
Everyone’s history?! An inventory on writing contemporary history in the digital age | We think History Frédéric Clavert, Serge Noiret (Editors), L’histoire contemporaine à l’ère numérique, Contemporary History in the Digital Age, Bruxelles, Bern, Berlin, Frankfurt, New York, Oxford, Wien, 2013. 381 p. Review The humanities are subject to a continuous, but recently accelerated change. In the meantime, this change has a powerful name: Digital Humanities. In their introduction, they remember Emmanuel Le Roy Ladurie, who predicted in 1973 that “future historians will either be programmers or no longer be”. [1] Has it come to this? A special opportunity and challenge is the Web 2.0. What that means for the infrastructures of history and humanities, Marin Dacos shows in his article in the first part of the volume. [3] They provide access, stability, interoperability and evaluation (interpretation) of research data. [4] An example is OpenEdition, which operates an information system that flexibly meets the needs of researchers, while ensuring the long-term availability of the data.
[HG Programmes 2016] Le programme de 4e - Page 7 Mon cours I Le grand commerce Les élèves travaillent en autonomie à partir des document du livre (lelivrescolaire) = carte commerce, étude du port de La Rochelle, documents sur la bourgeoisieIls doivent répondre aux questions suivantes :- Quels lieux sont concernés ?- Quels produits sont échangés ?- Qui profite de ce commerce ? => et je donnerai des coups de pouce :Aide méthode :- Lire tous les documents- Relever les infos pour chaque question- Réaliser la carte mentale ou rédiger le texteAide contenu :- Les lieux : d’où viennent les marchands, où vont-ils acheter les produits ? - Quels lieux d’Europe profitent de ce commerce ? II Traites et esclavageRédigez un article pour expliquer aux lecteurs du magazine « L’Histoire » l’esclavage au XVIIIe siècle.
Imaginations historiennes Recensé : Marie Panter, Pascale Mounier, Monica Martinat et Matthieu Devigne (dir.), Imagination et Histoire : enjeux contemporains, Rennes, Presses universitaires de Rennes, 2014. 328 p., 20 €. Croisant les approches historiennes, littéraires et cinématographiques, l’ouvrage collectif Imagination et Histoire cherche autant à faire le point sur les très nombreuses réflexions épistémologiques qui traversent la discipline depuis la fin des années 1970, qu’à les renouveler. Évitant de revenir frontalement sur des problématiques liées à la mise en intrigue du passé, au rapport à la fiction ou à la falsification de l’histoire [1], il a pour principale originalité de placer au centre de l’investigation le rapport à l’imagination [2]. Écritures historiennes Le postulat de l’ouvrage est que l’imagination « ne peut être simplement opposée à la raison, mais que, mise au service de cette dernière, elle est la faculté essentielle qui permet de représenter et de penser l’histoire [3] ». Ouvertures
Les artistes contre l'« inutile et monstrueuse » tour Eiffel Une gigantesque tour métallique au beau milieu de Paris ? Pour les 47 artistes signataires de la « Protestation » parue le 14 février 1887 dans Le Temps, c'est une aberration. Leur texte, vigoureux réquisitoire contre la construction de la tour Eiffel, aura un certain écho. Leur protestation est adressée à Adolphe Alphand, commissaire de l'Exposition universelle de 1889 : « Nous venons, écrivains, peintres, sculpteurs, architectes, amateurs passionnés de la beauté, jusqu'ici intacte de Paris, protester de toutes nos forces, de toute notre indignation, au nom du goût français méconnu, au nom de l'art et de l'histoire français menacés, contre l'érection, en plein cœur de notre capitale, de l'inutile et monstrueuse tour Eiffel, que la malignité publique, souvent empreinte de bon sens et d'esprit de justice, a déjà baptisée du nom de “tour de Babel”. » Premier argument : la tour n'a rien de français dans son esprit ni dans son architecture ; elle n'a donc rien à faire à Paris.
Témoignage et engagement... l’Holocauste en bande dessinée Depuis la Seconde Guerre mondiale jusqu’à nos jours, les productions plastiques qui traitent de la Shoah surprennent par leur diversité et leur originalité : roman graphique, comics de super-héros, manga, caricature, bande dessinée classique… Cette dernière fait l’objet d’une exposition Shoah en bande dessinée, tabou ou totem ? au Mémorial de la Shoah (jusqu’au 30 octobre 2017), qui rassemble plus de 200 planches dont énormément d’originaux et quelques œuvres numériques. Et pourtant, la bande dessinée a mis du temps pour s’emparer entièrement de la Shoah, délaissant pendant de nombreuses années le sort des Juifs en faveur d’une mise en scène de la libération des camps. "Après la guerre, il y a une médiatisation sur la libération des camps, puis une sorte de tabou. Ce n’est qu’à la fin des années 70 et des années 80 que la Shoah réapparaît en bande dessinée." Lucie Servin, historienne et journaliste, dans Ping Pong. Enfin, en 1944, la bande dessinée française La Bête est morte !
