
La prise de parole - Épisode 1 : oser parler Sommaire Épisode 1 – EXORDE, subst. masc. : ce qui constitue une entrée en matière, une introduction. La prise de parole est un défi quotidien, aussi bien dans la vie personnelle que dans la vie professionnelle. L’aisance orale n’est pas innée : tout comme l’écrit, elle se travaille ! Il faut apprendre à placer sa voix, regarder son interlocuteur, gérer son stress… Dès la classe de Troisième, les élèves sont évalués sur l’oral avec la soutenance du DNB. Pourtant, les enseignants sont généralement mieux formés pour préparer les élèves à des épreuves écrites, et ils disposent de ressources beaucoup plus nombreuses pour travailler sur les activités de rédaction. Dans ce premier épisode, nous allons vous présenter quelques outils et conseils afin d’organiser – sans prise de tête – des activités orales ! NARRATION, subst. féminin : partie du discours où l’orateur raconte, expose, développe le fait. Se lancer : prendre la parole Nous pratiquons tous l’oral en classe, au quotidien ! Le binôme Canva
Linux GNU/Linux Linux (parfois nommé GNU/Linux) est un système d'exploitation open source de type Unix, basé sur le noyau Linux créé en 1991 par Linus Torvalds. De nombreuses distributions Linux ont depuis vu le jour et constituent un important vecteur de popularisation du mouvement du logiciel libre. Si, à l'origine, Linux a été développé pour les ordinateurs compatibles PC et accompagné des logiciels GNU, il n'a jamais équipé plus d'une très faible part des ordinateurs personnels. Mais le noyau Linux, accompagné ou non des logiciels GNU, est largement utilisé sur les serveurs, téléphones mobiles, systèmes embarqués et les superordinateurs. À l'origine, le terme Linux ne désignait que le noyau de système d'exploitation Linux. Le système Unix a été créé par AT&T au début des années 1970 et s'est notamment répandu dans le monde universitaire. Minix est un système d'exploitation de type Unix fondé sur un micro-noyau. Linus Torvalds utilisait et appréciait Minix. 27 avril 2012 : 32,6 % Linux[35]
Les quatre libertés fondamentales du logiciel libre Les libertés d'utiliser, de copier, d'étudier et de modifier les logiciels ainsi que de redistribuer les versions modifiées constituent l'essence même du logiciel libre. Un logiciel est libre si et seulement si sa licence garantit les quatre libertés fondamentales : la liberté d'utiliser le logiciella liberté de copier le logiciella liberté d'étudier le logiciella liberté de modifier le logiciel et de redistribuer les versions modifiées Les deux dernières libertés ne peuvent s'appliquer que si l'on à accès au code source qui est en quelque sorte la recette de fabrication du logiciel. Les freewares (logiciels gratuits) et les sharewares ne doivent pas être confondus avec les logiciels libres. Le principe du shareware consiste à proposer une version limitée destinée à tester le logiciel, la liberté d'utiliser est limitée soit dans la durée, soit dans le nombre de fonctionnalités. Une caractéristique essentielle des logiciels libres est la possibilité d'accéder au code source.
