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Les logiques managériales et entrepreneuriales

Les logiques managériales et entrepreneuriales
Introduction : Entreprendre n’est pas une simple succession d’opérations juridiques et de gestion. Entreprendre consiste en premier lieu à repérer des opportunités de développement, puis à prendre les risques nécessaires pour créer l’activité nouvelle correspondante ou dynamiser une activité existante. La logique entrepreneuriale implique donc une capacité à anticiper, à se projeter et à innover. Elle suppose également la mise en œuvre d’un projet entrepreneurial cohérent articulant contraintes, compétences et ressources. La logique entrepreneuriale fondée sur la prise de risques se distingue ainsi de la logique managériale qui consiste, pour le manager, à optimiser les ressources qui lui ont été confiées. I – La logique entrepreneuriale A – Notion d’entrepreneuriat Y a-t-il un profil type de l’entrepreneur ? De nombreux consultants, conseillers et chercheurs ont tenté de répondre à cette question. On imagine bien que tout entrepreneur doit être un battant volontaire et tenace. Etapes :

chapitre 1 : logique entrepreneuriale et logique manangériale 1. L’entrepreneur selon Joseph Schumpeter Pour Joseph Schumpeter, un entrepreneur est un agent économique dont la fonction est d’exécuter de nouvelles combinaisons de production qui correspondent à de nouveaux objets de consommation, de nouvelles méthodes de production, de nouveaux marchés ou de nouveaux types d’organisation industrielle. Pour réaliser ces nouvelles combinaisons, l’entrepreneur doit être capable de percevoir les opportunités, de savoir comment les exploiter et d’en tirer de la valeur. 2. L’essence de l’entrepreneuriat correspond à la faculté d’identifier et de faire fructifier une valeur marchande en faisant coïncider une innovation et un besoin. L’entrepreneuriat renvoie à la fois à un état d’esprit et à une dynamique d’action. 3. La logique entrepreneuriale est un processus complexe de détection et d’exploitation d’opportunités. 1. – l’organisation implique la combinaison des ressources et des compétences pour obtenir de la valeur ; nouvelles. 2. 1. 2. l’entreprise. III. 1.

Méthodologie 5S Introduction - Retour au menu Les 5S est certainement l'un des outils qualité de la Qualité Totale à développer en priorité dans les entreprises. 5S tire son origine de la première lettre de chacune des 5 opérations à conduire dans cette technique. Cette démarche basée sur un management participatif joue un rôle essentiel dans la prévention des accidents, puisqu'à terme, il n'est plus nécessaire de rappeler les règles de sécurité, car on note naturellement une plus grande ouverture d'esprit vers l'application des consignes. Nous donc dans une première partie une définition des 5S, puis dans une deuxième partie, nous aborderons la méthodologie de la mise en place des 5S, avant de voir les points clés d’application dans une troisième partie, et enfin dans une dernière partie, nous aborderons les domaines concernés. 1 - Définition des 5S Le sens premier de débarrasser est "dégager de ce qui embarrasse". Une fois chaque chose à sa place, il faut veiller à la propreté des lieux. - Retour au menu

Cancer : des solutions pour améliorer la qualité de vie des malades Entrepreneuriat Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L’entrepreneuriat (plus rarement entreprenariat) est l’action de créer de la richesse et/ou de l'emploi par la création ou la reprise d'une entreprise. Les formes d’entrepreneuriat varient selon le type d’organisation qui est mis en place Enjeux de l'entrepreneuriat[modifier | modifier le code] Beaucoup de créations d’entreprises « à haut potentiel » font appel au capital risque ou à des Business angels pour développer leur activité. La compréhension que nous avons de l’entrepreneuriat doit beaucoup à l’économiste Joseph Schumpeter ainsi qu’à l’école autrichienne. Pour Frank Knight (1967) et Peter Drucker (1970), l’entrepreneuriat consiste à prendre des risques. En 1985, Peter Drucker révise sa position, l'entrepreneuriat intelligent consiste a ne pas prendre de risques Paturel (2007) propose une définition syncrétique de l’entrepreneuriat. Dans cette perspective, l’entrepreneuriat est indissociable de l’approche projet. en français

Réunion : sept conseils pour organiser une « conf call » « Une levée de boucliers générale ! » La réaction des délégués et chargés de mission de la Fehap, une fédération d'établissements hospitaliers, a été sans appel quand Coralie Juif, secrétaire générale, a suggéré de remplacer la réunion bimensuelle d'information par l'envoi d'un simple e-mail. A la Fehap, comme dans beaucoup d'entreprises, les conf call sont devenues des rituels, appréciés pour leur côté vivant. Autre atout non négligeable par rapport aux rencontres en face à face, elles permettent de précieuses économies de temps et d'argent : plus de billets d'avion, de train, de nuits d'hôtel ; moindre fatigue et risques routiers envolés. Tout d'abord, leur utilisation ne doit pas être systématique. Elle est en revanche l'outil idéal lorsqu'il s'agit de faire un bilan d'étape sur l'avancement d'un gros projet ou de résoudre un problème précis. Comment faire respecter la ponctualité ?

