
Karl Popper - Wikipédia Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Popper. Karl R. Popper Philosophe occidental XXe siècle Biographie[modifier | modifier le code] Karl Popper est né de parents juifs convertis au protestantisme. Puis il étudie à l'Université de Vienne. En 1936, il donna des conférences en Grande-Bretagne, où il rencontra ses compatriotes Hayek et Gombrich. Début 1946, il revint s'installer à Londres. Il était membre de la British Academy. Il prit sa retraite d'enseignant en 1969 et mourut le 17 septembre 1994, sans avoir eu le temps de rédiger la préface de son dernier recueil de conférences Toute vie est résolution de problèmes. Sa pensée[modifier | modifier le code] Philosophie des sciences[modifier | modifier le code] Le problème de la démarcation[modifier | modifier le code] Cette critique de l'induction conduit Popper à remettre en cause l'idée (que l'on attribue un peu rapidement à tous les positivistes) de vérification.
Edmund Husserl — Wikipédia Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Edmund Husserl Philosophe allemand XXe siècle Biographie[modifier | modifier le code] Husserl est né le 8 avril 1859 à Proßnitz en Moravie dans l'Empire austro-hongrois (actuelle République tchèque). Il meurt le 26 avril 1938, alors que le national-socialisme menace de destruction ses manuscrits inédits. La radicalisation du projet cartésien[modifier | modifier le code] Mathématicien de formation, Husserl s'intéresse d'abord à la philosophie des sciences, notamment à partir de la question des objets mathématiques. un fondement absolu apodictiqueune méthode d'investigation permettant d'avancer dans ses recherches « Quiconque veut vraiment devenir philosophe devra « une fois dans sa vie » se replier sur soi-même et, au-dedans de soi, tenter de renverser toutes les sciences admises jusqu'ici et tenter de les reconstruire. »[3] Les quatre grands principes de la phénoménologie transcendantale[modifier | modifier le code]
Philosophie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. À la différence des sciences naturelles, des sciences formelles et des sciences humaines, auxquelles elle est intimement liée par son histoire, la philosophie ne se donne pas un objet d'étude particulier et unique. On trouve toutefois au sein de la philosophie des domaines d'étude distincts, tels la logique, l’éthique, la métaphysique, la philosophie politique et la théorie de la connaissance. Au cours de l’histoire, d’autres disciplines se sont jointes à ces branches fondamentales de la philosophie, comme l’esthétique, la philosophie du droit, la philosophie des sciences (appelée aussi épistémologie), la philosophie de l'esprit, l’anthropologie philosophique, ou la philosophie du langage. Étymologie[modifier | modifier le code] La philosophie est à plusieurs reprises définie par Platon comme étant en opposition avec les désirs humains : philo-hèdonos (amour du plaisir), philo-sómatos (amour du corps), ou philo-nikos (amour de la victoire).
Friedrich Hölderlin - Wikipédia Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Friedrich Hölderlinpenseur et poète allemand Œuvres principales HypérionLa Mort d'EmpédocleHymnesRemarques sur Sophocle Signature alt=Signature de Friedrich Hölderlinpenseur et poète allemand Friedrich Hölderlin ['fʁi:dʁɪç 'hœldɐlɪn] (1770-1843) est un poète et philosophe très proche de Fichte, Schelling, Hegel, de la haute période classico-romantique en Allemagne – époque que la tradition culturelle occidentale fait encore rayonner autour de la figure emblématique de Goethe[1]. L’énorme élaboration philosophique allemande d’alors, sécularisatrice de la religion par le protestantisme culturel, est partie prenante de cette époque : le grand nom, c’est Emmanuel Kant, que Hölderlin appellera le « Moïse de la nation allemande ». Biographie[modifier | modifier le code] La formation[modifier | modifier le code] La maison natale de Hölderlin à Lauffen am Neckar. Le temps d’Hypérion et d’Empédocle[modifier | modifier le code]
Martin Heidegger — Wikipédia Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Martin Heidegger Philosophe allemand Époque contemporaine Martin Heidegger, né le à Messkirch et mort le à Fribourg-en-Brisgau, est un philosophe allemand important. Après ce qu'il appelle le « tournant » de sa pensée dans les années 1930, il s'intéresse aux questions de langage et à l'exégèse des textes historiques, ce qui l'amène à étudier ses prédécesseurs Kant et Nietzsche, mais aussi les présocratiques, la poésie de Hölderlin, le règne de la technique et bien d'autres sujets. Il est également l'un des philosophes les plus controversés, notamment à cause de son attitude durant la période 1933-1934 où il fut recteur de l'université de Fribourg et adhérent au Parti national-socialiste des travailleurs allemands (NSDAP), dont il se serait éloigné par la suite. Biographie[modifier | modifier le code] Un résumé biographique est fourni en introduction des Cahiers de l'Herne[2]. Premières années[modifier | modifier le code] La tombe de Heidegger.
