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Notre cerveau et les découvertes de la neuropédagogie

Notre cerveau et les découvertes de la neuropédagogie
Related:  Sciences cognitives et neuroéducationNEUROPEDAGOGIE

Le cerveau et la neuro-pédagogie digitale - Partie I Le cerveau une anomalie dans l’univers Une incroyable nature humaine L’étude du cerveau est ancienne et beaucoup de connaissances anatomiques ont été accumulées grâce à la dissection (aire de Broca, ou cerveau triunique de Mc Lean avec un cerveau organisé en cortex limbique et reptilien) : Cortex : fonctions nerveuses élaborées : sensorielles, langage action motricité mémoire;Système limbique (hippocampe, amygdale, circonvolution, hypotalamus) (limbé = frontière) : interface entre vie cognitive et vie végétative, siège des émotions;Cervelet : contrôle moteur, peur – plaisir – attention et langage;Tronc cérébral : participe du système nerveux central en continuité de la moelle épinière. Le cerveau connaît un regain d’intérêt avec les scanners et l’imagerie médicale. L’encyclopédie Universalis annonce qu’il est capable de traiter de 1013 à 1019 instructions par seconde. Un cerveau comme un être seul de son espèce n’existe pas. La perception et la lecture Source :

Apprendre à apprendre - Comment maîtriser sa stratégie d'apprentissage Apprendre tout au long de la vie apparaît aujourd’hui à la fois comme un idéal et comme une nécessité. Oui, mais comment apprendre ? Pour tous ceux qui voient leur « employabilité » en danger, l’enjeu est crucial. Des points de repère et des méthodes peuvent les aider à retrouver plaisir et facilité à apprendre. Ce premier billet sera consacré aux profils de stratégies (ou « styles ») d’apprentissage. Les apprenants en difficulté n’ont pas le sentiment qu’ils peuvent décider de leur manière d’apprendre. Découvrir son profil d’apprenant Jean-François Michel, dans son livre « Les 7 profils d’apprentissage » (Eyrolles), propose une typologie dont l’on trouvera la description ici. On peut s’appuyer sur le profil de Felder et Soloman, issu du MBTI. Le test de Kolb, plus court et accessible, recouvre une partie des dimensions ciblées par l’index de Felder-Soloman. Formateur et futur formateur, comprendre les stratégies d’apprentissage des apprenants est une compétence clé du formateur. M.

Qu'est-ce que la neuropédagogie ? - XOS Qu’est-ce que la neuropédagogie ? 4.5/5 - 15 votes Sous l’impulsion du Ministre de l’Éducation Nationale Jean-Michel Blanquer, la neuropédagogie est sur le point d’entrer dans le système scolaire français, conduite par l’un de nos plus brillants cerveaux : Stanislas Dehaene. Aux critiques négatives qui condamnent toute nouveauté, comme à l’enthousiasme évangélique que suscite le préfixe neuro_, la meilleure réponse réside dans la découverte objective de la neuropédagogie, comme science de l’apprentissage, basée sur plus de 15 années d’expérience de l’auteur de ces lignes. La neuropédagogie est à la croisée des chemins de 3 autres disciplines. Les neurosciences De la neuropédagogie, les critiques ne retiennent que les neurosciences, soulignent leur apport limité dans les apprentissages, affirment qu’elles ne font que constater le résultat de ce qui a déjà été étudié par d’autres disciplines. Par conséquent, les neurosciences n’invalident ni ne se substituent aux autres sciences. La pédagogie

Les 12 lois du cerveau Phrase-résumée de “Les 12 lois du cerveau” : Un neuroscientifique clair et pragmatique nous fait partir à la conquête des découvertes récentes sur le fonctionnement du cerveau humain pour mieux nous comprendre et vivre une vie meilleure. Ce livre a été édité en version originale en 2008, sous le titre Brain Rules, et fait partie du Personal MBA. En France, il est paru en novembre 2010, traduit de l’anglais (Etats Unis) par Sabine Rolland chez LEDUC.S éditions (300 pages). Note : cette chronique est une chronique invitée écrite par Patrick Boutain du blog Mémoire facile dans lequel il vous apprend à améliorer votre mémoire L’auteur : John Medina est un biologiste moléculaire du développement et consultant chercheur. Crédit Flickr par Gaetan Lee Chronique de “Les 12 lois du cerveau” : John Medina insiste sur la nécessité de faciliter l’interactivité entre trois univers : neurosciences, enseignements et entreprises. Loi n°1 L’exercice physique stimule les facultés mentales Le saviez-vous ? J.

Loi d'attraction 2ème degré : choisissez ce que vous voulez être ! La littérature sur la loi d’attraction présente un inconvénient : celui de se focaliser principalement sur des objets matériels, finissant presque par nous détourner de notre véritable nature, qui n’est pas tant d’ « Avoir » toujours plus, que d’ « Etre » toujours davantage ! Comment utiliser la loi d’attraction 2.0 de manière encore plus juste et efficace ? Au lieu de se focaliser sur des choses que l’on désire « avoir », il est préférable de se concentrer plutôt sur ce que l’on désire « être ».. ce qui aussitôt attire puissamment à nous les choses que l’on désire avoir ! Il ne faut pas mettre la charrue avant les boeufs : L’Etre attire l’Avoir, mais l’Avoir n’attire pas l’Etre. Nous avons aussi exposé sur ce site des pratiques simples et puissantes, comme : Dans cet article, nous proposons une manière plus fine de comprendre et de mettre en oeuvre ces bonnes pratiques, afin d’en augmenter la portée et l’impact. Commencer par une focalisation facile Loi d’attraction et alignement intérieur

