
Qu'est-ce qu'une épidémie ? - Corpus - réseau Canopé Du préfixe grec épi, pouvant évoquer un « événement brutal », et du terme dêmos, « le peuple », l’épidémie est ici définie par Antoine Flahault comme un phénomène brutal (souvent infectieux) survenant au sein d’une population. Cette définition intègre trois critères essentiels : un nombre élevé de patients infectés, une zone géographique circonscrite et une délimitation temporelle (événement temporaire). On peut citer comme exemples les épidémies de grippe saisonnière ou de choléra. La pandémie (du grec pan, « tous », et dêmos, « peuple »), quant à elle, correspond à une épidémie dont l’extension géographique est beaucoup plus étendue, à l’échelle du globe par exemple. Du préfixe grec épi, pouvant évoquer un « événement brutal », et du terme dêmos, « le peuple », l’épidémie est ici définie par Antoine Flahault comme un phénomène brutal (souvent infectieux) survenant au sein d’une population.
Comprendre la propagation des maladies - Corpus - réseau Canopé Cette séquence peut amener les élèves de cycle 4 à s’interroger sur le risque infectieux mondial, et peut être rattachée à l’actualité. Par exemple, il est possible de la compléter avec un extrait de journal écrit ou télévisé concernant la transmission du virus Ebola.Elle peut être exploitée en début de la partie « Risque infectieux », en illustrant visuellement comment un micro-organisme peut se propager d’un individu à un autre, et aboutir au problème suivant : comment se transmettent les micro-organismes pathogènes ?Le lien peut être fait avec d’autres disciplines (sciences, technologie et sociétés, épidémies, gestion de la santé publique).On peut également l’exploiter en complément de la notion de vaccination (corps humain et santé, politiques de prévention et de lutte contre la contamination et/ou l’infection), afin d’illustrer l’intérêt de la vaccination sur la propagation globale d’une épidémie.
Le sida : la géographie - Corpus - réseau Canopé Vivre avec le VIH, telle est la situation actuelle de plus de 35 millions de personnes à travers le monde. Depuis plusieurs années, les mesures préventives combinées et la prise en charge thérapeutique, de plus en plus efficace, des patients séropositifs au VIH ont permis de diminuer significativement la mortalité liée au sida.Cependant, cet accès aux traitements de qualité est inégalement réparti à la surface de la planète.Et pourtant… Les efforts, portés (entre autres) sur les populations africaines, montrent, avec 30 % de patients supplémentaires pris en charge, qu’il est actuellement possible d’augmenter la couverture thérapeutique. Plusieurs pays émergents tels que le Brésil ou le Mexique ont ainsi réussi à placer leur population sous couverture universelle.
La vaccination - Corpus - réseau Canopé Jean-François Bach explique que les vaccins, qui représentent une des plus grandes avancées médicales, ont permis d’enrayer de nombreuses maladies infectieuses, parfois mortelles. Pourtant, les campagnes de vaccination ne fonctionnent pas aussi bien qu’on l’espérerait. Des rumeurs persistantes apparaissent dans certains pays et laissent entendre la dangerosité des vaccins, même quand il est prouvé scientifiquement qu’ils sont efficaces et qu’il n’y a pas d’effets secondaires reconnus.Par crainte d’effets secondaires alors qu’il n’y en a pas, les gens renoncent au vaccin. C’est ce qui s’est produit pour la dernière épidémie de grippe : seuls 8 % de Français ont accepté de se faire vacciner, contrairement à d’autres pays européens (65 % en Suède).
Le sida : le corps - Corpus - réseau Canopé La contamination par le VIH peut s’opérer de différentes manières : par voie sexuelle, sanguine et/ou par voie materno-fœtale. Après contamination, le virus, parasite cellulaire obligatoire, infecte rapidement ses cellules hôtes, notamment les cellules CD4+, pièces maîtresse du système immunitaire. Dans ces cellules, le VIH peut, en détournant la machinerie cellulaire, se répliquer et faire bourgeonner de très nombreuses copies virales. Cette dernière phase coïncide avec l’effondrement des défenses immunitaires caractérisant l’état d’immunodéficience.Ce stade clinique est celui où les agents infectieux opportunistes peuvent coloniser l’organisme affaibli, favorisant l’apparition et le développement de maladies dites opportunistes, telles que la tuberculose ou la toxoplasmose.
Réseau Sentinelles > France > Accueil La surveillance des IRA a pour objectif le suivi des épidémies de COVID-19, de GRIPPE ainsi que celles dues aux autres virus respiratoires saisonniers (VRS, rhinovirus et métapneumovirus).En France métropolitaine, la semaine dernière (2021s41), le taux d’incidence des cas d’infection respiratoire aiguë (IRA) vus en consultation (ou en téléconsultation) de médecine générale a été estimé à 132 cas pour 100 000 habitants (IC 95% [116 ; 148]). Ce taux est en augmentation par rapport à la semaine 2021s40 (données consolidées : 112 [101 ; 123]). Au niveau régional, les taux d’incidence les plus élevés ont été observés en : Provence-Alpes-Côte d’Azur (231 [151 ; 311]), Bretagne (179 [82 ; 276]) et Occitanie (176 [125 ; 227]). Surveillance de la grippe : deux prélèvements ont été testés positifs pour un virus grippal depuis la reprise de la surveillance. Il s’agissait de deux cas de virus grippaux de type A. Les deux ont été isolés en semaine 38 (mi-septembre).
