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Une extension pour repérer les fausses informations qui circulent en ligne

Une extension pour repérer les fausses informations qui circulent en ligne
Pourquoi attendre que Facebook et compagnie réagissent quand on peut inventer soi-même des outils ? LE MONDE | • Mis à jour le | Par Big Browser Le Brexit et l’arrivée de Donald Trump à la Maison Blanche annoncent, selon certains observateurs, l’entrée dans une « ère de la politique post-vérité » dans laquelle le vrai et le faux se valent quand ils se côtoient dans les timelines des réseaux sociaux. Accusé de ne pas avoir voulu réagir à la prolifération d’articles partiellement ou complètement faux pendant la campagne électorale américaine, Facebook peine à se justifier ou même à avoir une stratégie cohérente. Cet immobilisme devrait nous inciter à prendre des mesures pour séparer le vrai du faux en ligne, sans attendre que ce soit décidé dans les salles de réunion de ces entreprises (comme Google qui vient de lancer un label signalant les articles de « fact-checking » dans Google Actualités.). « Attention ! Casser la dynamique de partage immédiat Related:  Fiabilité des sourcesfact-checking

Ces Internets qui font le robot Cette semaine, on imagine un Facebook où des robots masqueraient les fausses informations, on joue au Pictionary avec une intelligence artificielle et on fait une chasse au trésor. Sommes-nous mieux informés à l'ère des réseaux sociaux ? Vous avez peut-être une petite idée de la réponse... Le site Buzzfeed News s'est penché sur la question en analysant les articles les plus populaires sur Facebook durant les mois précédant l'élection présidentielle américaine. Et en les classant en deux catégories : les informations vérifiées et issues de médias classiques, et les hoax, les informations partiellement ou totalement fausses venues le plus souvent de sites spécialisés dans le domaine ou extrêmement partisans, dans un sens ou dans l'autre. Verdict : les derniers ont fini par largement dépasser les premiers. Ça ne suffit évidemment pas à expliquer la victoire de Donald Trump, mais ça fait réfléchir Facebook. Dessinez, c'est googlé ► SUR LE WEB | Essayez le Pictionary virtuel de Google

Le « fact-checking » : une pratique féconde... mais pas auto-suffisante Depuis quelques années maintenant mais avec une accélération certaine depuis la présidentielle de 2012, la presse pratique le « fact-checking ». Il s’agit pour les journalistes de vérifier les faits, notamment à partir des déclarations des élus et candidats aux différentes élections. Disons-le d’emblée : Acrimed considère que cette pratique peut être saine et féconde pour le journalisme tel que nous le défendons. Il ne sera donc pas ici question de contester le principe du fact-checking, mais de pointer quelques limites dans son usage. Car si l’exercice n’est pas nouveau, sa constitution en genre et en rubrique particulière est plus récente, au point que cette pratique, victime de son succès, a parfois été dévoyée pour devenir dans certains cas une pratique inutile, voire contre-productive. Explications. Des conclusions… peu concluantes : vérification ne rime pas toujours avec information Puisqu’il s’agit de vérifier les faits, jugeons sur pièce. Qu’a-t-on appris ? Illustration.

Pour écarter les fausses news, Facebook mise sur des vérificateurs Barack Obama est régulièrement victime de désinformation sur Facebook sans réaction notable des administrateurs du réseau social. Réagissant aux récentes critiques selon lesquelles de fausses nouvelles propagées par Facebook auraient influencé les dernières élections présidentielles américaines en faveur du candidat républicain Donald Trump, le réseau social va mettre en place un système de vérification des informations. Après la mise en cause du réseau social dans la propagation de fausses informations pendant la campagne électorale américaine, le CEO de Facebook, Mark Zuckerberg, a annoncé ce week-end que l’entreprise cherchait à mettre en place un système de vérification de l'authenticité des informations publiées sur son site par des tiers et faciliterait le signalement de ces informations par les utilisateurs du réseau.

Top 10 des conseils pour reconnaître une fausse info sur Facebook (et ne plus se faire avoir) Depuis qu’une partie de la population américaine l’accuse d’avoir fait gagner Trump en raison des nombreux hoax que ses algorithmes ont propagé tout au long de la campagne, Facebook est dans la tourmente. Ses dirigeants ont déjà indiqué qu’ils luttaient contre ce fléau, mais l’automatisation de la tâche est super complexe. Alors qu’elle est super fastoche pour quiconque se donne deux secondes pour faire des vérifications. Un spécialiste des hoax explique très bien le phénomène qui est en train de se produire : autrefois, les gens partageaient des conneries, puis, une fois le démenti publié, ils passaient pour des imbéciles. Maintenant, les gens partagent des conneries et ne voient jamais le démenti. 1. Ca paraît débile, mais si l’article qui traîne émane d’un journal dont vous n’avez JAMAIS entendu parler, il y a de fortes chances pour que le journal en question n’en soit pas du tout un et que tout ce qu’on vous raconte est faux. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10.

(20+) Desintox La rumeur dans les médias Contexte Séance menée avec un professeur de Français pendant 5 heures. Démonter une rumeur et son voyage au travers des principaux médias. Comprendre le principe et produire une rumeur à partir de l’actualité. Ecriture et mise en forme de rumeurs. Déroulement 1 heure : Distribution aux élèves de photocopies de pages Internet tirées du site hoaxbuster.com (chasseur de rumeur). Ou diaporama : La documentaliste raconte l’histoire en s’appuyant sur les textes. Page 1 : la rumeur était au départ une plaisanterie de critique, émanant d’un site spécialisé dans le commentaire des jeux vidéo (xbog-mag.net). D’où une explication de vocabulaire, de l’effet comique. D’où la présentation des faits dans l’ordre chronologique afin de ne pas perturber la compréhension des élèves de 6è (on peut envisager une séance à rebours avec des 3è). Page 2 : la plaisanterie est transformée en fait réel par un article paru dans libération. Etude de la nouvelle rumeur : les japonais se sont transformés en adolescents.