Les neuromythes en éducation Un neuromythe est une croyance erronée sur le fonctionnement du cerveau. De récentes études ont mis en évidence que plusieurs de ces neuromythes sont répandus en éducation, particulièrement dans la population enseignante. Shutterstock / NLshop Jérémie Blanchette Sarrasin, étudiante à la maîtrise en éducation à l’UQAM, et son directeur Steve Masson, professeur à la Faculté des sciences de l’éducation à l’UQAM, présentent dans cet article les quatre neuromythes les plus fréquents en éducation. Un exemple de neuromythe bien connu est de croire que nous n’utilisons que 10 % de notre cerveau. Les styles d’apprentissage La dominance hémisphérique Mythe : Les différences sur le plan de la dominance hémisphérique (cerveau gauche, cerveau droit) expliqueraient les différences entre les apprenants. [Apprentissage : le cerveau est comme une forêt!] Les exercices de coordination Les intelligences multiples Pour en savoir plus [Consulter l’article] Référence : Blanchette Sarrasin, J. et Masson, S. (2017).

Mémoire Dossier réalisé en collaboration avec le Pr. Francis Eustache, Directeur de l'unité Inserm-EPHE-UCBN U1077 "Neuropsychologie et neuroanatomie fonctionnelle de la mémoire humaine" – Octobre 2014 La mémoire repose sur cinq systèmes de mémoire © Inserm, G. Auzias/S. Baillet/O. Cette représentation de neuro-imagerie est un exemple de la technique dite de recalage interindividuel guidé par les sillons (DIffeomorphic Sulcal-based COrtical ou DISCO). La mémoire se compose de cinq systèmes de mémoire impliquant des réseaux neuronaux distincts bien qu’interconnectés : La mémoire de travail (à court terme) est au cœur du réseau. Cet ensemble complexe est indispensable à l’identité, à l’expression, au savoir, aux connaissances, à la réflexion et même à la projection de chacun dans le futur. La mémoire de travail La mémoire de travail (ou mémoire à court terme) est en fait la mémoire du présent. 7, le nombre magique Le chiffre 7 serait le "nombre magique" de la mémoire de travail. La mémoire sémantique

10 effets positifs de l’apprentissage d’une nouvelle langue sur notre cerveau ! Apprendre une langue étrangère n’est jamais facile et demande généralement pas mal d’efforts… Mais même sans atteindre un niveau exceptionnel dans la langue étudiée, cet apprentissage modifie nos structures neuronales et se révèle extrêmement bénéfique pour notre cerveau. Pour vous convaincre de tenter l’aventure, voici quelques-uns des avantages que vous et votre matière grise pouvez en retirer ! Apprentissage d’une langue étrangère : que se passe-t-il dans notre cerveau ? Lorsque nous apprenons un nouveau langage, nous faisons appel simultanément à nos capacités d’écoute, de concentration, de compréhension ou encore de mémorisation. L’exercice sollicite donc plusieurs zones distinctes de notre cerveau, les plus connues étant l’aire de Broca (1) et l’aire de Wernicke (2). (2) Reliée à l’aire de Broca par les fibres nerveuses du faisceau arqué, l’aire de Wernicke a quant à elle été découverte quelques années plus tard par le neurologue allemand Carl Wernicke. 6 – Nous sommes plus créatifs

theconversation Oublier semble être une chose que le cerveau fait facilement à notre insu. Pour preuve, nous oublions tous des rendez-vous, des dates d'anniversaire et des compétences. L'oubli est même utile s'il s'agit d'un souvenir douloureux ou obsolète. En fait, c'est tout l'inverse : nous n'oublions jamais rien. On ne se rappelle plus, c'est tout ! On doit au psychologue canadien Donald Hebb d'avoir résumé dès 1949 le principe de cette mémorisation dans sa fameuse « règle de Hebb ». La règle de Hebb caractérise donc l'apprentissage, mais elle caractérise aussi de facto l'oubli. En effet, la règle de Hebb dit aussi (implicitement) que si A ne parvient pas à exciter B, alors la connexion entre A et B perdra de son efficacité, jusqu'à disparaître. Inhibition des neurones La règle de Hebb concerne tout aussi bien les connexions excitatrices (A excite B) que les connexions inhibitrices (A empêche B d'être excité). Toutes les connexions, excitatrices comme inhibitrices, sont plastiques.

Biais cognitifs : les comprendre, les accepter… et même les utiliser Le cerveau humain est un outil fantastique, mais aussi un continent encore mal connu. Ce qu’on sait pourtant déjà, c’est qu’aussi puissant et sophistiqué soit-il, notre cerveau est une machine sujette aux erreurs de jugement. Riadh Lebib – Docteur en Neurosciences et Consultant-chercheur au sein de la société SBT – nous parle ainsi des biais cognitifs… mais aussi de l’usage intelligent que nous pouvons apprendre à en faire aujourd’hui et demain. Vous avez dit biais cognitifs ? Pour Riadh Lebib, les biais sont dans notre nature depuis toujours. « Les biais cognitifs reflètent la nature même du fonctionnement de notre cerveau. » Et si on jouait de nos biais ? Mais rien ne sert de s’en désoler ! C’est tout l’objet de la recherche sur les « nudges », ces incitateurs non-obligatoires qui s’appuient sur la prédictibilité de nos biais pour orienter passivement nos choix vers les options plus « raisonnées ». Un exemple parmi des milliers d’autres : l’option par défaut.

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