
Une intelligence artificielle a presque remporté un prix de littérature - Pop culture Un concours littéraire japonais a vu se présenter 11 auteurs robotiques sur les 1 450 participants. Un seul a réussi à se retrouver au sommet de l'affiche, devant des écrivains faits de chair et d'os. Jusqu’à aujourd’hui, les robots écrivains étaient connus pour leur compétence sur de courts textes qui font appel à de nombreuses données, dates, lieux, chiffres etc. Les robots aspirants journalistes par exemple se multiplient notamment dans l’information financière. Mais cette fois-ci, les écrivains de la Littérature — avec un L majuscule — ont peut-être du souci à se faire. Durant un concours de romans japonais, le Hoshi Shinichi Literary Award, où étaient inscrits plus de 1 450 candidats, 11 étaient en fait des intelligences artificielles. Cette intelligence artificielle a été développée par l’université japonaise d’Hakodate, qui peut désormais s’enorgueillir d’avoir atteint la finale grâce à un texte généré par une IA. « Je fus surpris du travail, car c’est un roman très structuré.
Comment l’IA va mettre la manipulation des images à la portée de tous Avec l’avancée des nouvelles technologies, la retouche d’image est devenue largement accessible au grand public. On peut désormais réaliser toute sorte de montages très facilement grâce à des filtres comme ceux que l’on trouve sur Snapchat ou Instagram, pour ne citer qu’eux, ou grâce à de puissants logiciels tels que Photoshop. Aujourd’hui, on en arrive même, parfois, à ne plus savoir faire la différence entre un cliché authentique et un montage. Et avec le développement de l’intelligence artificielle, qui recèle de nombreuses opportunités en matière de retouche et manipulation automatique d’images, pourrons-nous encore croire, dans un futur pas si lointain, à ce que nos yeux nous montrent ? Un domaine prometteur Smile Vector est un bot capable de mettre un faux sourire sur le visage de n’importe quelle célébrité. C’est précisément ce sur quoi travaille Jeff Clune, professeur en science informatique à l’Université du Wyoming, depuis 2015. Vers une démocratisation rapide ?
Présentation de la stratégie France I.A., pour le développement des technologies d'intelligence artificielle Du 20 janvier au 14 mars 2017, 17 groupes de travail se sont réunis à l'initiative du Gouvernement, pour proposer des actions de politique publique visant à développer l'intelligence artificielle en France. Une cinquantaine de propositions ont été remontées par les différents groupes de travail, ainsi que lors des Journées de l'Intelligence Artificielle organisées dans l'ensemble du pays, autour des thèmes suivants : En matière de recherche, affirmer l'excellence de la recherche française en préservant sa diversité, en développant l'interdisciplinarité, et en valorisant les talents Sur la formation, améliorer l'environnement et l'appropriation des questions d'IA dans la société, pour permettre la compréhension des enjeux de l'IA et créer des vocations, susciter l'envie d'innover, et pour former à des métiers transformés en continu. A la suite des travaux menés par les groupes de travail, plusieurs actions seront menées dès les prochaines semaines et au cours de l'année 2017 :
Quand l’intelligence artificielle révolutionne la traduction automatique La machine va-t-elle rattraper puis dépasser l'homme dans tous les domaines, même ceux qui exigent des qualités poussées de compréhension, de contextualisation, d'anticipation, de finesse, bref, des caractéristiques profondément humaines ? Au début de l'année, le meilleur joueur de go au monde a été battu à la loyale par une intelligence artificielle de Google. L'exploit paraissait pourtant impossible, mais la machine, dopée à l'intelligence artificielle, au deep learning (apprentissage en profondeur) et enrichie par le big data (analyse des données à grande échelle) a prouvé qu'elle pouvait anticiper le jeu et faire preuve de créativité dans les coups, jusqu'à battre le champion du monde. L'intelligence artificielle va bouleverser la traduction Quid de la traduction ? Cela va changer. Systran lance sa solution de traduction neuronale pour les entreprises Ce réseau comprend 3.000 lignes de codes, soit davantage, d'après l'entreprise, que celui de Google Translate.