Comment Mark Zuckerberg veut stopper l’intox sur Facebook En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez nos CGU et l'utilisation de cookies afin de réaliser des statistiques d'audiences et vous proposer une navigation optimale, la possibilité de partager des contenus sur des réseaux sociaux ainsi que des services et offres adaptés à vos centres d'intérêts. Pour en savoir plus et paramétrer les cookies... Replay Emissions averses éparses Vent : 30km/h - UV : 1 Clôture veille : 4504.35 Ouverture : 4547.05 Newsletter BFMTV | Les + vues Replay Emissions GilbertKALLENBORN Journaliste Newsletter High-Tech Le milliardaire a détaillé un plan de lutte contre la diffusion de fausses nouvelles, un problème qui a pris beaucoup d'ampleur lors de la dernière élection présidentielle américaine. Accusé d’avoir facilité l’intronisation de Donald Trump par la diffusion de fausses nouvelles, Facebook n’est pas vraiment en odeur de sainteté chez les démocrates. Des "warnings" sur les fausses nouvelles Gilbert KALLENBORN à suivre sur Tweeter 1.1k Partager Annuler

Le Décodex, un premier pas vers la vérification de masse de l’information « Le Monde » lance un outil pour aider les lecteurs à repérer les sites les moins fiables LE MONDE | • Mis à jour le | Par Adrien Sénécat Attentats, Brexit, présidentielle américaine et maintenant française… Qu’on l’appelle indifféremment « fake news », propagande, intox ou mensonges, la question de la fiabilité de l’information en ligne ou de son instrumentalisation s’est imposée dans les débats. A l’heure de Facebook, de Twitter et du mobile, s’informer consiste aujourd’hui surtout à savoir trouver des éléments fiables au milieu d’un maelström d’articles, d’images, de vidéos, d’opinions, etc. >> Accéder au Décodex en cliquant ici Avec Les Décodeurs, créé en 2009 sous la forme d’un blog et devenu une rubrique depuis 2014, Le Monde s’est donné une mission, celle de la vérification de la parole publique (« fact-checking »), qu’il s’agisse de propos politiques ou de rumeurs sur le Web. Une réponse : le Décodex Le Décodex propose trois outils en un, tous gratuits. Ce n’est qu’un début.

Top 10 des meilleurs sites d'infos parodiques, les sites d'infaux (Le Gorafi, The Onion, etc...) "Ils y ont cru, ces cons !". Vous vous êtes sûrement dit ça quand vous avez vu un article du Gorafi partagé comme une vraie info. Sachez que Le Gorafi est loin d'être le seul à publier de fausses infos qui ont l'air vraies, et après la lecture de ce top, vous serez plus intelligents que les gros naïfs qui publient des infos parodiques qu'ils prennent pour vraies. The Onion S'il ne devait en rester qu'un, ce serait The Onion. N'hésitez pas à mentionner ceux qui vous plaisent dans les commentaires. Top co-écrit par Pavlov

Fiche-élève, fiche pédagogique en information-documentation : des outils didactiques pour enseigner et pour apprendre Typologie fonctionnelle des outils didactiques élaborés par les professeurs documentalistes. 1. Présentation de l'étude 1.1. Qu'est-ce qu'un outil didactique ? « Outil didactique » est un terme générique désignant tout dispositif matériel accompagnant une situation d'enseignement-apprentissage. Les outils didactiques « par intention » désignent quant à eux tout document conçu et réalisé pour un public scolaire et dans le cadre d'une situation didactique d'enseignement-apprentissage. La fiche-élève, en particulier, a pour intention de coller au plus près du travail de l'élève. 1.2. Si la réalisation et l'emploi de ces outils est fréquent et banal, il s'avère pourtant qu'ils font peu, ou pas du tout, l'objet de considération en soi. Si ce n'est le cas pour la fiche de préparation, non systématiquement produite pour chaque séance, la fiche-élève reste le plus souvent incontournable. Les catégories fonctionnelles de l'outil didactique en Information-documentation 1.3. 2. 2.1.1. 2.1.2. 2.1.3.

Huit médias français s’allient à Facebook contre les « fake news » Le réseau social va déployer en France son dispositif de signalement par ses utilisateurs d’une information qu’ils pensent être fausse. Celle-ci pourra ensuite être vérifiée par des médias partenaires, dont « Le Monde ». LE MONDE ECONOMIE | • Mis à jour le | Par Alexis Delcambre Huit médias français, dont Le Monde, ont décidé de collaborer avec Facebook pour réduire la présence de fausses informations sur le réseau social. Concrètement, le projet est de déployer prochainement en France un dispositif similaire à celui qui a été mis en place en décembre aux Etats-Unis avec le concours de cinq médias (ABC News, AP, FactCheck.org, Politifact et Snopes), et qui doit prochainement être lancé en Allemagne, avec la rédaction de Correctiv. Ce dispositif permet aux utilisateurs, grâce à une nouvelle catégorie de signalement, de « faire remonter » une information qu’ils pensent être fausse. Expérimentation Ce contenu ne pourra pas donner lieu à une exploitation publicitaire sur Facebook.

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