
Inducing Peer Pressure to Promote Cooperation : Scientific Reports Overview of mechanism The main idea behind the mechanism is illustrated in Figure 1. In contrast with the Pigouvian approach, which focuses on the individual causing the externality, our mechanism focuses on their peers in the social network. The idea is to incentivize agent A's peers to exert (positive or negative) pressure on A. In reality, such peer pressure may take many forms. This behavior can be encouraged/discouraged by internalizing the externality in the form of subsidy or tax on A and B directly; Bottom: Localizing externalities to the peers (yellow) of individuals A and B incentivizes their respective peers to use peer influence to encourage/discourage the behavior causing the positive/negative externality, respectively. Full size image (204 KB) Regardless of its form, peer pressure requires costly effort on behalf of agent A's peers. Our main insight is that by targeting the individual's peers, peer pressure can amplify the desired effect on the target individual. . . . . .
Présentation Comment ça marche ? - hellomerci Les fondamentaux : Combien emprunter ? Pourquoi prêter ? Quel montant peut-on emprunter au maximum ? Sur quelle durée rembourser ? Vous pouvez emprunter de 200 € à 10 000 €, et rembourser sur une période de 1 à 36 mois. C’est vous qui choisissez le montant de l’emprunt, la durée de la collecte et la durée de la période de remboursement. Pourquoi des gens prêteraient sans interêts financiers, à 0%? Parce que la motivation première des prêteurs issus de votre communauté est de vous permettre de réaliser vos projets. Prêter 1000€ à 0%, revient à “s’appauvrir” de 20€ par an si cette épargne avait été déposée sur un livret. Si nous prêtons à 0%, pourquoi un emprunt n’est-il pas gratuit ? hellomerci s’efforce de maintenir ses coûts au niveau le plus bas pour offrir les meilleurs tarifs aux porteurs de projet. hellomerci est un intermédiaire entre personnes physiques. Ceci étant dit, démarrer un projet sur hellomerci est un acte public impliquant d’abord sa propre communauté. Total : 270 000€
Elinor Ostrom ou la réinvention des biens communs La théorie des biens communs, ou plus précisément des « communs », suivant le terme anglais commons, qui est plus général et moins focalisée que la traduction française actuellement utilisée, a connu plusieurs périodes : les études historiques, l’analyse du fonctionnement des communs naturels et la construction des communs du numérique. Elinor Ostrom et l’approche institutionnelle de l’économie politique des communs est essentielle dans ce parcours pour comprendre le renouveau de l’étude des communs et l’apparition de mouvements sociaux qui se revendiquent de la défense ou de la construction des communs. Leçons de l’histoire L’histoire de l’Angleterre et du mouvement des enclosures, qui opposa très violemment les pauvres des campagnes aux propriétaires terriens entre le XIIIe et XVIIe siècle a été la première incarnation des analyses et des mouvements sur les communs. De la tragédie à l’écologie Les communs du numérique Continuer de construire une théorie des communs
La place des biens communs dans la transition écologique Les biens communs sont en vogue grâce aux travaux d’Elinor et Vincent Ostrom, mais le terme n’est pas stabilisé et se prête à des usages divers. Au-delà des cas les plus connus comme la gestion des ressources naturelles locales ou le numérique, leur véritable potentiel reste encore à explorer, notamment dans le domaine de la coproduction des services locaux. La « boîte à outils » des experts en politique environnementale abonde d’outils de régulation conçus « par le haut » : que ce soit sous forme des normes de qualité, de l’action directe de l’Etat ou des incitations financières (écotaxes, subsides, marchés des permis…), l’autorité centrale édicte des règles de jeu censées gouverner les comportements des marchés, des individus et des entreprises. La méfiance des décideurs s’accroît encore à l’idée que ces biens seraient gérés en « biens communs », autrement dit partagés par une communauté d’utilisateurs qui se dote elle-même des règles d’usage et veille à leur respect.
The Public Domain Review | Online journal dedicated to showcasing the most interesting and unusual out-of-copyright works available on the web Variety, not viral spread, is key to Facebook growth - tech - 02 April 2012 The notion that certain ideas spread like viruses is ingrained in everything from product marketing to political campaigning. It is also wrong, say researchers who have studied the spread of Facebook. They say that people are more likely to accept an idea that has been adopted by several social groups. The theory that ideas can be "contagious" is an old one. Biological research has since deepened the analogy. "There's definitely a strong intuition that the number of exposures to the message is a key," says Ugander. Friend me To study contagion, Ugander and Kleinberg teamed up with Cameron Marlow and Lars Backstrom, "in-house" sociologists at Facebook. If this list is long enough, contagion theory predicts that the person should accept the invite, since many of their friends are already "infected" with Facebook. The team found the same effect at work when they studied the use of Facebook. Journal reference: Proceedings of the National Academy of Sciences, DOI: 10.1073/pnas.1116502109
«Le domaine public est aussi un moteur économique» Conservateur à la Bibliothèque d’histoire internationale contemporaine, juriste et cofondateur de la plateforme SavoirsCom1 qui se mobilise pour la défense des «biens communs de l’existence», Lionel Maurel décrypte régulièrement sur son blog (1) les attaques qui visent le domaine public. Comment analysez-vous cette «affaire» Sony-Dylan ? C’est carrément une provocation, puisqu’ils ont sous-titré ce disque «The Copyright Extension Collection». Plus largement, la gratuité dérange profondément les industries culturelles. Pour elles, dans la musique comme dans d’autres secteurs, c’est quelque chose qu’il faut combattre. Donc, il faut combattre le domaine public comme le piratage ou les exceptions pédagogiques [qui permettent d’utiliser une œuvre à des fins d’éducation et de recherche sans avoir à verser de droits d’auteur, ndlr]. L’argument qui dit qu’une œuvre tombée dans le domaine public devient moins disponible tient-il ? Non. Internet a-t-il changé la perception du domaine public ?