Cogito ergo sum Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Cogito. Cogito, ergo sum (Je pense, donc je suis)[1] est une formule latine[2] forgée par le philosophe René Descartes[3]. Elle exprime la première certitude qui résiste à un doute méthodique. Cherchant à refonder entièrement la connaissance, Descartes souhaite lui trouver un fondement solide, absolument certain. Cette recherche l'amène à la conclusion que seule sa propre existence, en tant que « chose qui pense », est certaine au départ. D'abord employée en français dans le Discours de la méthode (1637)[4], la formule connaît plusieurs variantes dans l’œuvre de Descartes. Indépendamment des formulations, le cogito constitue un élément majeur de la pensée cartésienne. Dans le jargon philosophique, l'expression est fréquemment raccourcie et substantivée. Le cogito cartésien[modifier | modifier le code] Origine[modifier | modifier le code] Dans la philosophie de Descartes[modifier | modifier le code]
Friedrich Wilhelm Joseph von Schelling - Wikipédia Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Friedrich Wilhelm Joseph von Schelling Philosophe allemand Époque moderne Friedrich Wilhelm Joseph von Schelling (né le à Leonberg près de Stuttgart, dans le Wurtemberg, en Allemagne, et mort le à Bad Ragaz, en Suisse) est un philosophe allemand, grand représentant de l'idéalisme allemand et proche du romantisme. Il eut pour collègues d'études au Tübinger Stift le philosophe Hegel et le poète Hölderlin. L'ensemble de sa vie intellectuelle sera marquée par la quête d'un système qui réconcilierait la Nature et l'Esprit, les deux versants (inconscient et conscient) de l'Absolu. S'ensuit alors la Spätphilosophie (dernière philosophie) de Schelling : ses leçons sur la « philosophie de la mythologie », puis sur la « philosophie de la Révélation », qui analysent la relation de l'Absolu aux manifestations religieuses telles que le polythéisme et le christianisme. Biographie[modifier | modifier le code] Friedrich Hölderlin Schelling vers 1800
Victor Considerant — Wikipédia Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Victor Prosper Considerant Biographie[modifier | modifier le code] Victor Considerant Portrait par Jean Gigoux Victor Considerant fut élève de son père, Jean-Baptiste, professeur de rhétorique au collège de Salins. Il finit sa vie au Quartier Latin, refusant obstinément de reprendre toute activité politique. Controverse[modifier | modifier le code] Dans son livre Le Complot de la réserve fédérale, le professeur d'université américain Antony Cyril Sutton accuse le philosophe Karl Marx d'avoir pour la rédaction de son manifeste fortement plagié l'ouvrage de Victor Considerant, Principe du socialisme ; Manifeste de la démocratie au XIXe siècle, publié en 1843. Critiques[modifier | modifier le code] Œuvres (par ordre chronologique)[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Sources[modifier | modifier le code] Michel Vernus, Victor Considerant. Liens externes[modifier | modifier le code] Références[modifier | modifier le code]