Web sémantique
Logo du W3C pour le Web sémantique Le Web sémantique, ou toile sémantique[1], est une extension du Web standardisée par le World Wide Web Consortium (W3C)[2]. Ces standards encouragent l'utilisation de formats de données et de protocoles d'échange normés sur le Web, en s'appuyant sur le modèle Resource Description Framework (RDF). Le web sémantique est par certains qualifié de web 3.0 . Alors que ses détracteurs ont mis en doute sa faisabilité, ses promoteurs font valoir que les applications réalisées par les chercheurs dans l'industrie, la biologie et les sciences humaines ont déjà prouvé la validité de ce nouveau concept[5]. Histoire[modifier | modifier le code] Tim Berners-Lee à l'origine exprimait la vision du Web sémantique comme suit : I have a dream for the Web [in which computers] become capable of analyzing all the data on the Web — the content, links, and transactions between people and computers. — Tim Berners-Lee, Weaving the Web[13] — Weaving the Web[13]
Microformats
Web des données
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Web des données (Linked Data, en anglais) est une initiative du W3C (Consortium World Wide Web) visant à favoriser la publication de données structurées sur le Web, non pas sous la forme de silos de données isolés les uns des autres, mais en les reliant entre elles pour constituer un réseau global d'informations. Il s'appuie sur les standards du Web, tels que HTTP et URI - mais plutôt qu'utiliser ces standards uniquement pour faciliter la navigation par les êtres humains, le Web des données les étend pour partager l'information également entre machines. Cela permet d'interroger automatiquement les données, quels que soient leurs lieux de stockage, et sans avoir à les dupliquer[1]. Tim Berners-Lee, directeur du W3C, a inventé et défini le terme Linked Data et son synonyme Web of Data au sein d'un ouvrage portant sur l'avenir du Web sémantique[2]. Principes[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code]
Microformats - Alsacreations
Les microformats ont fait leur apparition en 2003 (XFN) sous l'impulsion de personnes publiant des blogrolls (listes de blogs qui ont plu ou ont été jugés pertinents dans un domaine précis) recherchant un moyen de faire connaître la nature des relations qu'ils entretenaient avec les auteurs de ces blogs. Depuis, ils ont pris une ampleur remarquable et de nombreux microformats ont été développés et améliorés pour divers supports : CV, rapports, protocole Atom, annuaires partagés, citations, traces des discussions en ligne, formats de médias… HTML5 les remet au goût du jour et ils restent un moyen simple, efficace et puissant d'apporter à vos pages de la lisibilité tant pour un humain que pour une machine. Définition Les microformats apportent au langage HTML (et par extension XHTML) davantage de sémantique. HTML possède déjà des éléments ayant du sens mais ils ne suffisaient pas à exprimer toutes les subtilités que les microformats proposent. Insertion des µF Resssources Web
Web3D
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Web3D correspondait initialement au concept d'un Web totalement en 3D, des hyperliens reliant les contenants entre eux. Par extension, le terme désigne aujourd'hui tous les contenus en 3D interactive qui sont intégrée à des pages HTML, et que l'on peut visualiser par l'intermédiaire de son navigateur Web. Soit : « la 3D sur le Web ». En 2009, les navigateurs requièrent l'installation d'un plugin pour afficher ce type de contenus. Les technologies actuelles du web 3D permettent, au-delà de simples sites en 3D, le développement futur de jeux en 3D en ligne, notamment des jeux massivement multijoueurs directement jouables dans le navigateur. Formats disponibles[modifier | modifier le code] Parmi les nombreux formats et modes d'intégration disponibles, on peut citer : Notes et références[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code]
Extending HTML5 — Microformats
While HTML5 has a bunch of semantic elements, including new ones like <article> and <nav>, sometimes there just isn’t an element with the right meaning. What we want are ways to extend what we’ve got, to add extra semantics that are machine-readable — data that a browser, script, or robot can use. Native ways to extend HTML There were five fundamental ways we could extend HTML 4: <meta> elementclass attributerel attributerev attributeprofile attribute In HTML5, rev has fallen by the wayside, becoming obsolete since hardly anyone used it correctly, and because it can be replaced by rel. profile is also obsolete, and there is no support for namespaces in HTML5. Even better, WAI-ARIA’s role and aria-* attributes are allowed in HTML5, and HTML5 validators can check HTML5+ARIA. Finally there are microformats. Introducing microformats Microformats are a collection of vocabularies for extending HTML with additional machine-readable semantics. Microformat specifications Published microformats
web 4.0
Le guide ultime des microformats : références et exemples
Although they are not part of the W3C HTML specifications, they offer a useful assortment of naming conventions (using the class, id, rel and revattributes) that identify the points of interest on a page. They allow to put in front of the content, such as calendar events, a link to your licenses (including the GPL) and even acceptance of the lighter things such as cooking recipes. If microformats are not yet part of the W3C standard, Web browsers have not waited to provide support. Microformats are really worth to pay interest and to implement them in the sites that you realize. You probably already use microformats if you use a CMS such as WordPress, because the latter natively supports simple data, such as the rel attribute formats. If you are new to the world of microformats, you may ask why you should bother to use. Because microformats are based on the syntax and the conventional attributes of HTML, you can also use them in XHTML. I - A. I B. They require more HTML code. II - A. fn.
Informatique ubiquitaire
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'évolution des ordinateurs : la course à la minaturisation et à la diffusion dans le milieu ambiant[1]. L´informatique ubiquitaire est la troisième ère de l'histoire de l'informatique, qui succède à l'ère des ordinateurs personnels et celle des mainframe. Dans cette ère l'utilisateur a à sa disposition une gamme de petits appareils informatiques tels que smartphone ou assistant personnel, et leur utilisation fait partie de l'ordinaire de sa vie quotidienne. Ces appareils rendent l'accès à l'information facile pour tout le monde, n'importe où et n'importe quand. La commission Européenne utilise les mots intelligence ambiante pour décrire le milieu créé par les appareils. Caractéristiques[modifier | modifier le code] L'informatique ubiquitaire est la troisième ère de l'histoire de l'informatique[4], qui succède à l'ère des ordinateurs personnels et celle des mainframe. Histoire[modifier | modifier le code] Exemples[modifier | modifier le code]