Petites histoires d’internet – que personne ne voudrait vivre, brochure et site internet de prévention (Suisse) « Petites histoires d’internet – que personne ne voudrait vivre » (pour une société de l’information plus sûre) est une initiative intéressante portée par les services de la Confédération Suisse (Office fédéral de la communication – OFCOM) et des cantons qui viennent donc de publier conjointement une brochure du même nom : « Petites histoires d’internet – que personne ne voudrait vivre » (à télécharger à cette adresse). Les histoires de cette brochure (déclinée également sous la forme d’un site Web : Petites Histoires d’Internet) présentent des situations à risque sur l’Internet et indiquent comment les reconnaître et les éviter. Le but de cette publication est de renforcer la sécurité et la confiance de la population en matière d’utilisation des Technologies de l’Information et de la Communication (TIC). Ces histoires sont vécues par des personnes que ce soient des parents, des enfants, des jeunes, l’administration ou encore des salariés en PME. Les 10 BD thématiques : Licence :
Traces Numériques Ce pochoir à l’entrée d’une station de métro de Saint-Germain-des-Prés à Paris sur la loi Loppsi illustre un des grands principes de notre monde contemporain : la potion magique outillée comme poison et remède dans un univers de bouc émissaire où il existe une nécessité de purification : purger le mal de la société. C’est là même ce que recouvre le terme de "pharmakos" comme rite de purification dans la Grèce antique. Le pochoir Loppsi sur une bouteille constitue un symbole fort évocateur du Pharmakon. Les philosophes Jacques Derrida, René Girard s’y sont intéressés et Bernard Stiegler qui fonde une partie de ses écrits sur l’expulsion, le Pharmakon ainsi défini : "En Grèce ancienne, ce mot désigne à la fois un remède, un poison, et un bouc-émissaire. (…) Une pharmacologie de l’attention, par exemple, s’intéresse aux effets, positifs ou néfastes, qu’ont sur l’attention, les nouveaux médias, afin bien entendu de susciter les premiers et d’éviter les seconds.” Crédit photo : J.
Media Education — Le portail de l'éducation aux médias en France « E-réputation et traces numériques » : nos impressions Jeudi 21 mars 2013, l’Université Toulouse Capitole 1 accueille le colloque international « e-réputation et traces numériques ». Organisé par l’équipe Médias, Culture et Communication de l’IDETCOM, il donne la parole à de nombreux universitaires sur des thématiques telles que l’identité numérique, la traçabilité ou le droit à l’oubli. Une journée extrêmement dense avec près de 40 interventions. Rapide tour d’horizon et premières pistes de réflexion. Suivre un colloque sur l’e-réputation est un vrai sport cérébral. On arrive l’esprit frais et dispos, prêt à recevoir une foule d’informations. C’est tout l’intérêt de ce type d’évènements : confronter ses quelques connaissances et ses nombreuses croyances à d’autres points de vue. C’est tout l’intérêt de ce type d’évènements : confronter ses quelques connaissances et ses nombreuses croyances à d’autres points de vue. Photo de Léo Mora Schéma issu de la présentation de Louise Merzeau Soyons lucides et honnêtes. Baptiste Articles Récents
Internet sans crainte Par le biais des navigateurs, des informations sur vous peuvent être récupérées sans que vous ne vous en rendiez compte (voire la rubrique « Données et tracking »). Afin de protéger vos données, et donc votre vie privée, il est important de bien paramétrer vos navigateurs. : supprimer régulièrelment l'historiqu et les cookies, indiquer aux sites qu'on refuse d'être pisté, et éventuellement utiliser le mode navigation privée et un bloqueur de publicités. Sur Mozilla Firefox : Ouvrir le menu puis cliquer sur Historique et sur effacer l’historique récent Sélectionner l’intervalle à effacer, vérifier que toutes les cases sont cochées puis cliquer sur « effacer maintenant » Sur Google Chrome Aller dans le menu sur « History » ou Historique puis cliquer sur « Clear browsing data » ou effacer les données du navigateur Sur Internet Explorer Aller dans les réglages et cliquer sur « Options Internet » et cocher la case « supprimer l’historique de navigation à la fermeture du navigateur »
Les traces numériques, qu’est-ce que c’est ? | Sherlock à la recherche des traces numériques Les traces numériques sont les preuves de notre passage sur Internet. Quoiqu’on y fasse; acheter des vêtements, surfer sur les réseaux sociaux, ou bien regarder des vidéos d’un chien volant, toutes les données auxquelles on pourrait s’intéresser sur Internet sont conservées et stockées dans des bases de données par les fournisseurs d’accès et les hébergeurs de sites Web. Ces informations sont diverses et variées. Elles peuvent être un simple cookie, un historique de recherches, l’adresse IP de l’ordinateur, les journaux de connexion ou même les informations personnelles laissées sur un profil ou un compte d’acheteur. Le temps d’un simple clic sur une page Web, les serveurs hébergeant cette page possèdent toutes les informations de notre ordinateur. WordPress: J’aime chargement…
Identité numérique et détournements La semaine dernière j’ai participé au colloque du magistère en droit des TIC de l’Université de Poitiers, intitulé « Sexe, mensonges et vidéos : nouveaux aspects de la cybercriminalité ». Au milieu de nombreux chercheurs en droit et juristes, je suis donc venu parler d’identité numérique, et des détournements de celle-ci : les concepts associés, les enjeux en termes de réputation et les manières de les identifier. Voici un compte rendu de cette présentation. A noter avant toute chose (hormis le fait que je ne suis vraiment pas un juriste :-)), je parle bien ici de détournement et pas d’usurpation. Il me semble, et c’est ce que je développe ici, que la finalité n’est pas la même : l’usurpation vise l’appropriation d’une IDN (identité numérique) à des fins plus ou moins recommandables. Plutôt que de poser simplement mes slides, j’ai décidé de varier un peu, et de vous proposer ci-dessous les commentaires en fonction des slides. Eléments de contexte : web social et détournements (slide 2)