Vers un droit de propriété sur les données en Europe ? Le Conseil National du Numérique a rendu, il y a quelques jours, un avis à propos d’une consultation lancée en janvier dernier par la Commission européenne sur la question de la « libre de circulation des données en Europe ». Cela fait un moment que la Commission veut lancer une initiative en faveur du « Free Flow of Data » – la « fluidification des données » – dans l’optique de créer de nouvelles opportunités économiques au sein du Marché unique. L’avis du CNNum est particulièrement intéressant et en voici un résumé : Pour encourager la libre circulation des données, la Commission européenne a annoncé étudier un certain nombre de pistes, législatives ou non. On lit donc que la Commission envisage l’instauration d’un nouveau « droit de propriété sur les données non-personnelles ». Un nouveau de droit de propriété sur les données « captées » ? Et plus loin : On est donc dans le champ de ce que l’on appelle les « Objets Connectés » ou « Internet des Objets« . Dystopie en marche… WordPress:
Value Of The Public Domain Introduction One of the first printed texts of which we have record is a copy of the Buddhist Diamond sutra produced in China around 868AD. In it can be found the dedication: "for universal free distribution". Clearly, the idea of public domain, that is open access to knowledge 1 , has been present since humanity first began to formally transmit and share ideas. It is also likely that the urge to keep ideas secret, particularly those that had 'commercial' value, is equally old. With the development of trade and technology, particularly during the Renaissance in Europe, these parallel approaches of openness and secrecy continued to evolve but the tension between them also increased. However there have also been considerable changes. However the most significant of all changes underlies these others, for it is the change in the role of knowledge in society and the economy. Too often this value has been unarticulated and thereby left vulnerable. General Remarks The Concept of (Social) Value
The Abundant Exchange Michel BAUWENS- Et si la ville anticipait l’émergence d’une économie peer-to-peer ? Propos recueillis par Emile Hooge-Octobre2012. Michel Bauwens est le fondateur de la Foundation for Peer-to-Peer Alternatives. Il est chercheur associé en sciences de l’information à l’Université d’Amsterdam, et expert auprès de l’Académie Pontificale des Sciences Sociales. On entend de plus en plus souvent parler d’échanges p2p (peer-to-peer ou pair-à-pair) et de modèles open source dans d’autres domaines que celui des médias numériques et du logiciel. Il y deux tendances lourdes qui font du modèle p2p une réalité tangible et durable. La première tendance c’est l’horizontalisation de la communication à grande échelle permise par internet. La seconde tendance c'est la transposition de cette organisation horizontale du champ de la connaissance vers l’ensemble du système économique. Ces tendances conduisent à l’émergence de deux types de modèles économiques. Mais alors, comment un tel modèle économique peut-il coexister avec le modèle capitaliste dominant aujourd'hui ?
Histoire et théorie des biens communs numériques - Ritimo Depuis quelques années, les théories des communs sont proposées comme de nouvelles approches pour penser le monde au niveau économique, social, politique et environnemental. La reconnaissance des travaux d’Elinor Ostrom, entre autres, a permis de jeter un nouvel éclairage optimiste, politisé et économique sur la gestion d’une ressource commune dans un contexte d’appropriation privée (capitaliste et néolibérale). Dans ses travaux sur la nouvelle économie politique des communs, Christian Laval analyse quant à lui la place des communs au sein d’une économie politique néolibérale, en faisant un retour critique sur les écarts et les liens entre bien public et bien commun. La théoricienne féministe Sylvia Federici porte quant à elle un regard critique sur cet intérêt croissant pour les biens communs, notamment en ce qui concerne leur récupération capitaliste. Trois moments clés de l’histoire des biens communs Source Wikimedia, Licence : cc-by-sa-3.0. Adapté de Ostrom et Hess [4]
Common goods 07/04/2014 - Discover what we can learn from different ways of bringing people together to make sense of issues and develop solutions that they can take forward. 06/04/2014 - We're developing a Transeuropa Village with Tate Britain, Millbank Estate TMO and Chelsea College of Art & Design for Europe Day. We're looking for how you'd like to use the space! ... 04/04/2014 - European Alternatives, Tate Britain, Millbank Estate TMO and Chelsea College of Art & Design are working together to celebrate Europe Day on the 9-10 May 2014 at our "Transeuropa ... 02/04/2014 - If politicians want to try and understand how people live, they need to really step out on the streets and not try and reach out to to Mr & Mrs Average. How does politics engage with voters for the ...