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Six Provocations for Big Data

Six Provocations for Big Data
The era of Big Data has begun. Computer scientists, physicists, economists, mathematicians, political scientists, bio-informaticists, sociologists, and many others are clamoring for access to the massive quantities of information produced by and about people, things, and their interactions. Diverse groups argue about the potential benefits and costs of analyzing information from Twitter, Google, Verizon, 23andMe, Facebook, Wikipedia, and every space where large groups of people leave digital traces and deposit data. Significant questions emerge. This essay offers six provocations that we hope can spark conversations about the issues of Big Data. (This paper was presented at Oxford Internet Institute’s “A Decade in Internet Time: Symposium on the Dynamics of the Internet and Society” on September 21, 2011.)

Conversation privée sur Facebook Les médias ont baptisé ce bug - pour l'instant toujours démenti par Facebook - le "cauchemar de Facebook" : des messages privés, reçus entre 2007 et 2009, qui réapparaissent aléatoirement sur la timeline des utilisateurs. Leur timeline publique. Une nouvelle fois (on ne les compte plus), le réseau social se retrouve donc au centre des angoisses cyber-existentielles des internautes. On les comprend. Mais en même temps, n'est-il pas temps, enfin, de prendre conscience des risques inhérents aux réseaux sociaux en termes de données personnelles? Facebook n'est pas là pour protéger votre vie privée Facebook est un outil de partage et de publication, son but n'est pas de sécuriser les échanges de ses membres sur internet. Comme le résume très bien le journaliste Jean-Marc Manach, spécialiste des questions de vie privée, "il n'y a pas de 'vie privée' sur Facebook : sur un 'réseau social', on mène une 'vie sociale', voire une 'vie publique'". Facebook n'oublie rien

Why We Should Learn the Language of Data Illustration: Ellen Lupton How can global warming be real when there’s so much snow?” Hearing that question — repeatedly — this past February drove Joseph Romm nuts. A massive snowstorm had buried Washington, DC, and all across the capital, politicians and pundits who dispute the existence of climate change were cackling. The family of Oklahoma senator Jim Inhofe built an igloo near the Capitol and put up a sign reading “Al Gore’s New Home“. The planet can’t be warming, they said; look at all this white stuff! Romm — a physicist and climate expert with the Center for American Progress — spent a week explaining to reporters why this line of reasoning is so wrong. Statistics is hard. Consider the economy: Is it improving or not? Problem is, to calculate that stat, economists remove stores that have closed from their sample. Or take the raging debate over childhood vaccination, where well-intentioned parents have drawn disastrous conclusions from anecdotal information.

«Humanités Digitales» Texte retravaillé le lundi 28 octobre 2013 L’usage en français de l’expression «Humanités Digitales» a démarré à l’Université de Bordeaux 3 dès 2008, et à celle de Lausanne en 2010, sans qu’il n’y ait eu de contact entre les groupes de chercheurs des deux universités. Depuis 2013, la Suisse compte 3 laboratoires d’Humanités Digitales, à l’Université de Bâle, à l’EPFL et à l’Université de Lausanne. L’apparition d’un néologisme tient du fait de société, et demandera bien du temps pour être analysé. Je soulignerai simplement ici qu’ «ordinateur» ou l’anglais «computer» désignent un concept cérébral. D’autre part, le chercheur en Humanités Digitales tient de l’Homo Faber et réellement fabrique, crée les nouvelles sciences humaines et sociales. Indications bibliographiques (liste à compléter, toute suggestion bienvenue!) Michel Serres, Petite Poucette, Paris: Le Pommier, 2012. Claire Clivaz, «Common Era 2.0. Actes du THATCamp à Saint-Malo 2013, atelier 1: à paraître online bientôt Claire Clivaz

How much information is there in the world? Think you're overloaded with information? Not even close. A study appearing on Feb. 10 in Science Express, an electronic journal that provides select Science articles ahead of print, calculates the world's total technological capacity -- how much information humankind is able to store, communicate and compute. "We live in a world where economies, political freedom and cultural growth increasingly depend on our technological capabilities," said lead author Martin Hilbert of the USC Annenberg School for Communication & Journalism. So how much information is there in the world? Prepare for some big numbers: Looking at both digital memory and analog devices, the researchers calculate that humankind is able to store at least 295 exabytes of information. Telecommunications grew 28 percent annually, and storage capacity grew 23 percent a year. "These numbers are impressive, but still miniscule compared to the order of magnitude at which nature handles information" Hilbert said.

Debates in the Digital Humanities Encompassing new technologies, research methods, and opportunities for collaborative scholarship and open-source peer review, as well as innovative ways of sharing knowledge and teaching, the digital humanities promises to transform the liberal arts—and perhaps the university itself. Indeed, at a time when many academic institutions are facing austerity budgets, digital humanities programs have been able to hire new faculty, establish new centers and initiatives, and attract multimillion-dollar grants. Clearly the digital humanities has reached a significant moment in its brief history. But what sort of moment is it? Debates in the Digital Humanities brings together leading figures in the field to explore its theories, methods, and practices and to clarify its multiple possibilities and tensions.

