources mentionnées dans les sections « Bibliographie », « Sources » ou « Liens externes » (mars 2015). Portrait de Damiens. Robert-François Damiens est un criminel français, né le 9 janvier 1715 à La Thieuloye, près d'Arras, et exécuté le 28 mars 1757 à Paris, condamné par la justice pour avoir tenté d'assassiner le roi Louis XV. Il est la dernière personne, en France, à subir l'écartèlement, supplice réservé au régicide sous l'Ancien Régime[1]. Damiens est grand, mince et brun. En juillet 1756, il se réfugie chez sa famille à Arras après avoir volé 240 louis à son dernier maître[2]. L'arme du crime est un canif à deux lames rétractables acheté chez une marchande de quincaillerie, trouvé dans la poche de Damiens. Quant à Damiens, il est interrogé, dans la salle des gardes, sur de possibles complicités : « Non, sur mon âme, je jure que non[2] ! « « La journée sera rude »[11] »
Édith au Col de cygne
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Édith retrouvant le corps de Harold après la bataille d'Hastings par Horace Vernet (1828). Édith au Col de cygne (Edith Swanneck en anglais) est une Anglaise du XIe siècle. Elle est la première conjointe d'Harold Godwinson, dernier roi anglo-saxon d'Angleterre. Bien qu'ils ne se soient jamais mariés, leur union durable donne naissance à six enfants au moins. D'après la légende, c'est elle qui aurait identifié le corps de son amant sur le champ de bataille d'Hastings, en 1066. Biographie[modifier | modifier le code] La relation entre Harold et Édith semble avoir débuté dans les années 1040, alors qu'il est comte d'Est-Anglie. D'après la tradition de l'abbaye de Waltham, deux moines, Osgod Cnoppe et Æthelric Childemaister, auraient persuadé Guillaume le Conquérant de les laisser récupérer le corps du roi Harold après la bataille d'Hastings, le 14 octobre 1066. Descendance[modifier | modifier le code] Références[modifier | modifier le code]