untitled
L'histoire du coton, ou le rôle central de l'esclavage dans la montée du capitalisme
Temps de lecture: 10 min Il y a un peu moins de dix ans, un historien intéressé par l’essor du capitalisme aurait eu bien du mal à trouver un poste au sein d’un département d’histoire. Le domaine de recherche qui se rapprochait le plus du capitalisme était l’histoire du travail; soit l’histoire de la classe ouvrière. Rares étaient ceux qui étudiaient le domaine opposé, celui de l’élite; il ne fallait pas donner l’impression d’éprouver de la sympathie pour l’ennemi. Puis la Grande récession de 2008 est arrivée. Le rôle central de l'esclavage La vérité, c’est que personne ne sait ce qu’est l'«histoire du capitalisme», tout simplement parce que cette histoire est en train d’être écrite. Beckert est catégorique: selon lui, nombre des mythes qui circulent au sujet du capitalisme (fonctionnement optimal lorsque l'Etat est minimal, sa rupture nette avec l’esclavage) sont faux –et ils l’ont été durant l’ensemble de son demi-millénaire d’histoire. Le capitalisme de guerre
Comment faire naître un levain pour faire du pain
• Premier jour – le matin Prenez un bocal en verre, ébouillantez-le pour le réchauffer. La chaleur va aider à faire démarrer le levain.Mélangez 25 g d’eau avec 25 g de farine de seigle. Vous obtenez une sorte de toute petite bouillie.Mélangez et couvrez puis gardez le bocal dans un endroit tiède, vers 26-28 °C. La chaleur est très importante. – le soir (ou entre 12 et 24 heures plus tard) Ajoutez 25 g d’eau et 25 g de farine de seigle dans le levain du matin, mélangez bien et couvrez de nouveau pour laisser fermenter, toujours au chaud. • Deuxième jour – le matin (ou entre 12 e 24 heures après le précédent) Enlevez la moitié du levain. Le principe est à chaque rafraîchi de lui faire doubler sa quantité : il y a 25 g d’eau et de farine dans le bocal, et on en remet 25 et 25. – le soir (ou entre 12 e 24 heures après le précédent) Même chose. • Les jours suivants On continue le processus, jusqu’à ce que le levain soit né. • Quand le levain est né : Pour les allergiques aux calculs : En résumé :
Theatre of the Oppressed
The Theatre of the Oppressed describes theatrical forms that the Brazilian theatre practitioner Augusto Boal first elaborated in the 1960s, initially in Brazil and later in Europe. Boal was influenced by the work of the educator and theorist Paulo Freire. Boal's techniques use theatre as means of promoting social and political change. In the Theatre of the Oppressed, the audience becomes active, such that as "spect-actors" they explore, show, analyse and transform the reality in which they are living. Augusto Boal presenting a workshop on the Theatre of the Oppressed in New York City. Riverside Church, May 13, 2008. History[edit] The Theatre of the Oppressed, a term coined by Augusto Boal, is a series of theatrical analyses and critiques developed in the 1950s. Terminology[edit] Joker/Facilitator/Difficultator[edit] In most cases, but not all, this would be a drama workshop leader. Spect-actor[edit] This is a term created by Augusto Boal to describe those engaged in Forum theatre.
Compte personnel de formation : les règles à connaître pour en profiter à partir de janvier 2015
Adieu le droit individuel à la formation ! A compter du 5 janvier prochain, le fameux DIF est remplacé par le compte personnel de formation. Voici les règles de fonctionnement à connaître en 10 questions-réponses. 1. Qu'est-ce que le compte personnel de formation ? "Le principe : vous vous constituez tous les ans un capital de temps pour suivre des formations indemnisées durant ou en dehors de votre temps de travail", explique Abdelkader Berramdane, directeur veille législative chez ADP, spécialiste de la gestion de la paie. 2. Le CPF est plus généreux que le DIF. 3. Avant, avec le DIF, vous pouviez choisir la formation que vous vouliez sous réserve d'obtenir l'accord de l'employeur. 4. Votre entreprise peut vous aider trouver la formation adaptée à vos besoins. 5. Ce ne sont pas tout à fait les mêmes règles que pour le DIF. 6. Non, comme pour le DIF, il doit impérativement avoir l'aval du salarié. 7. Vous les conservez sur votre compte personnel de formation. 8. 9. 10. Sandrine Chauvin
Rêves lucides ... Good night ...
« C’est confirmé : je suis plus utile au chômage
Notre société est obnubilée par un seul objectif : le plein emploi. Qu’importe si les activités créées sont utiles ou pas à la société, voire nuisibles. Donner du sens au travail semble devenu très secondaire. « Du point de vue des gens "modernes" comme monsieur Macron, je suis actuellement un poids, je ne produis pas, je suis une charge qui vit aux crochets d’un système trop généreux. J’ai écrit en novembre 2013 un article intitulé « Je serais tellement plus utile au chômage ». Étrange, je pensais justement à écrire une suite depuis quelques temps. Nous y voilà. J’ai écrit ce précédent billet alors que je travaillais dur sur un projet. Depuis, j’ai connu pour la première fois de ma vie le chômage après 20 ans d’emploi ininterrompu. Je me lève à 6 h pour déjeuner avec ma fille lycéenne qui doit prendre un bus très tôt, car on coupe dans les budgets de transports scolaires dans ma campagne. Les nuits ne sont pas non plus de tout repos. Mes journées sont bien pleines. Jérôme Choain
Faire son pain
Dans cette page : Introduction - Quelques conseils - Les produits - La pâte - Les étapes - Les gestes - La cuisson - Éloge du pain maison Autres pages : Suivre cette page - Retourner en page d'accueil Introduction Vous trouverez sur ce site toute une série de recettes de pain, avant de vous lancer vous souhaitez peut-être en savoir plus sur le sujet, obtenir quelques conseils, connaitre des astuces, savoir quelles sont les principales erreurs des débutant(e)s ? En guise d'introduction je vous propose de visionner ce petit film, "De la farine à la tartine", qui j'espère vous donnera envie de vous lancer. Il y a peu d'aliments qui soient autant chargés de symbolique que le pain, pour s'en convaincre il suffirait de recenser le nombre d'expressions qui en parlent : "Du pain et des jeux **", "Manger son pain blanc", "Lui faire passer le goût du pain", etc. Mais une fois que vous avez réussi, à vous le nirvana : quel bonheur de goûter un pain croustillant et doré au sortir du four ! L'eau Le sel