GNU GNUÉcouter est un système d’exploitation libre créé en 1983 par Richard Stallman, maintenu par le projet GNU. Son nom est un acronyme récursif qui signifie en anglais « GNU’s Not UNIX » (littéralement, « GNU n’est pas UNIX »). Il reprend les concepts et le fonctionnement d’UNIX[2]. Les logiciels qui composent GNU sont généralement[réf. nécessaire] utilisés en association avec des logiciels libres issus d'autres projets tels que le noyau Linux. Son symbole est un gnou, bovidé vivant en Afrique[n 1]. Historique[modifier | modifier le code] Logo du trentième anniversaire du projet GNU. Le projet GNU initie alors en 1990 le projet de production d'un noyau nommé Hurd[6]. Hurd ne dépassera jamais réellement le stade de curiosité de laboratoire de recherche, en revanche, le travail réalisé a permis de finaliser une variante du système GNU basée sur le noyau Linux[10]. Influence grandissante[modifier | modifier le code] Philosophie[modifier | modifier le code] GNU en lévitation par Nevrax Design Team
CRISCO Dictionnaire Electronique des Synonymes (DES) Tapez l'unité lexicale recherchée puis cliquez sur Valider ou tapez Entrée Rechercher : sentir définition espace sémantique 62 synonymes apercevoir, apparaître, apprécier, blairer, cocotter, cogner, comprendre, connaître, constater, découvrir, dégager, dénoncer, deviner, discerner, embaumer, empester, empoisonner, empuantir, encaisser, entendre, éprouver, éventer, exhaler, flairer, fleurer, fouetter, gazouiller, goûter, haïr, halener, humer, indiquer, musser, odorer, paraître, pénétrer, percevoir, pifer, prendre à la gorge, pressentir, prévoir, puer, recevoir, remarquer, renifler, respirer, ressentir, révéler, savourer, schlinguer, se rendre compte, souffrir, soupçonner, subir, subodorer, suer, suinter, taper, trahir, trouilloter, trouver, tuer les mouches Classement des premiers synonymes 72 cliques • Taille et couleur :
Facing History and Ourselves en France Ce site est dédié en particulier à tous les acteurs sur le terrain dans le domaine de l’éducation afin de mieux faciliter un enseignement civique et moral permettant de développer les compétences des jeunes citoyens pour qu’ils puissent s’engager dans une société plurielle et démocratique. Notre intention est de vous offrir une « boîte à outils » comprenant des ressources pratiques encourageant l’engagement et le développement de l’analyse critique chez les jeunes collégiens et lycéens. L’objectif de Facing History and Ourselves est de former des citoyens afin qu’ils acquièrent les compétences et capacités requises pour protéger et renforcer la société civile. Nous offrons pour cela des formations, des ressources et un suivi à tous ceux qui enseignent aux adolescents. Fondée en 1976, Facing History and Ourselves est une ONG internationale ayant forgé des partenariats dans le monde entier.
Accueil Linuxfr.org Logiciels et logiciels libres, quel cadre juridique ? Intervention lors de la journée de promotion des logiciels libres "Aquitaine Libre" qui s'est déroulée le 6 juin 2009 à Agen Voir la présentation " Logiciels et logiciels libres, quel cadre juridique ?" I- Le régime juridique des logiciels 1- La qualification juridique du logiciel Le logiciel est une œuvre de l’esprit sont au sens de l’article L 112-2 13° du code de la propriété intellectuelle (CPI). Sont protégés à ce titre à la fois le logiciel en tant que programme d’ordinateur et le matériel préparatoire qui inclut : le dossier d’analyse fonctionnelle et de conception techniqueles maquettes et prototypesla documentation accessible en ligne incorporée au logiciel La protection par le droit d’auteur est conférée au logiciel à la condition qu’il soit original. Il est à noter que la protection légale bénéficie à l’auteur du seul fait de la création de l’œuvre et n’est subordonnée à aucune formalité ni dépôt. 2- Des droits moraux limités (article L 121-1 et suivants du CPI)
Projet GNU Le logo GNU, dessiné par Aurelio A. Heckert[1], inspiré d'un dessin d'Étienne Suvasa qu'il a simplifié[2]. C’est ainsi que la première version fonctionnelle du système GNU est construite en 1992 avec l’utilisation du noyau Linux, un projet développé indépendamment du projet GNU par Linus Torvalds. Mais si la « rencontre GNU/Linux » permet l’assemblage d’un système libre, le développement d’un micro-noyau reste aujourd’hui l’un des objectifs techniques du projet[8]. Le projet est soutenu par la Free Software Foundation, en assurant notamment sa protection légale par la gestion de ses droits d'auteurs[6],[note 2]. L’annonce du projet[modifier | modifier le code] Le projet GNU et la FSF[modifier | modifier le code] Le projet est soutenu par la Free Software Foundation depuis 1985 et s’organise dès l’origine en sous-projets solidaires. Bien que le système GNU soit la partie visible du projet GNU, les motivations de ce dernier sont avant tout des raisons sociales, éthiques et politiques.