Se former à l’ère de l’intelligence artificielle « Les illettrés du XXIème siècle ne seront pas ceux qui ne savent pas lire ou écrire mais ceux qui ne savent pas apprendre, désapprendre et réapprendre », prédisait le futurologue Alvin Toffler dès les années 70. Mais que faut-il apprendre dans un monde déjà dominé par les nouvelles technologies et demain par l’intelligence artificielle ? Et comment ? Que deviendront les diplômés d’aujourd’hui dans ce monde de la « fin du travail » que prophétisait Jeremy Rifkin en 1995 dans son livre éponyme ? Des étudiants de NEOMA BS visitent une entreprise en réalité virtuelle La montée en puissance de l’IA Après l’ère numérique, les formateurs doivent maintenant faire face à la montée en puissance d’une intelligence artificielle (IA) qui s’apprête à tout bouleverser. « Il y a 20 ans nous formions des diplômés qui allaient travailler dans le marketing et la finance. Quel impact sur le marché du travail ? Quelle IA dans l’éducation ? Développer d’autres compétences Apprendre… autrement
Ce que Mark Zuckerberg a appris de l'IA en développant la sienne - Tech Mark Zuckerberg a développé une intelligence artificielle pour contrôler sa maison. Qu'a-t-il appris de cette expérience ? Souvenez-vous : début 2016, Mark Zuckerberg se donnait un défi personnel qui consistait à construire une « intelligence artificielle » capable de contrôler sa maison. Le problème de l’IA Histoire de faire les choses à l’envers, évoquons d’abord sa conclusion, qui nomme le principal enjeu de la recherche en intelligence artificielle aujourd’hui : l’apprentissage. Ce débat fondamental autour de la recherche en intelligence artificielle ne date pas d’hier. Comme le rappelle le très beau portrait paru dans The Atlantic, l’héritage d’Hofstadter a été acclamé puis est tombé subitement dans l’oubli : l’histoire de la technique a préféré emprunter une voie plus simple, plus rentable mais plus efficace, celle de l’intelligence artificielle qu’on connaît et dont l’exemple le plus marquant peut être la victoire de l’ordinateur sur l’humain aux échecs.
L’intelligence peut-elle devenir artificielle ? Comment l’intelligence pourrait-elle se définir ? On dit souvent qu’elle est "l'ensemble des processus de pensée d'un être vivant qui lui permettent de comprendre, d'apprendre ou de s'adapter à des situations nouvelles". Cette phrase est certainement très intelligente, mais elle est un peu vague : elle ne précise pas, par exemple, dans quelle mesure on doit considérer que le sens commun fait partie de l’intelligence. Par ailleurs, le sens du mot "intelligence" est-il le même selon qu’on parle d’intelligence humaine ou d’intelligence artificielle ? Régulièrement, nous apprenons que l’intelligence artificielle "bat" l’intelligence humaine dans certains secteurs ou dans certaines activités, comme les jeux d’échec ou de go. Invité : Yann Le Cun, ingénieur, pionnier dans le domaine du « deep learning » (l’apprentissage profond) est directeur du FAIR (Facebook Artificial Intelligence Research), le laboratoire d'intelligence artificielle du réseau social Facebook. Programmation musicale
Washington s'inquiète des conséquences de l'IA sur le monde du travail - Politique Un document du gouvernement américain publié récemment souligne la préoccupation de Barack Obama et de son administration sur les enjeux futurs concernant les avancées de l'intelligence artificielle, notamment en ce qui concerne le monde du travail. Un rapport publié le 20 décembre dernier par l’administration du président des États-Unis souligne que beaucoup d’emplois sont aujourd’hui menacés par l’avancée de l’intelligence artificielle. En effet, le document, intitulé « Intelligence artificielle, Automatisation et Économie », souligne : « La direction que prend l’IA nous permet de prévoir certaines choses, par exemple en ce qui concerne les emplois liés aux transports et au ménage, des métiers moins qualifiés. Les avancées dans la vision par ordinateur et dans les technologies du secteur permettent de réaliser des véhicules complètement automatisés (AVs), qui ne nécessitent plus la présence d’un conducteur et qui apparaissent de plus en plus fréquemment.