Séminaire « Management et gestion des ressources humaines : stratégies, acteurs et pratiques » - Les indicateurs sociaux : du contrôle de gestion aux développements récents du pilotage et du reporting Gérard Naro, professeur des universités, Institut des sciences de l'entreprise et du management (ISEM), université de Montpellier I La mesure sociale, traduite par la mise en œuvre d'indicateurs sociaux, ne constitue pas une problématique récente. Elle s'inscrit dans une longue quête, depuis les expérimentations en matière de comptabilisation des ressources humaines durant les années 1960 aux États-Unis sous la direction d'Éric Flamholtz (voir note 1) , jusqu'aux approches récentes de mesure du capital humain, développées notamment dans les pays scandinaves. En France, la législation sur le "Bilan Social" mise en œuvre à partir de la fin des années 1970, a donné une forte impulsion à la recherche d'indicateurs sociaux. La présente communication traite en premier lieu de l'utilisation des indicateurs sociaux dans le cadre du contrôle de gestion sociale (I). Les indicateurs sociaux et leur utilisation dans le cadre du contrôle de gestion sociale Principaux indicateurs sociaux Source : B.

Les différents styles de management Rensis Likert (1903-1981) est un célèbre psychologue américain. Il a notamment travaillé sur les styles de management et en a défini quatre. Ses théories sont aujourd’hui largement reprises par les écoles de management ainsi que les cabinets de consultants. Retour sur chacune de ces façons de gérer une équipe. Le style autoritaire/directif C’est un style de management basé sur la peur et la soumission. Avantages : cette méthode permet d’obtenir des résultats rapides et de traiter l’urgence.Inconvénients : la motivation et la créativité ne sont pas mises en avant. Le style paternaliste/bienveillant L’autorité et la soumission sont toujours présentes, mais il y a plus de relations avec les collaborateurs. Avantages : sentiment d’appartenance à un groupe et de solidarité.Inconvénients : risque de confusion entre la vie personnelle et professionnelle, et que le service se referme sur lui-même. Le style consultatif Le manager ne prend aucune décision sans consulter son équipe.

"Slideuments" and the catch-22 for conference speakers Slides are slides. Documents are documents. They aren't the same thing. Attempts to merge them result in what I call the "slideument" (slide + document = slideument). Much death-by-Powerpoint suffering could be eliminated if presenters clearly separated the two in their own minds before they even started planning their talks. Projected slides should be as visual as possible and support our point quickly, efficiently (good signal-to-noise ratio), and powerfully. Above left: a slide from a presentation on gender and equality issues in Japan. If possible, make two sets of slidesWe can't fight city hall and we can't change the conference presentation guidelines quickly. Example from the 05 WOMMA conferenceHere is an example (pdf download) of simple slides (used for the live talk) that are saved with notes to a PDF.

Les parties prenantes en un coup d’oeil… et ensuite? | Gestion de projets en communication Ce n’est pas parce qu’on nous a confié les rênes d’un projet que nous en contrôlons tous les aspects. Pour chaque projet, il a les personnes qui le gèrent et il y a celles qui gravitent autour. Ces dernières correspondent aux parties prenantes, qu’il est important de cerner même avant de démarrage le projet. D’abord, il faut comprendre que cette étape s’applique à la plupart des projets, des plus imposants aux plus modestes. Un coup de sonde s’impose donc au tout début, lorsque le projet en est encore à l’étape de la planification, pour établir les parties prenantes devant être prises en compte. Soutien et influence Pour des situations plus complexes, par exemple les grands projets d’infrastructure publique, une plus vaste étude des acteurs socio-politiques peut s’avérer nécessaire. Cette façon de faire permet dresser un portrait des personnes ou les groupes susceptibles d’influencer le développement du projet. Si la notion de responsabilité sociétale vous intéresse : Like this:

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