Chapitre 1: Grand commerce et traite négrière au XVIIIème siècle Voici un lien trés intéressant pour réviser l'analyse du tableau de Joseph Vernet réalisé en classe. Cliquez sur " un voyage de 10 ans" puis sur Bordeaux. Vous pouvez également découvrir les autres tableaux de ports réalisés par cet artiste. Traite orientale. La traite négrière atlantique racontée dans la BD "les passagers du vent": Le film ROOTS ( Racines) montre à travers différents épisodes les étapes du commerce triangulaire et évoque la condition des esclaves. _ Un premier passage relate l'arrivée des Européens sur le rivage africain ( de la 12ème à la 15ème minute) puis l'enlèvement d'Africains par les Européens aidés d'autres Africains ( 26ème min). _ Le second extrait les conditions du voyage des esclaves des littoraux africains jusqu'aux Antilles Capacités :
La Grande Guerre au miroir de la bande dessinée Nombreux sont aujourd’hui les récits dessinés qui évoquent le premier conflit mondial et certains critiques vont même jusqu’à parler d’une nouvelle écriture de la guerre en bande dessinée, voire d’un sujet à la mode. Pourquoi la Grande Guerre intéresse-t-elle autant les auteurs de bandes dessinées ? Qu’elle soit réaliste, humoristique, fantaisiste, et quelles que soient les époques (de Bécassine1 à la série Le Cœur de Bataille2 ), la bande dessinée se manifeste comme un véritable laboratoire d’imageries mémorielles de la Grande Guerre. Or loin des illustrés d’époque et depuis Tardi avec C’était la guerre des tranchées3, qui fait figure de classique fondateur - comment les dessinateurs se sont-ils emparés d’un tel sujet ? L’attrait pour la Grande Guerre L’engouement des dessinateurs de bande dessinée pour 14-18 s’explique selon un triple point de vue. De ces points de vue, dessiner sur 14-18 devient sous les pinceaux des artistes une aventure où l’intime côtoie la Grande Histoire.
le tableau : « Le Sacre de Napoléon » de J.L. David la tableau : « Le Sacre de Napoléon » de J. L. DavidJeanne Desto nous propose de regarder ensemble un tableau faisant partie de l’imaginaire de tous les Français. Nous sommes en 1804. Bonaparte a 35 ans. Mais d’abord, regardez : vous voyez là, dans la tribune, cet homme en habit brodé arborant fièrement sa légion d’honneur ? Le tableau offre une somptueuse galerie de portraits, outre les grands dignitaires, les ambassadeurs, les maréchaux, etc., voici les deux frères et les trois sœurs de Napoléon, la cousine et la dame d’honneur de Joséphine. Ce tableau splendide est–il pour autant un tableau fidèle à la réalité historique ? texte : Jeanne Desto image : Claire Doutriaux, Claude Delafosse
La Première Guerre mondiale en BD : « Carnets 14-18 » | La Première Guerre mondiale | Metropolis, tous les dimanches à 11h20 Quatre histoires de France et d'Allemagne de la Première Guerre mondiale dans une bande dessinée. L’éditrice Julie Cazier qui vit depuis 15 ans à Cologne s’étonne de la différence de traitement, côté français et côté allemand, du Centenaire de la Grande Guerre. Alors que dans l’Hexagone, les commémorations ont été préparées plusieurs années à l’avance, les médias d’outre-Rhin ne s’intéressent que maintenant à cette période. Julie Cazier, qui est également politologue et mère de famille, a eu par ailleurs l’impression que personne n’essayait vraiment d’expliquer aux jeunes d’aujourd’hui ce que fut la Première Guerre mondiale. Elle a donc eu l’idée de raconter dans une bande dessinée l’histoire de deux jeunes Français et de deux jeunes Allemands, bien représentatifs de la vie militaire et civile d’alors, qui ont écrit soit un journal intime en 14-18 soit leurs mémoires plus tard. L’illustrateur franco-allemand Jörg Mailliet ensuite mis ces histoires en images. Lien: Bande dessinée