Mise en forme de texte I. Introduction À l'origine, HTML devait décrire la structure du texte sans imposer sa représentation physique qui devait rester le choix de l'utilisateur et de son navigateur (voir le premier chapitre). Pour décrire la structure du texte, c'est à-dire la nature du contenu (nom, adresse...) on parle de formatage logique. Pour décrire la représentation physique du texte (gras, italique, taille des caractères...) on parle de formatage physique. Ce second type de formatage, on le rappelle, n'est pas à conseiller, sauf s'il faut assurer la compatibilité avec les plus vieux navigateurs. Ce cours va présenter ces deux types de formatage et les balises qui leur sont associées. II. 1. Il s'agit ici des titres qui s'afficheront dans la page (et non dans la barre de titre comme la balise <title> précédemment) : ce sont les en-têtes de sections ou paragraphes. Il existe six niveaux de titres d'importance décroissante : <h1>, <h2>, <h3>, <h4>, <h5>, <h6>. >Retour à la TdM Table 1. 2. a. b. 3. 4. 5. 1.
Pedago Maker – Décrivez votre enseignement en 3 clics Ubuntu passera à GNOME par défaut dès la prochaine version Ubuntu 17.10 Artful Aardvark, prévue pour octobre 2017 Après la sortie de la version stable d’Ubuntu 17.04 Zesty Zapus un peu plus tôt ce mois d’avril, Canonical se remet au travail pour la prochaine version de son OS attendue en octobre prochain, donc Ubuntu 17.10. Et la prochaine mouture de la célèbre distribution Linux aura pour nom de code Artful Aardvark. Pour ceux qui s’interrogent sur ce choix, il répond en effet à la logique derrière les noms de code des différentes versions d’Ubuntu. Cette logique consiste à choisir deux mots commençant par la même lettre et en respectant l’ordre alphabétique d’une version à l’autre. Le premier mot du nom de code doit être un adjectif et le second est en général le nom d’un animal. Le numéro de version, quant à lui, indique l’année (les deux premiers chiffres) et le mois (les deux derniers chiffres) de la date de sortie, sachant qu’on observe un intervalle de 6 mois entre chaque version. Sources : OMG Ubuntu, Log de la discussion de la communauté Ubuntu avec Will Cooke Et vous ? Qu’en pensez-vous ?
Journal officiel du 20 avril 2007 - NOR : CTNX0710138K Retour aux sources Journal officiel du 20 avril 2007 - NOR : CTNX0710138K Vocabulaire de l’informatique (liste de termes, expressions et définitions adoptés) I. - Termes et définitions antémémoire, n.f. Domaine : Informatique. Synonyme : mémoire cache. Définition : Mémoire très rapide, intercalée entre le processeur et la mémoire principale, que l’ordinateur consulte avant d’interroger la mémoire principale et qui, fournissant les parties de programme et les données les plus utilisées dans le traitement en cours, permet de réduire la durée de celui-ci. Note : La capacité de l’antémémoire est un des éléments déterminants de la puissance de l’ordinateur. Voir aussi : cache. Équivalent étranger : cache memory, cache storage. Attention : Cette publication annule et remplace celle des termes « mémoire d’accès rapide » et « antémémoire » au Journal officiel du 22 septembre 2000. cache, n.m. Domaine : Informatique. Équivalent étranger : cache. cache-disque, n.m. Équivalent étranger : disk cache. Note : 1. 2.
Categories of Free and Nonfree Software Also see Confusing Words which You Might Want to Avoid. This diagram, originally by Chao-Kuei and updated by several others since, explains the different categories of software. It's available as a Scalable Vector Graphic and as an XFig document, under the terms of any of the GNU GPL v2 or later, the GNU FDL v1.2 or later, or the Creative Commons Attribution-Share Alike v2.0 or later. Free software Free software is software that comes with permission for anyone to use, copy, and/or distribute, either verbatim or with modifications, either gratis or for a fee. If a program is free, then it can potentially be included in a free operating system such as GNU, or free versions of the GNU/Linux system. There are many different ways to make a program free—many questions of detail, which could be decided in more than one way and still make the program free. Free software is a matter of freedom, not price. Many languages have two separate words for “free” as in freedom and “free” as in zero price.