Watson : comment marche l'IA d'IBM dans la santé, la banque... Watson, l'intelligence artificielle d'IBM, est capable de répondre aux questions en langage naturel que lui posent ses utilisateurs dans de nombreux secteurs comme la banque ou la santé. [Mise à jour le 30 novembre 2017 à 11h39] Le département australien de la Défense débourse 4 millions de dollars australiens à la branche locale d'IBM pour bénéficier des services cognitifs d'IBM Watson pendant trois ans. Le gouvernement testait depuis plusieurs mois l'intelligence artificielle du groupe américain. Watson est un logiciel d'intelligence artificielle sur lequel IBM travaille depuis 2005. L'objectif de ce système de "cognitive computing" comme l'appelle l'entreprise ? IBM Watson Le groupe américain IBM a développé le logiciel Watson au sein de son équipe de recherche DeepQA research Team. Pour commercialiser son logiciel auprès des entreprises, Big Blue a créé en janvier 2014 IBM Watson Group, une branche dédiée à l'exploitation du supercalculateur. L'intelligence artificielle de Watson
Chatbots : Quand l'IA donne la réplique à l'être humain TCHATCHE. L'art de la conversation n'est peut-être déjà plus l'apanage du genre humain. Entre les assistants vocaux comme (Siri ou Cortana) qui s'invitent sur nos smartphones et les boîtiers connectés qui réagissent au son de la voix (Alexa, qui équipe l'enceinte Echo d'Amazon), les machines ont dû apprendre à nous comprendre afin de répondre intelligemment à nos besoins. Une tendance qui se généralise aux échanges oraux comme écrits (notamment sur les réseaux sociaux), et qui a un nom : on parle de chatbots (ou agents conversationnels, chatterbots en anglais). Mais qu'est-ce au juste qu'un chatbot ? Et les usages concrets des chatbots ne manquent pas. Des machines capables d'interagir au delà des mots On mesure le chemin parcouru depuis le premier chatbot informatique, Eliza, conçu en 1966. Pour quelle convivialité dans les échanges homme/machine? Des chatbots à notre image... vraiment ? ÉTHIQUE.
» Journaliste : ” Nous, médias, comme vous, élus, n’arrivons pas à faire passer l’idée que l’Europe apporte quelque chose ; il y a un vrai mea culpa à avoir !” Comme en 2005, les médias ont joué à fond leur rôle : assurer la propagande de l’Union européenne. Un moment mythique donc hier : sur BFM TV, la journaliste Roselyne Dubois, dépitée, lâche le morceau face à Nadine Morano ; elle reconnaît que sa fonction est d’influencer l’opinion – et non pas de l’informer : « Nous, médias, comme vous, élus, n’arrivons pas à faire passer l’idée que l’Europe apporte quelque chose. Que faut-il changer ? Il y a un vrai mea culpa à avoir ! L’aveu est fascinant dans sa naïveté même : la journaliste ne trouve rien d’anormal à déclarer qu’elle se charge de la communication de l’UE, cela va de soi pour elle, elle y croit totalement, et à complètement oublié la Charte de Munich régissant (si peu…) les devoirs de sa profession, dont : 2. Évidemment, jamais elle n’arrivera à faire le lien avec ses anciens confrères de la télé soviétique dans les années 1980… Autre florilège de la fin de semaine : Mais revenons à nos journalistes, en pleine gueule de bois ce 24 juin.