Pourquoi le sida a tué deux fois moins en 10 ans Selon le rapport annuel de l'ONU sur le sida, publié jeudi 20 juillet, la mortalité du sida a été réduite de moitié de 2005 à 2016. Alors qu'une conférence scientifique majeure organisée à Paris du 23 au 26 juillet questionnera et approfondira ce bilan, voici en graphiques le constat de ces progrès et l'explication de leurs causes. 1) Un engagement politique pour une meilleure diffusion des traitements En 2016, pour la première fois dans l'histoire, plus de la moitié des personnes vivant avec le VIH ont accès aux traitements (soit 53% des malades : 19,5 millions sur 36,7). Écouter "On avance, c'est incroyable. L'approche internationale du traitement du VIH a profondément changé à partir de 2014 : elle s'est éloignée de l’accent mis sur le nombre de personnes ayant accès au traitement antirétroviral pour donner une plus grande importance à la suppression de la charge virale chez les personnes vivant avec le VIH. 2) Une meilleure qualité des traitements 3) Plus de dépistages
Coronavirus : voici des sources fiables pour vous informer en évitant les fake news Avec nos partenaires, nous traitons vos données pour les finalités suivantes : le fonctionnement du site, la mesure d'audience et web analyse, la personnalisation, la publicité et le ciblage, les publicités et contenus personnalisés, la mesure de performance des publicités et du contenu, le développement de produit, l'activation des fonctionnalités des réseaux sociaux. Vos préférences seront conservées pendant une durée de 6 mois.
VIH : comment agit-il dans le corps ? - Top Santé VIH, Sida, séropositivité, sont des mots désormais connus de la plupart d'entre nous. Pour autant, pas facile de s'y retrouver dans tous ces termes qui semblent définir la même chose. Comment le VIH détruit-il le système immunitaire ? Quand devient-on séropositif ? Quand peut-on parler de Sida ? On fait le point. Le VIH est l'acronyme du virus d'immunodéficience humaine, le virus qui entraîne à terme le Sida : le syndrome d'immunodéficience acquise. S'il n'est pas contagieux puisqu'il ne se contracte pas en touchant une personne atteinte, il est transmissible. De la contamination à la séropositivité Le VIH est d'autant plus dangereux qu'il s'attaque à notre système immunitaire, qu'il affaiblit progressivement. Une fois dans l'organisme suite à une infection (rapport non protégé, seringues partagées, accouchement...), le VIH va pouvoir entrer dans certaines de nos cellules : les lymphocytes T4 (LT4), des cellules clés du système immunitaire. Sida et maladies opportunistes A lire aussi :
Info Coronavirus COVID-19 Dans son avis du 30 mars 2023, la Haute Autorité de Santé préconise de lever l’obligation vaccinale contre le Covid-19 pour les professionnels de santé. L’obligation vaccinale est levée par décret à compter du 15 mai 2023. Les modalités de réintégration sont précisées dans l’instruction interministérielle n° DGOS/RH3/RH4/RH5/DGCS/2023/63 du 2 mai 2023 relative aux modalités de réaffectation des agents à la suite de la levée de l’obligation vaccinale contre le Covid-19. La vaccination des professionnels de santé reste toutefois fortement recommandée. Depuis le 1er mars 2023, l’Assurance maladie prend en charge une partie des frais liés aux tests de dépistage (antigénique et RT-PCR) du Covid-19 de tous ses assurés sans prescription. Comme pour toute autre prestation prise en charge par l’Assurance maladie, ce remboursement partiel s’effectue par le biais d’un ticket modérateur, dont le montant à charge de l’assuré dépend du professionnel de santé réalisant le test. Port du masque Isolement
transmission V.I.H et SIDA Révélation des tests Lorsque tous les échanges sont terminés, soit les élèves reposent leur tube à essais à sa place initiale, soit ils le gardent à la main. Indiquer que l'on passe maintenant à un test de mise en évidence de la contamination ou non. Faire le parallèle avec les test de mise en évidence du V.I.H. Verser quelques gouttes de phénolphtaléïne dans chaque tube S'il y a contamination le liquide devient rose vif. Résultats La photographie montre un exemple de résultats après seulement trois échanges entre élèves. La prise de conscience de la rapidité à laquelle un virus peut se propager est immédiate. La question qui se pose alors est de savoir qui était le porteur initial ? Les élèves ayant noté qui ils avaient rencontré, peuvent établir des corrélations, des suppositions, parfois des certitudes. Un exemple de recherche au tableau... amorce d'une riche discussion... Un seul tube se colore. Un T.P simple, ne coûtant rien et qui passionnera les élèves...