Information Overload Fueled by Bytes, and Hype Le double visage de l'outil qui fabrique la nouvelle humanité numérique LE MONDE | | Par Paul Mathias, expert des lab Hadopi et ex-directeur de programme au Collège international de philosophie Inextricablement lié aux réseaux sociaux et à Facebook, le "printemps arabe" a frappé les consciences, mais n'a pas été le premier événement à résulter d'un usage expert et constant des réseaux. Les manifestations de Gênes contre le G8, en 2001, consacraient l'idée que des "foules intelligentes", composées d'individus interconnectés et mobiles, formaient un dispositif de contestation très efficace et capable de neutraliser les techniques de confinement mises en oeuvre par les forces de police. Pourtant, les noces de la démocratie et des technologies du numérique, des réseaux, posent problème. Seulement la médiation ne se fait pas ici comme au moyen de l'encre et du papier, de la voix et de l'image et de leur diffusion analogique. Le titan Facebook fait donc question, mais laisse toutefois ouvertes les incertitudes qui l'accompagnent.

Du contenu roi aux données reines Souvenez-vous… il y a quelques années, le contenu était considéré comme la matière première du web : Celui qui maîtrisait le contenu maitrisait le web (les portails qui agrégeaient de très nombreuses sources de contenu concentraient également l’audience). Puis il y a eu MySpace, les Skyblogs, Facebook, Twitter, FourSquare… et maintenant il parait que c’est la communauté qui est reine. Certes, les plateformes sociales sont indéniablement en haut des tableaux d’audience, mais je reste convaincu que sans contenus une communauté n’est pas viable. Comprenez par là que ce sont les contenus qui alimentent les conversations et font tourner les communautés. De ce point de vue là, les plateformes sociales ne sont qu’un intermédiaire entre le contenu et les internautes. Un intermédiaire à valeur ajoutée, mais qui présente tout de même une certaine fragilité dans sa pérennisation (cf. Les données à la base du… journalisme de données Après les portails de contenus, les portails de données

Manifeste des Digital humanities Contexte Nous, acteurs ou observateurs des digital humanities (humanités numériques) nous sommes réunis à Paris lors du THATCamp des 18 et 19 mai 2010. Au cours de ces deux journées, nous avons discuté, échangé, réfléchi ensemble à ce que sont les digital humanities et tenté d’imaginer et d’inventer ce qu’elles pourraient devenir. À l’issue de ces deux jours qui ne sont qu’une étape, nous proposons aux communautés de recherche et à tous ceux qui participent à la création, à l’édition, à la valorisation ou à la conservation des savoirs un manifeste des digital humanities. I. 1. 2. 3. II. 4. – que se sont multipliées les expérimentations dans le domaine du numérique en Sciences humaines et sociales depuis un demi-siècle. – que le numérique induit une présence plus forte des contraintes techniques et donc économiques dans la recherche ; que cette contrainte est une opportunité pour faire évoluer le travail collectif ; III. 5. 6. 7. 8. IV. 9. 10. 11. 12. 13. 14. Rejoignez-nous !

Suisse: une clinique dans un musée guérit les intoxiqués de l'information Suisse: une clinique dans un musée guérit les intoxiqués de l'information BERNE (Suisse) - Affaire DSK, crise de la dette grecque, guerre en Libye... Trop d'informations peut rendre malade. Dès lors, un traitement s'impose. C'est le fil conducteur d'une exposition insolite au musée de la Communication à Berne, qui propose à ses visiteurs une clinique pour soigner leur mal. Dès son arrivée, le visiteur découvre dans une salle plongée dans une semi-obscurité 12.000 livres entassés sur des étagères. En principe la communication est quelque chose d'important, quelque chose qui fait plaisir, mais de nos jours il y a un flot d'information, explique à l'AFP la directrice du musée de la Communication, Jacqueline Strauss. On peut comparer ça avec l'alimentation. Selon les experts de l'université de Berne qui ont participé à l'exposition, un être humain peut lire un livre de 350 pages en une journée s'il se concentre et n'a rien d'autre à faire. Etes-vous stressé, débordé, lessivé?

Dangers et bienfaits de la généralisation des écrans et du numérique pour les enfants et les adolescents : enjeux de société et débats politiques Vous êtes ici : Infos > Vie en société > Jeunes > Ecrans et nouvelles technologies Dossier d'information et de réflexion - basé sur une sélection d'extraits d'articles de presse de référence - sur le règne naissant de la civilisation du numérique et sur les effets du développement exponentiel des écrans et de l'application des nouvelles technologies dans la société française (télévision, ordinateur, téléphone mobile, Internet, réseaux sociaux, jeux vidéos, ... Impact de l'écran sur le développement des enfants : dangers et bienfaits Une réduction du temps de sommeil néfaste pour les enfants et les adolescents Protection des données et droit à l'oubli Une solution originale pour échapper aux écrans : les abstinents à la télévision Exposer les enfants trop tôt ou trop longtemps aux écrans est dangereux pour leur développement Ces enfants qui ne vivent que devant des écrans "Les jeux vidéo et les réseaux sociaux modifient le rapport à l'espace, au temps, à la construction de l'identité"

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